plus anciennes de l’anti-américanisme. Un exemple est le livre de Georges # parisienne, les intellectuels français –l’anti-américanisme est avant tout # onomie» . La gastronomie, ou plutôt l'absence de gastronomie américaine, propre à une alimentation peu équilibrée, autre thème dont se nourrit l’anti-américanisme français et # Ce double standard donne ainsi lieu à une autre forme d’anti-américanisme # possibilité d’une intervention militaire française en Irak, l’anti-américanisme # France , bien que l’on estime qu’en matière d’anti-américanisme, il faut faire la # élection en 2007 ont affaibli un anti-américanisme de nature politique, # développé la notion d’«hyper-pouvoir» pour qualifier la puissance américaine, l’évolution de l’anti-américanisme en # assimilée à une tentative d’américanisation et d’uniformisation. Traduit en justice, il compare son acte à la Tea Party de Boston # Au XXe siècle, l’anti-américanisme comme référence politique a été # Etats-Unis reste relativement récente, l’anti-américanisme français remonte # Par ailleurs, avance Sophie Meunier, l’anti-américanisme à la française # d’anti-américanisme qui ont pu être définies par les historiens et # politologues: un anti-américanisme libéral contre le modèle économique, un # anti-américanisme social contre le modèle sociétal, un anti-américanisme # souverainiste qui rejette l’impérialisme américain, un anti-américanisme des # islamistes radicaux, un anti-américanisme élitiste contre l’exportation de la # culture de masse américaine et un anti-américanisme d’héritage qui se transmet # Article intéressant. Comme vous le soulignez, l'anti-américanisme francais est surtout le fait des élites intellectuelles et politiques. #