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samedi 28 janvier 2012

La chronique du blédard : Menaces sur la Tunisie

By Akram Belkaid in le Quotidien d'Oran



Il est plus que temps de s'inquiéter de ce qui se passe en Tunisie. Jour après jour, des violences et des provocations sont commises par des groupes on parle déjà de milices - se réclamant du salafisme et ayant pour victimes des démocrates, des modernistes, des intellectuels ou de simples citoyens qui refusent de se laisser dicter leur conduite et leur mode de vie par des extrémistes de plus en plus actifs. Qu'il s'agisse du blocage de l'université de la Manouba par des étudiants (qui exigent que l'on autorise les étudiantes à se présenter voilées aux examens), des menaces contre des libraires ou de l'agression dont ont été victimes le journaliste Zied Krichen et le politologue Hamadi Rdissi, on se rend bien compte que la situation se tend et que la paix civile est menacée.

mercredi 28 décembre 2011

Big and Clever ....( The Economist )

Why Large Firms are often more Inventive than Small Ones by Schumpeter in The Economist

SOME people say it is neither big nor clever to drink. Viz, a British comic, settled that debate with a letter from a reader who said: “I drink 15 pints a day, I’m 6 foot 3 inches tall and a professor of theoretical physics.” However, another question about size and cleverness has yet to be resolved. Are big companies the best catalysts of innovation, or are small ones better?
Joseph Schumpeter, after whom this column is named, argued both sides of the case. In 1909 he said that small companies were more inventive. In 1942 he reversed himself. Big firms have more incentive to invest in new products, he decided, because they can sell them to more people and reap greater rewards more quickly. In a competitive market, inventions are quickly imitated, so a small inventor’s investment often fails to pay off.

mercredi 21 décembre 2011

Texte trés puissant de Fadéla M'rabet .....

Fadéla M'Rabet (Ecrivain).

Je ne vais pas vous parler directement de Frantz Fanon. D’autres, qui l’ont connu personnellement, l’ont fait ou le feront mieux que moi.

Mais il y a une autre façon d’honorer Fanon : penser dans la direction que son œuvre nous indique, et, après celles de l’époque coloniale,  analyser et dénoncer un certain nombre d’aliénations contemporaines, telles qu’elles se manifestent dans nos pays. Pourquoi cette attente permanente d’un monde qui ne vient jamais ? Elle naît de tous les infinis qu’embrasse notre regard et qui rendent toute espérance sans limites. Notre monde a toujours été ouvert sur le ciel, la mer, les montagnes, le désert.

Les Clés de la Réussite: un Etat fort, des Investissements privés, une Ouverture Préparée

Par Abdelmadjid Bouzidi in Le Soir d'Algérie 



Treize pays qui ont obtenu 7% de croissance économique par an en moyenne durant 25 ans au moins ont fait l’objet d’une étude par une commission parrainée par la Banque mondiale. Cette commission dénommée «croissance et développement» était composée de dix-neuf sommités et présidée par le Nobel d’économie américain Michael Spencer. Robert Solow, un autre Nobel d’économie, Kamal Dervis (ancien économiste en chef de la BM), le gouverneur de la Banque centrale de Chine, celui de la BC d’Indonésie et d’autres grands économistes ont fait partie de cette commission.

mardi 6 décembre 2011

Démocratie et Perte de Valeurs ...(extrait)

Par Ammar Belhimer  in Le soir d'Algérie     ambelhimer@hotmail.com


L’incivisme est en passe de transformer nos villes en espaces de non-droit : des étudiants qui agressent leurs professeurs, des automobilistes, hommes et femmes, qui abusent du téléphone au volant, qui stationnent en plein milieu de la voie publique pour sortir faire leurs courses, du mobilier urbain et des équipements publics saccagés, une violence urbaine croissante, une prolifération des injures, des insultes, des grossièretés et de nombreuses autres formes d’incivisme. 


lundi 21 novembre 2011

La solution à la crise est éminemment politique ...

Interview Djalil Bouzidi par Safia Berkouk  in El Watan

A qui peut-on imputer la situation de crise qui touche la zone euro depuis plusieurs mois ?
La crise de la dette publique touchant la zone euro est souvent analysée comme une crise d’origine interne. Mais sa cause profonde est externe. En effet, un pays s’endette lorsque sa balance courante (importations et exportations de biens et services plus les mouvements de capitaux) est déficitaire.
En simplifiant, si un pays exporte moins qu’il n’importe, il est obligé de financer son déficit en s’endettant (situation que nous avons bien connue en Algérie). Quand un pays en déficit de la balance courante ne reçoit plus de flux de financement, ses taux d’emprunt vont alors augmenter, au point de menacer sa capacité à rembourser. Ce sont ces mécanismes qui sont à l’œuvre et qui sont à l’origine de la crise que traverse la zone euro.

mardi 15 novembre 2011

Ce que les Réformes de 1990 nous enseignent

Par Ammar Belhimer in le Soir d'Algérie

L’Algérie renoue avec la quête des réformes depuis avril dernier. Dans le communiqué du Conseil des ministres du 28 août dernier, le président de la République décide de «faire progresser davantage le système politique démocratique et pluraliste que les Algériennes et Algériens ont institué voilà deux décennies». Il a raison de le faire pour cette première évidence que rien n’est plus stable que le changement. Au-delà du confort immédiat qu’ils procurent, le conservatisme et le statu quo sont synonymes de régression. La glaciation produit la fracture, la fermeture la casse, l’entêtement la déraison.

samedi 12 novembre 2011

Reconquérir et reconstruire le Marché intèrieur avant de chercher à expoerter ...

"Il ya un peu de Nouriel Roubini chez notre ami Abdelmadjid Bouzidi ...! il me semble qu' inviter  M. Roubini à venir à Alger pour débattre de l'économie Algérienne pourrait être une prècieuse source d'inspiration pour nos décideurs" .... Slim Othmani

Par Abdelmadjid Bouzidi in le soir d'Algérie abdelmadjidbouzidi@yahoo.fr

Une question qui taraude nombre de concitoyens, et pas seulement les spécialistes, et d’ailleurs aussi beaucoup d’analystes étrangers : pourquoi diable l’économie algérienne n’arrive-t-elle toujours pas à entrer dans ce fameux «après-pétrole », à se diversifier et à participer activement, productivement à l’économie mondiale ? En effet, pourquoi n’arrive-t-on pas à construire une économie dynamique, productrice de richesses et d’emplois, une économie qui exploite son énorme potentiel pour rejoindre rapidement le groupe des économies émergentes ?

Rouibini: Goodbye China, Hello Indonesia

By Anthony Deutsch in the Finacial Times

If economist Nouriel Roubini was a betting man, he’d be cashing out of China and doubling down on Indonesia.