#InfoÉnergie - Actualité et Agenda InfoÉnergie - Actualité InfoÉnergie - Agenda [logo.jpg] [USEMAP:menu_haut_particulier.jpg] __________ [pourquoi_agir.jpg] [puce_off.jpg] Bâtiment Basse Conso [puce_off.jpg] Construire [puce_off.jpg] Rénover [puce_off.jpg] Bois-énergie [puce_off.jpg] Solaire photovoltaïque [puce_off.jpg] Solaire thermique [puce_off.jpg] Pompe à chaleur [puce_on.jpg] Autres énergies [puce_off.jpg] La mobilité [puce_off.jpg] L’alimentation [puce_off.jpg] Les équipements [puce_off.jpg] La consommation courante [puce_off.jpg] Les loisirs [puce_off.jpg] Annuaire EcoConso Particuliers > Utiliser les énergies renouvelables > Autres énergies > Biocarburants Imprimer Autres énergies * Les biocombustibles * Biocarburants * Hydraulique * Eolienne * Le biogaz * Intérêt et enjeux * Les différents types de biocarburants * Perspectives : les biocarburants de seconde génération * Adresses utiles biocarburants Un biocarburant est un carburant liquide issu de la transformation des matières végétales produites par l’agriculture (betteraves, blé, maïs, colza, tournesol, pommes de terre…), ou de déchets organiques. A condition que leur bilan énergétique soit nettement positif, c’est-à-dire qu’ils produisent plus d’énergie qu’ils n’en ont nécessité pour leur production et leur transformation (ce qui n’est pas toujours le cas), les biocarburants peuvent être assimilés à une source d’énergie renouvelable . Leur combustion est en principe nettement moins polluante que celle des carburants d’origine fossile : Elle produit pas ou peu d’oxydes azotés et soufrés (NOx, SOx), de la vapeur d’eau et du CO2. Ce dernier ayant été stocké par la plante lors de sa croissance, il n’augmente pas la concentration de gaz à effet de serre dans l’atmosphère et est donc neutre du point de vue du changement climatique. Contact | Mentions légales | Plan du site Édité par : HESPUL Partenaires : ADEME | Région Rhône-Alpes | Département du Rhône | Info->Énergie Rhône-Alpes [bouton_telephoner_haut.gif] [bouton_telephoner_bas.gif] #Syndiquer tout le site * En vidéo : Aline réinvente Noël chaque année ! 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Non seulement d'un point de vue réchauffement climatique, sujet hautement préoccupant actuellement, mais aussi d'un point de vue épuisement des ressources naturelles. En effet, qui dit combustion de pétrole, dit émission de CO[2]. C'est donc à raison de 3,7 tonnes par an et par ménage que les Wallonnes et les Wallons rejettent du CO[2] en utilisant leur voiture. De l'intérêt des biocarburants Limiter ces émissions est donc capital. La solution la plus efficace est de moins utiliser sa voiture (notamment pour les petits trajets !), en privilégiant les autres modes de déplacement à chaque fois que c'est possible. Si l'utilisation de la voiture est indispensable, on diminuera la consommation en rationalisant ses déplacements, en utilisant une voiture économique, en l'entretenant convenablement ou encore en conduisant de manière souple. Utiliser un carburant n'émettant pas de CO[2] et ne dépendant pas des ressources fossiles est une manière supplémentaire d'agir. Les biocarburants répondent partiellement à ces deux attentes. Voyons pourquoi la réponse n'est que partielle... Mais un biocarburant, c'est quoi ? Les biocarburants sont des carburants renouvelables liquides ou gazeux utilisés pour le transport et produits à partir de la biomasse. Il existe une multitude de matières premières et de procédés menant à la production d'un biocarburant. Actuellement, les matières premières les plus utilisées dans le monde sont issues de cultures oléagineuses (colza, tournesol), amylacées (froment, seigle, maïs) et sucrées (betterave, canne à sucre). Concrètement cela signifie deux choses : * les biocarburants ne sont pas liés à l'exploitation du pétrole, ce qui nous permettrait de diminuer l'exploitation de cette ressource non renouvelable ; * les plantes qui servent à leur production accumulent du CO[2] (sous forme de biomasse). Le CO[2] émis lors de la combustion des biocarburants est donc partiellement compensé par celui qui a été absorbé par les plantes pendant leur croissance. Au contraire du pétrole qui en quelque sorte contient du CO2 captif depuis des millions d'années, le cycle des biocarburants est bouclé directement. Les types de biocarburants Il y a deux grands types de biocarburants, chacun se rapprochant d'un carburant fossile existant. Il y a l'éthanol, produit à base de canne à sucre ou de betterave. C'est le « remplaçant » de l'essence. L'autre est l'huile de colza ou de tournesol. Il s'agit de la version renouvelable du diesel (gazole). Une version plus raffinée de ces huiles pures existe également sous le nom de biodiesel. En pratique, comment utiliser ces biocarburants ? 5 % de biodiesel et d'éthanol seront injectés dans les carburants actuels d'ici la fin de l'année en Belgique. L'avantage est que cela ne nécessite pas de modification des moteurs actuels. L'inconvénient étant que personne ne roule « vert », le résultat ne s'appréciant que globalement. Difficile donc de clairement marquer son intérêt pour un biocarburant donné. On peut aussi rouler au biocarburant pur (ou à raison d'un pourcentage très élevé). Cela nécessite bien souvent une modification du moteur (c'est même indispensable pour le bioéthanol). Certains moteurs diesels de génération précédente sont capables de rouler à l'huile de colza pure, mais il faut souvent ajouter un système permettant de liquéfier l'huile lorsque la température extérieure descend en dessous d'un certain seuil. Le biodiesel est lui utilisable normalement sans restrictions. L'utilisation de biocarburant « pur » vous impose cependant de passer par des points de vente spécialisés. L'éthanol devrait être distribué dans certaines pompes mais plusieurs éléments doivent encore être clarifiés avant que le consommateur ne puisse s'approvisionner en ce carburant. Les véhicules adaptés ne sont de toutes façons pas encore disponibles pour le consommateur. L'huile de colza est elle disponible chez certains agriculteurs/producteurs de colza. Défiscalisée depuis l'année passée (du moins si vous l'achetez chez le producteur même), cette huile revient à un peu moins de 0,80ct/litre, ce qui est moins cher que le diesel normal. Le biodiesel n'est à notre connaissance pas disponible "pur" à la pompe. Pourquoi utiliser le conditionnel en parlant de la solution « biocarburants » ? Les biocarburants ne sont pas une solution miracle. En effet, pour pouvoir être utilisé comme carburant, le produit agricole suit une transformation qui nécessite l'apport de combustibles fossiles. S'il « n'y a qu'à » extraire le pétrole pour posséder la matière brute donnant un carburant après transformation, la matière brute du biocarburant nécessite une production à part entière qui implique notamment engrais, produits phytosanitaires (pesticides...) et utilisation de machines agricoles. Les résultats des études sur le sujet sont cependant très variables. Certains paramètres peuvent en effet modifier considérablement la performance d'un biocarburant. Pour le colza par exemple, utiliser les tourteaux (la pâte) résultant de l'extraction de l'huile améliore le bilan global. Si ces tourteaux ne sont pas utilisés ou s'ils nécessitent une grande quantité d'énergie pour être traités, le bilan se détériore. Que constate-t-on ? Tous les produits agricoles cultivés à des fins de biocarburants qui ont été étudiés produisent, au final, plus d'énergie qu'ils n'en consomment : le bilan est donc positif. Cela a évidemment une incidence directe sur le bilan CO[2] de ces biocarburants. Ainsi, l'éthanol permet une réduction des émissions de 30 à 50% par rapport à l'essence. Le colza et le tournesol permettent une réduction des émissions de +/- 75% par rapport au diesel. Si l'on peut utiliser des huiles végétales brutes (moins transformées), le résultat s'améliore encore en passant à 80% (mais cela nécessite un moteur adapté). On ne peut cependant pas se limiter à la seule problématique du CO[2] ! Concrètement, deux problèmes se posent. Le premier concerne l'utilisation de la terre. Pour atteindre les objectifs de 5% de biocarburants précités, il faudrait utiliser 15% de la surface agricole actuelle, surface actuellement utilisée. On pourrait donc envisager de : * augmenter la productivité des terres en utilisant plus d'intrants (engrais, pesticides...), mais cela nécessiterait au final plus de ressources fossiles, sans compter les autres impacts désastreux sur l'environnement ; * diminuer la superficie destinée à la production alimentaire. Ce dernier point pose évidemment la question du choix : cultivons-nous pour nous nourrir ou pour nourrir nos voitures ? Le deuxième problème concerne le risque d'utilisation accrue de pesticides et/ou d'OGM sous prétexte que la production n'est pas destinée à la consommation humaine. Intéressants, oui, miraculeux, non Les biocarburants sont très intéressants, si du moins on les considère pour ce qu'ils sont, c'est-à-dire un moyen de limiter notre production de CO2 en utilisant une technologie existante. Ils sont à utiliser en complément d'autres actions (diminution de l'utilisation de la voiture, utilisation de voitures plus économes, amélioration des transports en commun, etc.) mais en aucun cas ils ne sont une solution miracle qui nous permettrait de continuer durablement à consommer du transport comme nous le faisons actuellement. La solution se trouve donc plus dans un véritable changement de comportement... Informations complémentaires Le site de l'asbl Valbiom (www.valbiom.be) regorge de documents actualisés sur les biocarburants. Le Réseau Action Climat France (www.rac-f.org) propose également des documents intéressants sur le sujet. Version imprimable Version imprimable Mots-clés carburant l'Art d'éco... consommer énergies renouvelables __________________________________________________________________ Posez-nous vos questions au 081/730.730 ou par E-mail. __________________________________________________________________ Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons Creative Commons License écoconso 2011 | Plan du site #RSS 2.0 * Entrée + Jardin (Page d'accueil du site, en constante évolution) + Sommaire actuel de la page d'accueil + Jardin (suite...) + Debout! + English version of SOS-planete + Chaque jour un geste pour la planète + Portillon de la base + Portillon (suite...) * Editoriaux + Chroniques d'un fou ou abrégé de la folie humaine? + Gardiens de la Terre + Le Titanic, un sacré exemple pour l'humanité + Un OVNI sur la toile? + Les chiffres qui ne mentent pas + L'homme doit renaitre + Révolution verte et révolution des planètes : les écologistes de la seconde vague ne mâchent pas leurs mots + L'homme transgénique immortel? + Manipulation de masse + La vérité qui dérange + La bourse ou la vie? + Le bonheur avec trois fois rien * Dossiers brûlants + Comment va la Terre ? + Réchauffement climatique + Assombrissement de la planète + Le trou dans la couche d'ozone + La Terre une poubelle ? + Energies propres et sales + Alerte aux biocarburants ! + Forêts : le trésor dilapidé + Erosion de la biodiversité - derniers peuples premiers + Le point sur les OGM + Brèves des biotechnologies + Invasion des nanotechnologies + Les zommes transgéniques + Monde de clones! + Nouvel ordre mondial + Respect de la dignité humaine + Surpopulation mondiale + Echelon : les grandes oreilles ! + Animaux martyrs + Gestes pour sauver la planète + Science et conscience + Terrible échéancier + Santé, alimentation * Fin des ressources + La fin de la société du gâchis + 2012 : fin du terbium + 2018 : fin du hafnium + 2021 : fin de l'argent + 2022 : fin de l'antimoine + 2023 : fin du palladium + 2025 : fin de l'or + 2025 : fin du zinc + 2025 : fin de l'indium + 2028 : fin de l'étain + 2030 : fin du plomb + 2030 : fin du lithium + 2038 : fin du tantale + 2039 : fin du cuivre + 2040 : fin de l'uranium + 2048 : fin du nickel + 2050 : fin du pétrole + 2064 : fin du platine + 2072 : fin du gaz naturel + 2087 : fin du fer + 2120 : fin du cobalt + 2139 : fin de l'aluminium + 2158 : fin du charbon * Quoi de neuf? + Accès direct aux infos quotidiennes de Sauve la Terre! + Nouvelles pages + Vos nouveaux messages dans les forums + Statistiques mondiales en temps réel + Devenez lanceur-veilleur pour Terre sacrée ou publiez vous-même des informations qui ouvrent l'esprit + Pétitions en ligne + Action de terrain en cours + Vos réactions au Binzzz * Nos services + Bannir la graisse de palme + Annuaire vert + Lettre hebdomadaire basique + Sauve la Terre! 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Partis d'un bon sentiment, les biocarburants vont participer à la destruction de ce qui reste des forêts tropicales et entraîner des effets secondaires criminels pour la survie d'espèces telles que l'Orang-Outang. module http://www.3w-traduction.com/ TOUT EN BAS! Ascenseur express Partis d'un bon sentiment, les agro-carburants, dits improprement "biocarburants ", participent à la destruction de ce qui reste des forêts tropicales en les exploitant plus encore qu'auparavant, entrainant des effets secondaires criminels pour la survie d'espèces telles que l'Oran-Outang ou le gibbon. nature, environnement, écologie, biologique 11 mai 2010 : La dernière folie en date : faire de l'essence avec des dattes! biocarburants, agrocarburants Tandis que des millions d'humains dans le monde souffrent encore de malnutrition, transformer des plantes alimentaires en carburant pour nos voitures est criminel. C'est même un crime contre l'humanité! ________________ De Frei Betto, en août 2007 : Nous allons nourrir des voitures et affamer des personnes. Il y a 800 millions de véhicules automobiles dans le monde. Le même nombre de personnes survit en état de dénutrition chronique. Ce qui est inquiétant c'est le fait qu'aucun des gouvernements enthousiasmés par les agrocombustibles ne remette en question le modèle de transport individuel, comme si les bénéfices de l'industrie automobile étaient intouchables. (...) ________________ ...L'Indonésie est en proie à la "fièvre de l'huile de palmier". Les perspectives que celle-ci offre en matière de biocarburant et autres dérivés ont conduit à transformer des pans entiers de forêt en plantations de palmiers, y rendant irréversible la déforestation. (Francis Deron Le Monde du 04.09.07.) ________________ Biocarburants: La production va augmenter 25 juin 2008 : Selon l'agence américaine d'information sur l'énergie (EIA), qui a fait part de ses prévisions mercredi, la production des biocarburants comme l'éthanol et le biodiesel va s'accentuer pour doubler d'ici à 2030. Selon l'EIA, la production mondiale devrait passer de 1,3 millions de baril par jour (bpj) en 2010 à 2,7 millions en 2030. Pour les seuls Etats-Unis, la production pourrait passer dans le même laps de temps de 500 000 bpj à 1,2 millions. _________________ S'agissant du maïs, une étude de l'université Cornell de New York affirme que la production d'un litre d'éthanol nécessite 1,3 litre de pétrole, soit un rendement négatif. Ce carburant réchaufferait donc davantage la planète que l'essence... __________________ Qu'est-ce que les agrocarburants ? Entretien avec Jean-Yves Aubry, agriculteur et membre de la Confédération paysanne. environnement, nature, vert, écologie, biologique, planète Terre On confond souvent biocarburants et agrocarburants. Les biocarburants sont tous les carburants qui proviennent de la bio-masse [l'ensemble de la matière vivante], c'est-à-dire le pétrole, le charbon... mais aussi les agrocarburants. En fait, presque toutes les énergies qu'on utilise. Les agrocarburants, ce sont les carburants qui sont fabriqués avec les produits agricoles comme les céréales. Pourquoi les agrocarburants sont-ils nocifs ? Les agrocarburants, présentés comme une alternative au pétrole, ont des conséquences négatives. Ils posent en fait un grave problème : ils entrent en concurrence avec les cultures alimentaires. Avec le développement des pays du Sud et de l'Asie la demande en alimentation est de plus en plus importante. Or les sols ne peuvent pas produire plus. Pire, leur capacité de production régresse. Donc on a plus de demande et moins d'offre, ce qui va entraîner une hausse des prix des céréales. Les pays pauvres et les populations les plus défavorisées dans les pays riches ne pourront plus acheter. On va affamer le monde avec les agrocarburants. L'agriculture industrielle n'a pas réussi à nourrir le monde mais les agrocarburants vont carrément l'affamer. Les agrocarburants sont pourtant défendus par certains ? Est-ce une énergie financièrement intéressante ? Non, les agrocarburants seraient économiquement intéressants si l'état ne les taxait pas du tout. Et pourtant aujourd'hui, ils sont déjà peu taxés (27 %) par rapport au pétrole. En France, peu d'agriculteurs, même parmi les céréaliers les défendent. C'est à tort que l'on pense que c'est une énergie intéressante. En fait, le pétrole est une énergie moins problématique que les agrocarburants. Quelles sont les énergies de l'avenir ? Il faut sortir des énergies carbonées. Il faut utiliser l'eau, le vent, le soleil, et la méthanisation, c'est-à-dire la fermentation des déchets végétaux. évidemment il n'y a pas de solution idéale car on ne peut pas produire d'énergie sans qu'il n'y ait de conséquence négative. http://www.lemans.maville.com/ _____________ C'est complètement aberrant de prévoir en France 20 Mtep de "biocarburants" dans 30 ans ; avec 10 % de "biocarburants" dans l'essence , il faudrait utiliser 56 % des terres cultivables , et des masses d'ogm; d'où réduction massive des cultures vivrières et famine dans le Monde. Pour avoir un taux de 63 % d'incorporation de "biocarburants" , il faut 20 Mtep dans 30 ans. IMPOSSIBLE ! MICHEL GUEGUEN INGENIEUR CHIMISTE Sommaire de la page : environnement, nature, écologique, bio Nouvelles des "bio"carburants L'Indonésie détruit ses forêts pour remplir les pompes du Nord - Le patron de Nestlé contre les biocarburants- Qu'est-ce que les agrocarburants? - Rouler ou manger, il faut choisir! - Les biocarburants sont une catastrophe totale pour les affamés du monde -Huile de palme et déforestation - Priorité à l'alimentation! - La position des Verts européens sur la sécurité alimentaire et les carburants végétaux - Les pays pauvres impactés par les biocarburants - Un prix Nobel de chimie critique l'utilisation des biocarburants - Vos réactions nature, environnement, écologie, biologique Comment les "biocarburants" détruisent l'Amérique latine : http://www.notre-planete.info/ nature, environnement, écologie, biologique 17.04.2009 : Les agrocarburants rejetteraient plus de gaz à effet de serre que les carburants fossiles : http://www.echo-nature.com Biocarburants : la FAO émet des doutes laterre.ca 8 octobre 2008 L'agence de l'ONU pour l'Alimentation et l'Agriculture, la FAO, doute des bienfaits sur l'environnement associés à l'utilisation des biocarburants. Dans un rapport rendu public aujourd'hui à Rome, l'agence dénonce aussi les politiques de soutien aux biocarburants. Pour l'agence, l'augmentation de la production de biocarburants est en partie responsable de la hausse des prix agricoles et de la crise alimentaire mondiale. Selon l'organisme, cette production a triplé entre 2000 et 2007 pour s'élever à 2 % de la consommation mondiale de carburant. En outre, l'agence croit que les biocarburants ne contribueraient pas autant que prévu à la réduction des gaz à effet de serre. Les biocarburants tirés du maïs et du colza, notamment, émettraient bien plus de pollution qu'espéré. L'organisme s'est également dit préoccupé par la déforestation et la réaffectation des terres pour favoriser la production de biocarburants. La biodiversité et la qualité de l'eau et des sols risqueraient d'en souffrir. En ce qui a trait aux mesures de soutien à cette production, la FAO est d'avis que ces politiques sont coûteuses, sans compter qu'elles introduisent de nouvelles distorsions dans le marché. L'agence croit que les investissements devraient plutôt favoriser les biocarburants de deuxième génération, soit fait à partir de paille, de bois ou de résidus. http://www.laterre.ca/ biocarburants, agrocarburants L'Indonésie détruit ses forêts pour remplir les pompes du Nord Le pays compte déjà 7,3 millions d'hectares de palmiers à huile soit deux fois la superficie des Pays-Bas. Témoignage. L'Indonésie est le premier producteur mondial d'huile de palme. Pour répondre à l'énorme demande des firmes étrangères, américaines ou européennes qui utilisent l'huile de palme comme agrocarburant, le gouvernement déforeste à grande échelle. Ginting Tongena, membre des Amis de la Terre en Indonésie, témoigne. " En Indonésie, l'huile de palme était utilisée pour l'alimentation humaine, pour la fabrication de cosmétiques pour l'alimentation animale. Désormais, elle l'est aussi pour les agrocarburants. Il ya une énorme demande, une énorme pression pour la production d'huile de palme à destination des pays du Nord. Le gouvernement prévoit que la production devrait doubler dans les vingt prochaines années. Aujourd'hui, l'Indonésie est le plus gros producteur mondial. Aec la Malaisie, elle fournit 90% du marché mondial. 7,3 millions d'hectares sont déjà consacrés à la production d'huile de palme pour les carburants. Et le gouvernement en a d'ores et déjà alloué 20 millions supplémentaires - soit la surface de l'Angleterre, de la Suisse et des Pays-Bas réunis-, pour que ces cultures puissent se développer encore. Ce qui signifie que la déforestation déja très importante, et la pollution des sols et des eaux va s'accroître encore. Or l'Indonésie est déjà le le troisième contributeur en gaz à effet de serre derrière les Etats-Unis et la Chine, non pas à cause des transports, mais à cause du relargage entraîné par la déforestation. La déforestation est une catastrophe en matière de biodiversité. Elle aboutit à la disparition des habitats naturels d'espèces déjà menacées comme les tigres ou les Orang-Outans. L'impact sur les populations est déastreux. En Indonésie, 60% à 90% de la population dépend de la forêt. Ils en tirent des matériaux de construction, des plantes médicinales, des denrées alimentaires et des sources de revenus. La déforestation les laisse sans moyens de subsistance et coupés de leur mode de vie traditionnel. On leur a fait miroiter les emplois liés au développement des agrocarburants mais en fait ces cultures en créent peu et ce sont surtout des emplois précaires, avec peu de technologie." http://www.liberation.fr/terre/ Non aux agrocarburants Agrocarburants de deuxième génération 12 septembre 2008 : Une récente étude de l'Office national interprofessionnel des grandes cultures indique que les biocarburants de seconde génération ne seront prêts à l'industrialisation qu'autour de 2020. Ces nouveaux carburants verts suscitent l'espoir alors que la première génération de souffre d'un bilan environnemental contrasté et d'une concurrence avec la production alimentaire. Les carburants verts de seconde génération, produits à partir des déchets agricoles ligno-cellulosiques, ou encore d'algues, n'entrent pas en concurrence avec les cultures alimentaires. Johannes Braun L'article en entier : http://www.developpementdurablelejournal.com Le patron de Nestlé contre les biocarburants Selon Peter Brabeck, si les matières premières alimentaires sont utilisées pour des biocarburants, "il n'y aura plus rien à manger". Le recours accru aux matières premières alimentaires pour la production de biocarburants met en péril l'approvisionnement alimentaire de la population mondiale, a averti dimanche le patron de Nestlé, Peter Brabeck. "Si l'on veut couvrir 20% du besoin croissant en produits pétroliers avec des biocarburants, comme cela est prévu, il n'y aura plus rien à manger", a déclaré le PDG du premier groupe alimentaire mondial, Peter Brabeck, dans une interview au journal dominical NZZ am Sonntag. "Accorder d'énormes subventions pour les produire est inacceptable moralement et irresponsable", a ajouté le dirigeant du groupe suisse, estimant que les millions de tonnes de maïs consacrées aux biocarburants sont autant en moins pour le secteur alimentaire. Alors que ce phénomène tire vers le haut les prix du maïs, du soja et du blé, les terres cultivables deviennent rares et l'eau est elle aussi menacée, a déclaré M. Brabeck, estimant que pour produire un litre de bioéthanol il faut 4.000 litres d'eau. http://www.liberation.fr/ environnement, nature, écologique, bio De C. Berdot, le 15 septembre 2007 : Bonjour En complément de vos articles sur les agrocarburants, voici un article des Amis de la Terre intitulé "Ethanol de maïs : l'énergie du désespoir" Voici le lien, http://www.amisdelaterre.org/Ethanol-speculation-et-famine.html Cet article dénonce la flambée des prix alimentaires dans le monde, due notamment à la spéculation provoquée par les agrocarburants, plus précisemment l'éthanol de maïs. Non seulement, nous finançons, en tant que contribuables, des mesures de défiscalisation chères, mais nous payons aussi en tant que consommateur, l'augmentation des prix alimentaires. Sans compter que l'éthanol de maïs ne sert à rien contre le réchauffement de la planète - voir dernier rapport de l'OCDE - et que les pauvres de la planète ne peuvent plus se payer à manger... Quant au Programme Alimentaire Mondial de l'ONU comment continuera-t-il à fournir l'aide d'urgence à 90 millions d'humains affamés... ? Les autres agrocarburants n'en sont pas pour autant inoffensifs. En ce moment le gouvernement indonésien met à exécution son projet d'abattre 16 millions d'ha des forêts humides les plus riches de la planète en biodiversité pour faire de l'huile de palme pour nos moteurs... Voir l'article : "Agrocarburants : une catastrophe écologique et sociale annoncée": http://www.amisdelaterre.org/-Les-carburants-.html Vous souhaitant bonne lecture. Amitiés terrestres et landaises C. Berdot Les autres agrocarburants n'en sont pas pour autant inoffensifs. En ce moment le gouvernement indonésien met à exécution son projet d'abattre 16 millions d'ha des forêts humides les plus riches de la planète en biodiversité pour faire de l'huile de palme pour nos moteurs... Voir l'article : "Agrocarburants : une catastrophe écologique et sociale annoncée": http://www.amisdelaterre.org/-Les-carburants-.html Pseudo-biocarburants La faim, la bagnole, le blé et nous. Une dénonciation des biocarburants de Fabrice Nicolino, Ed. Fayard. A commander d'urgence à votre libraire C'est un coup de poing qui fait voler en éclats la propagande menée en faveur des biocarburants. Blé, colza, tournesol au Nord ; soja, maïs, palmier à huile ou canne à sucre au Sud sont présentés comme une panacée écologique, une réponse verte à l'épuisement des ressources pétrolières. Le livre pamphlet de Fabrice Nicolino, journaliste au magazine Terre sauvage, démonte les contre-vérités enrobant ce qu'il appelle des "armes de mort". L'auteur s'en prend au mot biocarburant. "Falsification", dit-il, car leur production nécessite un usage massif d'engrais et de pesticides, prolongeant ainsi une agriculture industrielle néfaste à l'environnement. De plus, c'est au prix du massacre des dernières forêts tropicales que déferlent les biocarburants. Entre 1985 et 2000, le développement des plantations de palmiers à huile a été responsable de 87 % de la déforestation en Malaisie. Quant à l'Indonésie, deuxième producteur mondial, elle a perdu 72 % de sa surface forestière primaire. En outre, réputés économes en émission de gaz à effet de serre, les biocarburants se révèlent, selon divers études (dont celles de Paul Crutzen, Nobel de chimie), plus néfastes pour le climat que le pétrole ! Le pire semble, aux yeux de Nicolino, le risque d'aggravation de la faim dans le monde. Le boom de ces carburants, avec la flambée des céréales, déstabilise déjà le marché mondial de l'alimentation. Dramatique pour les 2,7 milliards d'hommes qui vivent avec moins de deux dollars par jour. La concurrence s'annonce fatale entre les cultures vivrières et celles destinées aux voitures. QUOTIDIEN Libération : vendredi 5 octobre 2007 biocarburants, agrocarburants Rouler ou manger, il faut choisir! biocarburants, agrocarburants Rouler ou manger, il faut choisir! Mais c'est une imposture ! Il faut la dénoncer avant qu'il ne soit trop tard. Au secours ! On veut nous faire avaler une couleuvre ! On cherche à nous faire croire que le "pétrole vert " est bio. Ainsi parle-t-on de "biocarburant " Et bien non seulement il ne l'est pas, vu l'utilisation outrancière de pesticides qu'il nécessite, mais en plus il vole le bol alimentaire des plus pauvres et fait même une hécatombe en rasant les dernières forêts tropicales. On nous fait croire que les "biocarburants " sont écologiques, mais rien n'est plus faux. En France, le gouvernement prévoit d'introduire un plus grand pourcentage d'huile de colza et de tournesol dans le carburant noir. De plus, 500 pompes de bioéthanol E85 doivent être implantées dans l'hexagone d'ici la fin 2007. L'E85 n'est pas un carburant 100 % agricole, puisque composé de 85 % d'éthanol (un alcool qu'on produit à partir de betteraves ou de céréales) avec 15 % d'essence, mais déjà très satisfaisant, et pompeusement surnommé Bio-Ethanol. La consommation d'E85 réduit en effet les émissions de CO2 de 70 %. Ce nouveau carburant est réservé aux véhicules dont la carburation est prévue à cet effet. Des modèles à double carburation, dit "flexibles ", devraient être commercialisés sous peu en France. Les cultures agricoles nationales destinées à nos voitures ne suffiront bien sûr jamais à remplacer le pétrole. Sinon que mangerions-nous ? Nous devrons donc importer ce carburant dit "vert ", par exemple du Brésil qui défriche à tout va sa forêt primaire pour satisfaire la demande mondiale grandissante. De même Sumatra et Bornéo, derniers îlots de nature vierge, sont en train de se transformer en cultures intensives de palmiers dont l'huile peut être utiliser comme carburant. De la folie ! Bonjour le "biocarburant "! Dévaste tout, fait le vide autour de lui... Pauvre petite Terre, tu as déjà du mal à nourrir correctement 6,5 milliards d'habitants, alors comment feras-tu pour alimenter nos centaines de millions de voitures ? Surtout que, lorsqu'il n'y aura plus de pétrole, en 2050, on nous annonce également 9 milliards de bouches à nourrir. Michel Walter, pour Terre sacrée, le 30 octobre 2006. environnement, nature, écologique, bio Vos réactions à ce message biocarburants, agrocarburants La forêt tropicale de Sumatra et de Bornéo cède petit à petit la place à une immense plantation de palmiers dont l'huile doit fournir le "biocarburant" pour les voitures d'aujourd'hui et de demain. Nos proches cousins, les Orang-Outans, sont chassés comme du gibier et ils devraient disparaître d'ici 20 ans si nous ne faisons rien immédiatement. ______________ Les biocarburants sont souvent préconisés pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, mais pour les produire à grande échelle, il faut de l'eau, beaucoup d'eau. Deux fois plus que ce qu'est utilisé aujourd'hui pour l'agriculture, estime l'Institut International de l'Eau, qui se demande comment on pourra continuer à cultiver des aliments pour nourrir une population mondiale croissante. Les biocarburants suscitent donc beaucoup de questions. http://www.rtbf.be/info/societe/ARTICLE_112090 ______________ La production accélérée au niveau mondial d'éthanol (à partir de maïs, de canne à sucre, de betteraves ou de déchets végétaux) et de biodiesels (à partir de soja et d'autres oléagineux) crée une compétition pour l'utilisation des terres les plus fertiles, doublée d'un accroissement de l'utilisation des engrais et des pesticides, et d'une menace pour la biodiversité quand de nouvelles terres sont converties à ce type de monoculture. (Enerzine) _____________ Cet aspect du problème a été souligné par HUGO CHAVEZ, président du Vénézuela, qui dans son grand discours à Buenos Aires en février 2007 a précisé que pour produire assez d'éthanol pour faire le plein (un plein) d'un réservoir d'une voiture aux Etats-Unis il faut autant de terre et de travail agricole (hommes, outils, engrais) que pour produire la nourriture de 7 personnes pendant un an. ______________ "Remplir le réservoir d'un 4x4 avec 94,5 litres d'éthanol pur nécessite environ 204 kg de maïs, soit suffisamment de calories pour nourrir une personne pendant un an", écrivent deux professeurs d'économie à l'université du Minnesota. biocarburants, agrocarburants Les biocarburants sont une catastrophe totale pour les affamés du monde BRUXELLES, 7 novembre 2007 - C'est ce que prétend le rapporteur des Nations unies pour le droit à l'alimentation, Jean Ziegler. Ziegler exige un moratoire international sur la production de biocarburants, afin de lutter contre la hausse des prix alimentaires. Le problème réside dans la constatation que l'utilisation de plus de surfaces pour les biocarburants réduit les surfaces disponibles aux produits alimentaires. La réduction de la production des produits alimentaire engendre une augmentation du prix de ces produits alimentaires. Ainsi le développement des biocarburants contribue largement à cette envolée des prix. Afin d'arrêter l'augmentation des prix, Ziegler plaide pour une interdiction sur la conversion de terres à la production de biocarburants au moins pendant cinq ans. Le délai devrait permettre à la science de voir comment on pourrait passer aux biocarburants de deuxième génération, produits à partir de déchets agricoles ou de plantes non agricoles, comme le jatropha qui pousse naturellement sur des terres arides. Nouvelles des "bio"carburants biocarburants, agrocarburants Biocarburants de deuxième génération : De l'éthanol dans les noyaux d'olives ! santé de la planète Une équipe de chercheurs espagnols a réussi à extraire du Bioéthanol à partir de noyaux d'olives en utilisant un procédé simple et bon marché, qui pourrait être développé pour valoriser d'autres déchets ligno-cellulosiques. environnement, nature, écologique, bio Agrocarburants : les banques françaises financent une fausse solution selon une organisation écologique Les Amis de la Terre viennent de publier un nouveau rapport sur le financement européen des agrocarburants en Amérique latine qui révèle l'implication des plus grandes banques françaises, avec BNP Paribas en tête, la Société Générale, le Crédit Agricole, Natixis et Banque Populaire parmi les sources de financement. Les Amis de la Terre demandent aux banques françaises impliquées de cesser immédiatement leur participation à l'expansion rapide des agrocarburants, qui aggravent la déforestation à grande échelle et les conflits sociaux, menacent la souveraineté alimentaire dans un contexte de Alors que, selon les Nations Unies et la Banque mondiale, plus de 100 millions de personnes font actuellement face à une famine aigüe à cause de la hausse des prix des denrées alimentaires, les agrocarburants sont de plus en plus accusés de participer à cette crise et même de l'aggraver. Le rapport "Le financement européen de la production d'agrocarburants en Amérique latine; publié aujourd'hui par Les Amis de la Terre met en évidence les milliards d'euros d'investissements réalisés par les plus grandes banques européennes telles que HSBC, BNP Paribas, Barclays ou UBS, dans la production et le commerce de sucre de canne, de fèves de soja et d'huile de palme en Amérique latine. La suite : http://news.deforestation-amazonie.org/ environnement, nature, écologique, bio Alerte aux agrocarburants en COLOMBIE : protestez ! Le gouvernement colombien se lance dans un développement massif de plantation de palmiers à huile, de canne à sucre et d'autres monocultures, au détriment des forêts tropicales humides, de la biodiversité de ses prairies et des communautés locales. La monoculture de canne à sucre est en train de se développer dans la vallée du Cauca, tandis que des centaines de milliers d'hectares sont transformés en plantations de palmiers à huile dans les régions du pacifique, des plaines de l'Est et des Caraïbes. environnement, nature, écologique, bio Nouveau rapport de Greenpeace : le boom de l'huile de palme accélère le réchauffement du climat environnement, nature, écologie, biologique Un mois avant la conférence des Nations Unies à Bali qui décidera des suites à donner au protocole de Kyoto, un nouveau rapport de Greenpeace "Cooking the Climate" révèle comment en Indonésie, de grands groupes industriels, Unilever, Nestlé ou Procter & Gamble, se rendent complices du réchauffement climatique en participant à la destruction des espaces forestiers tropicaux au profit d'immenses cultures de palmiers à huile. Pourtant, protéger les forêts anciennes encore préservées est un moyen économique et efficace pour réduire les émissions mondiales de gaz à effet de serre (GES). environnement, nature, écologique, bio Jean Ziegler qualifie le recours aux biocarburants de "crime contre l'humanité" environnement, nature, écologie, biologique Le Rapporteur spécial sur le droit à l'alimentation, Jean Ziegler, s'est inquiété aujourd'hui à l'ONU de l'augmentation du nombre d'affamés dans le monde et a dit craindre que la production massive de biocarburants comme l'éthanol n'aggrave encore le problème en diminuant les surfaces agricoles consacrées aux cultures vivrières. environnement, nature, écologique, bio Biocarburants: "C'est une catastrophe totale pour les affamés du monde" environnement, nature, écologie, biologique On n'avait pas vu forcément les choses sous cet angle, mais les biocarburants risquent d'augmenter la famine. Explications. environnement, nature, écologique, bio Un message de Fabrice Nicolino environnement, nature, vert, écologie, biologique, planète Terre Je suis comme vous lecteur des dépêches de Terre Sacrée. Je les lis. Pour le plaisir et l'information. Parfois un peu par devoir, car je suis journaliste. Certains d'entre vous ont dû déjà lire des articles signés par moi, Fabrice Nicolino. Je suis un professionnel engagé. Oui, je maintiens : engagé. Car je suis un écologiste, et je ne vois pas au nom de quelle absurdité je devrais en avoir honte. environnement, nature, écologique, bio étude de l'OCDE : Les biocarburants plus nocifs que le pétrole environnement, nature, écologie, biologique Un rapport publié, la semaine dernière, par l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) révèle que les biocarburants auraient en fait des impacts plus importants sur l'environnement que le problème auquel il tente de répondre. Les biocarburants, souvent perçus comme la solution ultime aux problèmes de dépendance énergétique, une nouvelle source de revenus pour les agriculteurs et une aide précieuse dans le combat contre les gaz à effet de serre, pourraient en fait être extrêmement nocifs pour l'environnement et créer une augmentation significative des prix des aliments. Le rapport arrive un an après la sortie publique contre l'éthanol de l'un des plus grands botanistes de la planète, Peter Crane, alors directeur du Jardin botanique britanique. environnement, nature, écologique, bio Les biocarburants, danger pour l'environnement? environnement, nature, écologie, biologique Trop gourmands en terres cultivables pour un bénéfice écologique limité : un rapport de l'OCDE met les biocarburants en accusation. L'étude pointe également les dangers de prévisibles extensions de cultures au détriment des milieux naturels. environnement, nature, écologique, bio La faim, la bagnole, le blé et nous environnement, nature, écologie, biologique Je suis journaliste (à Terre Sauvage et à La Croix), après avoir travaillé pour Politis, Géo, Le Canard Enchaîné, Télérama. Je suis le co-auteur, avec François Veillerette, du livre " Pesticides, révélations sur un scandale français ; (Fayard, 2007). Si je me permets aujourd'hui de vous adresser ce message, c'est qu'il y a urgence, une urgence absolue. environnement, nature, écologique, bio Le bioéthanol ferait augmenter la mortalité : http://www.plusnews.fr/ environnement, nature, écologique, bio AGROCARBURANTS : nourrir l'homme ou la machine ? environnement, nature, écologie, biologique Rappelons les objectifs du gouvernement français : introduire d'ici 2010 7% d'agrocarburants, soit un objectif plus ambitieux que celui demandé par l'UE, à savoir 5.75% pour 2010. Pour obtenir ce résultat, il faudrait consacrer aux agrocarburants environ 10% des superficies cultivables. Cette superficie est insuffisante pour couvrir ne serait-ce que la moitié des besoins des véhicules en France. Il faudra donc aller s'approvisionner en Asie principalement, ou en Amérique du sud. En clair, pour nourrir nos machines, nous devrons affamer les populations des pays du Sud. Un récent rapport de la FAO prévient que " le développement des biocarburants pourrait faire monter les prix des denrées agricoles de base sur les dix prochaines années ". environnement, nature, écologique, bio Les agrocarburants présentent un bilan écologique médiocre environnement, nature, écologie, biologique Le bilan écologique des agrocarburants est plutôt mitigé. En effet, l'utilisation de ceux-ci ne permettrait pas forcément de limiter les émissions de gaz à effet de serre, selon les chercheurs. environnement, nature, écologique, bio La nouille et le carburant environnement, nature, écologie, biologique Amies des étudiants fauchés et des travailleurs pressés, les pâtes alimentaires permettent de préparer une infinie variété de repas en un tournemain. Hélas, leur statut d'aliment abordable est menacé. Le prix des spaghettis et autres macaronis augmentera bientôt au supermarché, et d'autres denrées risquent de subir le même sort. Un contrecoup malheureux de la course à l'éthanol. environnement, nature, écologique, bio Les cinq mythes de la transition vers les agrocarburants environnement, nature, écologie, biologique Biocarburants... Le mot évoque l'image flatteuse d'une énergie renouvelable propre et inépuisable, une confiance dans la technologie et la puissance d'un progrès compatible avec la protection durable de l'environnement. Il permet à l'industrie, aux hommes et femmes politiques, à la Banque mondiale, aux Nations unies et même au Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) de présenter les carburants fabriqués à partir du maïs, de la canne à sucre, du soja et d'autres cultures comme la prochaine étape d'une transition douce, du pic de la production pétrolière à une économie énergétique issue de ressources renouvelables, qui reste encore à définir. environnement, nature, écologique, bio COLOMBIE : le désert vert avance environnement, nature, écologie, biologique L'agriculture peut-elle à la fois nourrir les populations et être source d'énergie ? Le témoignage de Henry Ramirez, de l'ONG colombienne Paz y Justicia, prouve que la réponse ne va pas forcément de soi. environnement, nature, écologique, bio Les biocarburants ne réduisent pas les émissions en gaz à effet de serre environnement, nature, écologie, biologique Contrairement à une idée largement répandue, des scientifiques américains affirment que les biocarburants qui se substituent aux carburants classiques ne réduisent pas les émissions en gaz à effet de serre responsables du réchauffement climatique. environnement, nature, écologique, bio Ici et là, on vante les mérites écologiques des biocarburants, agrocarburants ou "carburants verts". Parmi ces carburants, on en trouve un dérivé de l'huile de palmier. Or, pour le produire, il faut déforester massivement certaines zones du monde et ainsi détruire une biodiversité riche. Victimes mises en lumière par ce clip internet de Greenpeace : les Orans-outans et autres grands singes ! http://www.agoravox.tv environnement, nature, écologique, bio La bataille des biocarburants environnement, nature, écologie, biologique Jusqu'à une date récente, les promoteurs des biocarburants n'avaient rencontré qu'un seul véritable obstacle : l'opposition des groupes pétroliers, peu désireux de voir leur monopole remis en question. Quelques voix avaient attiré l'attention sur de possibles dérèglements économiques et écologiques liés à la production massive de carburants issus de la canne à sucre, du maïs ou de la betterave (destinés à la fabrication de l'éthanol) et du palmier à huile, du soja, du colza, ou du tournesol (pour le biodiesel). Mais elles étaient isolées et peu audibles, au milieu des applaudissements saluant l'émergence de substituts " propres " au pétrole. environnement, nature, écologique, bio NON, Les "bio;-carburants ne sont pas BIO ! Petit précis d'une supercherie mondiale environnement, nature, écologie, biologique A tous ceux qui croient encore que ces agro-carburants sont une solution pour contrer le réchauffement climatique et à tous ceux qui participent de près ou de loin à cette immense supercherie, aux médias qui se font trop souvent les porte-parole de l'industrie automobile et pétrolière désireuses de verdir leur image et tromper un peu plus le potentiel consommateur... environnement, nature, écologique, bio Demande de moratoire sur les nécro-carburants environnement, nature, écologie, biologique Suite à l'article de Dominique Guillet "Mettez du sang dans votre moteur: la tragédie des nécro-carburants", l'Association Kokopelli en partenariat avec Univers-Nature lance aujourd'hui-même une demande de moratoire sur les agro-carburants. environnement, nature, écologique, bio ConocoPhillips va produire du diesel à base de graisse animale environnement, nature, écologie, biologique ConocoPhillips et Tyson Foods, ont annoncé lundi une alliance stratégique pour produire et lancer la prochaine génération de carburant diesel à base de graisse animale. environnement, nature, écologique, bio OGM, biocarburants et Euralis biocarburants, agrocarburants Tout d'abord aux Amis de la Terre, nous ne parlons ni de biocarburants, ni de carburants verts car dans 99 cas sur 100, ces carburants ne sont ni bio, ni verts et ne contribuent absolument pas à la protection de l'environnement, au contraire. Un exemple : en ce moment, le gouvernement indonésien poursuit son projet de destruction de 16 millions d'hectares de forêts tropicales, parmi les forêts les plus riches en biodiversité de la planète ! Le but de cette destruction est de produire de l'huile de palme, dans le but exclusif de fournir le marché européen. Dans quelque temps, vous pourrez rouler " bio ", alors que le carburant végétal brûlé dans votre voiture proviendra d'une des destructions écologiques les plus graves de ces dernières années...Lorsqu'on parle de biocarburants, il y a tromperie sur la marchandise ! Les Amis de la Terre, eux, préfèrent donc parler d'agrocarburants ou de carburants végétaux. environnement, nature, écologique, bio Les agrocarburants : solution ou futur problème environnemental ? environnement, nature, écologie, biologique Aujourd'hui se termine le Conseil européen qui devrait définir la politique énergétique européenne pour les 10 ans à venir. L'une des solutions qui semble faire le plus consensus parmi les Etats européens est le développement des agrocarburants. Un objectif de 10% d'ici à 2020 serait fixé pour l'ensemble des transports. Les Amis de la Terre dénoncent cet objectif qui, en l'absence de normes environnementales précises et d'actions prioritaires comme un vaste programme d'économie d'énergie dans le domaine des transports, pourrait avoir un impact environnemental et social catastrophique. environnement, nature, écologique, bio La production de biocarburants à grande échelle : bonne pour les pouvoirs, mauvaise pour le climat et les gens! environnement, nature, écologie, biologique Les modes de production et de consommation des biocarburants ont déjà des effets négatifs sur la sécurité alimentaire, les moyens de subsistance en milieu rural, les forêts et d'autres écosystèmes, et l'on prévoit que ces impacts négatifs vont s'accumuler rapidement. La production à grande échelle de biocarburants pour l'exportation exige de grandes plantations d'arbres, de canne à sucre, de maïs, de palmier à huile, de soja et d'autres produits en régime de monoculture. Or, ces plantations sont déjà la cause numéro un de l'exode rural et de la déforestation dans le monde entier. environnement, nature, écologique, bio Les biocarburants : une grave menace masquée de vert environnement, nature, écologie, biologique Les biocarburants (produits à partir de la biomasse végétale) ne règleront pas le problème du changement climatique, mais vont en aggraver bien d'autres. environnement, nature, écologique, bio Rouler ou manger environnement, nature, écologie, biologique Remplacer tout le pétrole importé en France par des biocarburants supposerait de planter du colza ou des betteraves sur 50 millions d'hectares. Or, la surface de la France métropolitaine est de 55 millions d'hectares! environnement, nature, écologique, bio Tout savoir sur le "bio-carburant" : http://fr.wikipedia.org/wiki/Biocarburant biocarburants, agrocarburants Les pays pauvres impactés par les biocarburants Selon une étude à paraître dans la revue Foreign Affairs, l'usage de plus en plus fréquent de l'éthanol comme biocarburant risque de menacer l'alimentation des 2,7 milliards de personnes dans le monde qui vivent avec moins de 2 $US par jour. "Remplir le réservoir d'un 4x4 avec 94,5 litres d'éthanol pur nécessite environ 204 kg de maïs, soit suffisamment de calories pour nourrir une personne pendant un an", écrivent les deux professeurs d'économie à l'université du Minnesota, et auteurs de l'étude. Si les cours du pétrole restent à un niveau élevé, "l'accroissement rapide de la production mondiale de biocarburant va faire monter les prix du maïs de jusqu'à 20 % d'ici à 2010 et de 41 % d'ici à 2020", pronostiquent-ils. Les cours des autres denrées alimentaires, tels le blé et le riz, pourraient eux aussi être touchés par cette flambée, au fur et à mesure que les agriculteurs délaisseront ces cultures au profit du maïs. Or, selon les auteurs, "le nombre de personnes confrontées à des problèmes de sécurité alimentaire augmenterait de 16 millions pour chaque hausse de 1 % des prix réels des produits de première nécessité. Cela signifie que 1,2 milliard de personnes pourraient régulièrement souffrir de la faim d'ici à 2025, soit 600 millions de plus que ce qui était précédemment prévu". http://www.enerzine.com S. M. Un Prix Nobel de chimie critique l`utilisation des bio-carburants Berlin, 06/2007 - Le Prix Nobel de chimie 1988, l`Allemand Hartmut Michel, a critiqué l`utilisation accrue des carburants biologiques dans l`Union européenne, dans un entretien à la presse régionale allemande de vendredi. L`obligation européenne de mélanger des bio-carburants à de l`essence traditionnelle est "extrêmement négative" du point de vue de l`environnement pour ses "effets dévastateurs" sur les forêts tropicales, a-t-il expliqué au quotidien "Neuen Osnabrücker Zeitung". Les coûts de fabrication du bio-carburant en Europe étant plus élevés en Europe que dans les pays émergents, l`UE est contrainte d`importer par exemple de l`huile de palme d`Indonésie, ce qui conduit à déboiser ou à brûler des forêts tropicales, a-t-il expliqué. Quand on brûle les palmistes à huile, il faut plus d`un siècle pour que le dioxyde de carbone émis soit réabsorbé. Cela vaut également pour les importations de bio-carburant à base de graines de soja du Brésil. (...) http://www.angolapress-angop.ao biocarburants, agrocarburants biocarburants, agrocarburants Huile de palme et déforestation 4 mars 2006, Par Coordination ATF Aujourd'hui avec la crise du pétrole qui pointe, on ne parle plus que de biocarburants. Comme trop souvent, ce qui était au départ une bonne idée, est détourné par certains groupes influents pour ne servir que quelques intérêts particuliers au détriment de l'environnement et de l'ensemble des citoyens. Dans cet article paru dans le Guardian du 8 Decembre 2005, George Monbiot nous montre les destructions massives qui se préparent en Asie du Sud-Est pour nous approvisionner en "biocarburants;. [] D'autre part, et même si Georges Monbiot ne fait référence qu'au gouvernement britannique, des similitudes avec la situation française n'échapperont pas aux lecteurs... Au cours de ces deux dernières années, j'ai fait une découverte inconfortable. Comme la plupart des écologistes, j'ai été aussi aveugle aux contraintes environnementales affectant notre approvisionnement énergétique que nos adversiares l'ont été vis à vis des changements climatiques Je réalise aujourd'hui que je vivais dans le monde de la croyance magique. En 2003, le biologiste Jeffrey Dukes a calculé que les énergies fossiles que nous brûlons en un an provenaient d'une masse de matière organique qui représentait 400 fois la production annuelle actuelle de matière organique de notre planète. En clair, nous utilisons chaque année la valeur de quatre siècles de plantes et d'animaux. [2] L'idée que nous pouvons tout simplement remplacer cet héritage fossile - et l'incroyable concentré d'énergie qu'il nous donne - par l'énergie qui nous entoure est du domaine de la science fiction. Il n'y a pas d'énergie de substitution pour diminuer notre consommation de carburants fossiles. Mais on continue de rechercher partout des produits de substitutions. Ils sont promus aujourd'hui à la conférence de Montréal (sur les changements climatiques, décembre 2005), par des états - comme le nôtre - qui cherche à éviter de prendre les décisions douloureuses qu'imposent les changements climatiques. Une, au moins, de ces solutions de rechange est pire que de brûler les énergies fossiles qu'elle remplace. La dernière fois que je me suis penché sur les risques liés à la fabrication de carburants à partir d'huiles végétales, la virulence des insultes a égalé les sommets atteints par les partisans de la guerre en Irak. Les missionnaires des carburants végétaux sont, dans leur négation des problèmes, aussi bruyants que les responsables d'Exxon. Je suis près à reconnaître que mon éditorial précédent était erroné. Mais qu'ils ne se réjouissent pas trop tôt : j'avais tort parce que j'avais sous estimé l'impact destructeur de ce type de carburant. Avant d'aller plus loin, je dois préciser qu'utiliser l'huile usagée de friture comme carburant est une bonne chose. Les gens qui pataugent et glissent dans des cuves pleines de saletés, rendent un service important à la société. Mais il n'y a en Grande Bretagne de l;huile de friture usagée que pour couvrir 1/380 de nos besoins en carburant pour la route. Et c'est là que les problèmes commencent. Lorsque, l'an dernier, j'évoquais ce sujet, je croyais que le principal problème causé par les carburants végétaux était la compétition pour le foncier qu'ils provoqueraient. Des terres arables utilisées normalement pour faire pousser de la nourriture, seraient utilisées pour faire pousser du carburant. Mais maintenant je découvre que c'est pire encore. L'industrie du carburant végétal a inventé le carburant le plus polluant en carbone au monde. En faisant la promotion des carburanrs végétaux - comme l'Union Européenne, les Etats-Unis et des milliers d'écologistes le font - vous imaginez peut-être que vous créez un marché pour l'huile de friture usagée ou l'huile de colza. En réalité, vous êtes en train de créer un marché pour une des cultures les plus destructrices de la planète. La semaine dernière, le président de l'Autorité Fédérale pour le Développement du Territoire de Malaisie annonçait qu'il était sur le point de faire construire une nouvelle usine pour fabriquer des carburants végétaux. Il s'agissait de la 9ème décision similaire prise en 4 mois. Quatre nouvelles raffineries sont en cours de construction dans la péninsule malaisienne, une au Sarawak et 2 à Rotterdam. Deux consortium étrangers - un allemand et un états-unien - mettent en place deux usines rivales à Singapour. Toutes ces usines vont faire du carburant végétal à partir de la même source : l'huile de palme. "La demande pour du carburant végétal; écrit le Malaisian Star "viendra de l'Union Européenne... Cette toute nouvelle demande devrait au minimum absorber la majorité des stocks d'huile de palme de la Malaisie;. Pourquoi ? Parce que c'est la culture la moins chère comme source de carburants végétaux. En septembre, les Amis de la Terre publièrent un rapport sur les impacts de la production d'huile de palme. "On estime qu'entre 1985 et 2000, le dévelopement des plantations de palmiers à huile a été responsable de 87% de la déforestation en Malaisie;. A Sumatra et Bornéo, quelques 4 millions d'hectares de forêts ont étaient convertis en plantations de palmiers à huile. Et on programme de nouvelles coupes : 6 millions d'hectares en Malaisie et 16,5 millions en Indonésie. Presque toutes les forêts restantes sont menacées. Même le fameux Parc National de Tanjung Puting au Kalimantan a été mis en pièce par des planteurs. Les Oran outans en liberté sont voués à disparaître. Les rhinocéros de Sumatra, les tigres, les gibons, les tapirs, les nasiques et des milliers d'autres espèces pourraient prendre la suite. Des milliers d'habitants de ces régions ont été expulsés de leurs terres et près de 500 Indonésiens ont été torturés lorsqu'ils tentèrent de résister. Les feux de forêts qui, si souvent étouffent la région sous d'épais nuages de fumée, sont pour la plupart allumés par les cultivateurs de palmes. Toute la région est en train de devenir un immense champ de "pétrole; végétal. Avant que les palmiers à huile qui sont petits et rabougris, ne soient plantés, de vastes forêts d'arbres, contenant des stocks de carbones beaucoup plus importants, doivent être abattues et brûlées. Après avoir d'abord utilisé les zones plus sèches, les plantations se déplacent maintenant vers les forêts marécageuses qui poussent sur des tourbièrees. Après avoir coupé les arbres, les planteurs assèchent le sol. Lorsque les tourbières sèchent, elles s'oxydent et relâchent encore plus de carbone que celui contenu dans les arbres. En terme d'impact sur l'environnement, aussi bien local qu'international, l'huile de palme comme carburant végétal est encore plus destructrice que le pétrole brut du Nigéria. Le gouvernement britanique l'a bien compris. Lorsqu'il annonça qu'il suivrait l'Union Européenne et garantirait que le carburant pour les transports provient pour 5,75%, de plantes en 2010, il concédait dans le rapport publié le mois dernier, que "les principaux risques environnementaux seront probablement liés à un accroissement important de la production de matière brute pour les carburants végétaux, en particulier au Brésil avec la cane à sucre et en Asie du Sud-Est avec les plantation de palmiers à huile;. Bien conscient des risques et afin de les éviter, le gouvernement suggérait d'interdire l'importation des carburants végétaux qui détruisent l'environnement. Interrogés par le gouvernement pour savoir si une telle interdiction contreviendrait aux règles du commerce international, les consutants répondirent par l'affirmative : "des critères environnementaux obligatoires... augmenteraient beaucoup le risque d'un recours juridique international contre l'ensemble de la politique;. Le gouvernement abandonna l'idée d'interdire les importations et proposa à la place "une sorte de schéma volontariste;. Le gouvernement a donc décidé malgré tout d'aller de l'avant, tout en sachant que la création de ce marché va provoquer une augmentation massive des importations d'huile de palme, que rien ne pourra vraiment les empêcher et qu'elles vont détériorer plutôt qu'améliorer le climat. eEn d'autres temps, ourtant, à d'autres époques, le gouvernement britannique sut défier l'Union Européenne. Mais en fait, le gouvernement britannique veut exactement la même chose que l;Union Européenne. "Il est essentiel que nous équilibrions notre demande croissante de mobilité avec nos objectifs de protection de l'environnement;, est-il écrit dans le rapport du gouvernement. Jusqu'à récemment, nous avions une politique de réduction des transports. Maintenant, et bien qu'aucune déclaration en ce sens n'ait été faite, cette politique est défunte. Comme les conservateurs dans les années 90, le gouvernement travailliste cherche à satisfaire la demande quels qu'en soient les risques. Des chiffres obtenus auprès de l'association Road Block montrent que, pour l'élargissement de la seule M1, le gouvernement va dépenser 5 milliards d'euros, c'est à dire plus que ce qu'il verse pour tout le programme sur les changements climatiques. Au lieu d'essayer de réduire la demande, le gouvernement essaye de changer les sources d'approvisionnement. Il est prêt à sacrifier les forêts tropicales de l'Asie du Sud Est pour montrer qu'il fait quelque chose et pour que les automobilistes soient contents. Tout cela illustre la futilité des mesurettes discutées à Montréal. Essayer de satisfaire une demande croissante en carburant est pure folie quelle que soit la source d'approvisionnement. Mais les décisions douloureuses ont été évitées et tant pis si une autre partie de notre biosphère part en fumée. [1] Dans ce texte, nous ne traduisons pas "biodiesel;, par "biocarburant; ou "carburant vert;, termes couramment utilisés en France mais par "carburants végétaux;. Les termes "bio; et "vert; laissent penser que tous ces produits favorisent la protection de l'environnement. On en est loin pour certains d'entre eux ! L'éthanol de maïs par exemple, gorgé de pesticides et d'engrais, demande plus d'énergie pour être fabriqué qu'il n'en donnera ! Sans parler de la consommation d'eau : une voiture qui consommerait 5l d'éthanol aux 100km aurait nécessité 45l d'eau pour chaque km parcouru !!! [2] Il faut bien sûr relativiser ce chiffre et tenir compte des pertes liées à la transformation de la biomasse en combustible fossile. Cette étude montre que remplacer les fossiles par des biocarburants reviendrait à accaparer 22% de la production nette primaire de la biomasse terrestre soit 50% de plus qu'aujourd'hui ! http://www.amisdelaterre.org biocarburants, agrocarburants Priorité à l'alimentation ! La position des Verts européens sur la sécurité alimentaire et les carburants végétaux 1. L'euphorie autour des carburants végétaux constitue une menace pour la sécurité alimentaire mondiale. Avec la forte hausse des prix du pétrole les paysans sont poussés à croire que leur avenir réside principalement dans la culture de plantes énergétiques destinées à la fabrication d'éthanol ou de biodiesel. Les huiles végétales coûtent souvent moins cher dans les supermarchés que l'essence à la pompe. Il est bien plus rentable de brûler des céréales que d'en faire du pain ou d'en nourrir les animaux. Mais cette euphorie qui règne autour des carburants végétaux pourrait bientôt mettre en péril la sécurité alimentaire au niveau mondial et même au niveau européen. 2. Les carburants végétaux ne sont pas la panacée contre les changements climatiques La fabrication de carburants végétaux ne constitue pas la solution miracle contre les changements climatiques. Toutes les plantes vertes utilisent le CO2 en le transformant en sucre et en oxygène. Mais les pratiques agricoles actuelles de culture du maïs, des céréales, de la canne à sucre, de l'huile de palme et du soja destinée à la production de carburants reposent entièrement sur le pétrole. De nombreuses études scientifiques attestent que le bilan énergétique de la culture de plantes énergétiques est négatif. Celles qui suggèrent des bilans énergétiques positifs dans la culture industrielle des plantes énergétiques négligent d'importants facteurs car elles externalisent des inputs énergétiques significatifs comme le transport et négligent aussi d'autres impacts sur l'environnement et la sécurité alimentaire mondiale. De nombreux modèles ignorent également les risques de perte des récoltes à cause de l'augmentation des sécheresses, maladies et inondations liées aux changements climatiques, ce qui conduit à une certaine insécurité en matière d'approvisionnement alimentaire. 3. Les transports des denrées alimentaires sur de longues distances mettent en péril l'approvisionnement L'agriculture industrialisée et l'industrie alimentaire internationale font partie des principaux consommateurs d'énergie dans le monde. Engrais et additifs chimiques, installations mécaniques, arrosage, séchage, transformation et congélation consomment d'importantes quantités de pétrole. Le transport des denrées alimentaires s'est fortement intensifié dans l'UE en raison des énormes importations de nourriture animale, de la spécialisation des exploitations agricoles et de la concentration croissante des usines de transformation et du commerce. étant donné que le secteur de l'alimentation animale et des denrées alimentaires évite les stocks et veut livrer en flux tendu, le risque d'interruptions de l'approvisionnement régional et local est très élevé. Les réserves mondiales de céréales sont à leur plus bas niveau depuis 40 ans. Un système de circuit court basé sur la commercialisation locale et régionale des produits réduirait la consommation de pétrole et le risque de pénurie. 4. Les prix bas des denrées alimentaires cachent un dumping social et écologique Le boom des carburants végétaux est le reflet d'une production non durable de denrées alimentaires. Les prix bas des denrées alimentaires ont faussé la perception des agriculteurs et des consommateurs. Ils se fondent sur la dégradation de l'environnement et le dumping social dans les pays en développement. Les aliments biologiques, par exemple, coûtent aujourd'hui plus cher que des denrées alimentaires produites industriellement de manière intensive, alors même que l'agriculture biologique consomme de 30 à 50 % de pétrole en moins. L'agriculture biologique inclut en outre la protection de la diversité biologique, des sols et des ressources hydriques. 5. Produire de manière durable contribue à diminuer la pression sur la terre Il n'y a pas de surplus de terres dans un système alimentaire durable. à l'échelle mondiale, l'UE est le plus grand importateur net de denrées alimentaires et d'aliments pour animaux. Des millions d'hectares de terres agricoles en dehors de l'UE et des millions de tonnes de pétrole sont nécessaires pour pouvoir offrir la quantité de produits alimentaires actuellement consommée. Pour réduire les importations de pétrole et, partant, diminuer les effets des changements climatiques, l'UE devrait stimuler son fort potentiel d'économies d'énergie et une meilleure utilisation des déchets au lieu d'augmenter, dans l'UE et au-dehors, la pression visant à la production de carburants végétaux. Le boom actuel des carburants végétaux aggrave le déclin des ressources en eau et l'épuisement des sols à l'échelle mondiale. 6. Des forêts tropicales abattues pour faire place à des cultures énergétiques Les plantations d'huile de palme destinées à la production de carburants végétaux envahissent de plus en plus les forêts tropicales humides. La Malaisie produit près de 5 millions de tonnes d'huile de palme par an. Ces plantations ont impliqué 87% des abattages de forêts humides entre 1985 et 2000. Aujourd'hui, la forêt humide doit encore céder aux plantations de palmiers à huile quelque 6 millions d'hectares en Malaisie et 16,5 millions d'hectares en Indonésie. Au Brésil, de nouvelles forêts tropicales sont abattues pour cultiver du soja et de la canne à sucre. Le Brésil remplace déjà 40 % de sa consommation en carburants minéraux par des carburants végétaux et veut, de surcroît, exporter de grandes quantités de carburants végétaux. Le Brésil veut considérablement réduire les émissions de ses voitures mais, en fait, 80 % des gaz à effet de serre du pays sont imputables à la déforestation. 7. Manger ou conduire, il faut choisir Le boom mondial dans la construction d'usine de fabrication de carburants végétaux conduit à une concurrence dangereuse entre les 800 millions de propriétaires d'une voiture et les 2 milliards d'êtres humains qui vivent en dessous du seuil de pauvreté. à l'échelle du monde, les propriétaires de voiture pourraient très bien être en mesure de s'approvisionner en denrées alimentaires et en carburant tandis qu'une autre partie de l'humanité n'aurait plus rien à manger. Aux Etats-Unis ce sont actuellement des milliards de dollars qui sont investis dans les nouvelles raffineries d'éthanol et de diesel de soja. Un sixième de la récolte de maïs est y déjà destiné à la production de carburant mais, dans quelques états du centre ouest du pays, la totalité de la récolte de maïs est déjà transformée en éthanol. Même si les Etats-Unis utilisaient l'ensemble de leur récolte de céréales pour fabriquer de l'éthanol, cela ne couvrirait que 16 % de leurs besoins en essence pour leurs véhicules. Dans le monde entier, les éleveurs d'animaux et les producteurs de denrées alimentaires prévoient déjà que l'on peut s'attendre à une pénurie d'aliments pour animaux mais aussi d'huile, de lait, d'oeufs et de viande à cause de la compétition croissante entre la production de denrées à des fins alimentaires d'une part et de végétaux à des fins énergétiques d'autre part. 8. Réduire la consommation de pétrole grâce aux énergies renouvelables et à une meilleure gestion des déchets Avant que l'agriculture n'utilise le pétrole, une partie des terres servait à l'alimentation des chevaux qui tiraient la charrue. Depuis lors, la population mondiale s'est multipliée et une grande partie des meilleures terres agricoles a été perdue suite à l'épuisement des sols, la désertification et l'urbanisation. Les méthodes actuelles de production de carburants végétaux se fondent sur la monoculture qui nécessite de grandes quantités de pesticides, d'engrais, d'eau et de diesel et font généralement appel à des organismes génétiquement modifiés (OGM). Les raffineries sont centralisées et impliquent des transports sur de longues distances. Les énergies renouvelables peuvent être issues de l'agriculture lorsqu'elles font partie intégrante d'une stratégie d'économie d'énergie et d'accroissement de l'efficacité. L'agriculture pourra améliorer considérablement son efficacité énergétique si elle passe d'un système dépendant de l'importation à un système qui pratique le recyclage local de l'énergie. Tous les déchets organiques doivent être exploités de manière optimale, il faut revenir à une agriculture et un élevage durables et mettre en place, de manière combinée, des systèmes modernes d'énergie renouvelable (énergie solaire, géothermie, biogaz, énergie éolienne) à l'échelle locale. 9. Voracité énergétique contre droit à se nourrir L'accroissement rapide de la demande d'énergies non renouvelables sonne le glas du droit de l'être humain à se nourrir. Les champions du monde de la croissance économique que sont actuellement la Chine, le Brésil et l'Inde, utilisent de plus en plus d'énergie, ce qui pourrait bientôt entraîner une extension de la famine au monde entier. L'Amérique du Nord et l'Europe consomment 65 % du pétrole mondial alors qu'elles ne représentent que 19 % de la population mondiale. La consommation croissante de viande (il faut 10 calories végétales pour produire 1 calorie animale) et le gâchiscroissant des denrées alimentaires dans la chaîne alimentaire (de nos jours, environ 35 % des aliments des états industrialisés finissent dans les poubelles) devraient être les premières cibles d'une stratégie visant à améliorer la sécurité alimentaire mondiale. Seule une réduction draconienne de la consommation d'énergie dans les pays industrialisés et une aide technique aux pays en développement pour établir une utilisation durable des ressources contribuera à une répartition équitable des ressources alimentaires et énergétiques entre le Nord et le Sud et sera couronné de succès dans la prévention des conflits et guerres pour l'énergie et la nourriture. 10. L'Union Européenne doit investir dans une agriculture peu énergivore L'UE doit tempérer l'euphorie qui règne à propos de la production de carburants végétaux. Elle doit se concentrer sur des mesures d'encouragement visant à diminuer la consommation de pétrole et à accroître l'efficacité énergétique dans l'agriculture par des méthodes de production durable, de réintégration de la production céréalière et des transports réduits. La promotion de systèmes intégrés ayant recours aux énergies renouvelables, l'amélioration du recyclage des déchets organiques pour la production d'électricité, le chauffage, la réfrigération et la fabrication de carburant végétal destiné à une utilisation décentralisée devraient occuper le premier rang d'une stratégie axée sur une agriculture moderne, peu énergivore. 11. Evaluation de l'impact sur la sécurité alimentaire La Commission européenne devrait procéder à une étude précise des impacts sur la sécurité alimentaire avant que la directive proposée sur les carburants végétaux ne soit mise en oeuvre. Cette évaluation devrait impliquer les partenaires commerciaux de l'UE, en particulier les pays en développement, et déterminer les impacts mondiaux de la fabrication de carburants végétaux dans les régions tropicales. L'UE devrait avoir une approche prudente en matière d'obligations de substitutions partielles des carburants traditionnels par des carburants végétaux car cela n'a globalement aucune influence sur la réduction de la consommation de carburant et ne prend pas en compte les besoins alimentaires. 12. Obligation de certification des carburants végétaux L'UE doit introduire une certification obligatoire pour les carburants végétaux européens et importés basée sur le système de la conditionnalité et les normes appliquées à la production de nourriture pour permettre un passage immédiat de la production d'énergie à celle d'alimentation si nécessaire. Ces normes devraient inclure les impacts sur la biodiversité, l'eau et les sols, tout comme l'accès à ces ressources et à l'alimentation pour les populations locales dans les pays exportateurs de carburants végétaux, Les crédits d'impôts, les aides directes et le financement multilatéral (comme le Mécanisme de Développement Propre du protocole de Kyoto) doivent dépendre de critères de durabilité, garantis par le système de certification. Pour en savoir plus : Etude : http://www.hrev.org/ Animation : http://www.hrev.org/hrev/proyectos/ Programme conférence : http://verts-europe-sinople.net/article895.html Les agro-carburants : http://lipietz.net/spip.php ?article2002 La suite sur : http://verts-europe-sinople.net/article921.html Vos réactions environnement, nature, écologique, bio De Eliane Thiery, le 20 septembre 2007 : Bonjour, J'ai voté contre, évidemment ! Car appeler cela "biocarburant", c'est l'arnaque absolue ! Mais ça fait passer la pilule auprès des gogos que nous sommes... Les hommes politiques prennent les gens pour des débiles, mais n'ont-ils pas raison d'une manière générale ? Ils promettent tout et son contraire, et les gens font pas l'effort de réfléchir et se laissent prendre à leurs boniments. Par ailleurs, on peut lire ici ou là que x% (c'est toujours une majorité) des gens sont opposés à la corrida, à la chasse, aux OGM..., mais c'est le petit pourcentage restant qui fait la loi ! Pour ma part, j'aurais honte de faire un plein avec du "biodiesel" alors qu'il y a encore des gens qui souffrent de la faim partout dans le monde, y compris chez nous ! J'aurais l'impression de mettre dans le réservoir de ma voiture, en une fois, la nourriture d'un enfant pour un mois. Quant aux bons esprits qui disent "utilisons les jachères pour y cultiver les plantes qui..." ont-il pensé que ces jachères, justement, sont un important réservoir de biodiversité ? Veulent-ils que toute la terre soit utilisée aux fins de circulation automobile ? Un des derniers rapports de l'OCDE mentionnait qu'il serait possible, en produisant bio, de nourrir toute la population de la planète. Mais cela n'intéresse personne, apparemment : pas de gros titres dans les journaux, rien aux journaux télévisés... Et la politique européenne continue de subventionner les grosses exploitations agricoles utilisatrices de gros engins agricoles, d'engrais, de pesticides, insecticides, fongicides et autres biocides. Rien que des miettes pour les petits exploitants bio ou qui souhaiteraient se reconvertir en bio. On prétend vouloir lutter contre le chômage, mais on mécanise à tout va... Un autre rapport, de l'OCDE toujours, montrait du doigt les agro carburants en soulignant tous leurs effets négatifs. Là non plus, aucun écho à grande échelle... Je m'arrête là car je pourrais encore continuer sur plusieurs pages, mais à quoi bon ? Si déjà une majorité de personnes - et surtout d'hommes (et de femmes) politiques - tenaient compte rien que des rapports de l'OCDE, cela changerait vraiment la face des choses ! Poursuivez votre combat, et je vous souhaite de tout coeur le plus grand succès. environnement, nature, écologique, bio De Joël Pétrique, le 20 septembre 2007 : Bonjour à vous, équipe de Terre Sacrée. S'il vous plait, pourriez-vous bannir à tout jamais le mot "biocarburant ", pour toujours utiliser "agrocarburant "? Il me semble important de contrer cet abus de langage et cette manipulation d'opinion que revêt le mot "biocarburant ". J'ai déjà écrit dans ce sens au Nouvel Obs, auquel je suis abonné. Je souhaite vivement que le mot "biocarburant " n'existe plus Merci à vous. Joël Pétrique Le 23 septembre 2006 : Un travail bénévole de S. M. que nous remercions vivement. sauver la vie, sauver la planète Vos commentaires sur ce dossier brûlant : Vos commentaires sur ce dossier brûlant Bonobo : Qu'est-ce que c'est que ce binz? Anne Esperet Abonnez-vous gratuitement à la liste d'information SOS-planete http://terresacree.org Mail, forum, courrier des surfeurs, livre d'or... sos-planete@terresacree.org biocarburants, agrocarburants Energies environnement, nature, écologique, bio Comment participer au changement dans ma vie de tous les jours? Agir maintenant. Merci de nous encourager dans notre cyber mission Retour au sommet de la page Fil d'info RSS nature, environnement, écologie, biologique Jardin Entrez dans le jardin de la base Partagez cette page avec vos réseaux sociaux | Aidez-nous dans ce combat pacifique pour la Vraie Vie! 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Et depuis son lancement, la polémique se développe... D'un côté, il y a consensus sur la réalité dun changement climatique et la nécessité de lutter contre les gaz à effet de serre. Tout le monde est également conscient que lépuisement des ressources fossiles est inéluctable et quil est urgent dagir. Mais la place et limportance des biocarburants font débat. Peut-on considérer les plantes comme le pétrole du futur ? Les questions fusent... De nombreux acteurs de la société sont concernés par le développement des biocarburants. Automobilistes, agriculteurs, écologistes, élus locaux n'ont pas forcément les mêmes préoccupations, ni les mêmes points de vue. Les questions qui se posent ne sont pas simples... Quel est limpact des biocarburants sur les gaz à effet de serre ? L'utilisation de biocarburants est-elle réellement intéressante en terme de bilan énergétique ? Les cultures ''énergétiques'', en concurrence avec les productions alimentaires, ne vont-elles pas entraîner une hausse des prix, voire une insécurité alimentaire ? Les cultures industrielles ne sont-elles pas intensives, et donc néfastes pour lenvironnement ? Le bilan énergétique : une notion centrale Parmi toutes ces questions complexes, celle du bilan énergétique est particulièrement importante. Pour établir un bilan énergétique, on additionne lensemble des consommations en énergie fossile nécessaires pour fabriquer un biocarburant, et on compare ce résultat à l'énergie qu'il est susceptible de fournir. Il faut tenir compte à la fois de lénergie nécessaire pour la culture, le transport, la transformation industrielle et le transport du biocarburant jusqu'aux points de distribution. Actuellement, dans le cas du bioéthanol de blé, on observe que lénergie est essentiellement dépensée à lusine (77%) et au champ (22%). Lorsque la production de biocarburants engendre celle de coproduits ''utilisables'', pour l'alimentation des animaux par exemple, il est possible d'en tenir compte. Le bilan énergétique s'en trouve alors amélioré. En complément de cet article Sur le même thème Des plantes à fleurs dans nos moteurs Le biogaz : ça chauffe Biogaz : les raffineries végétales ont de l'avenir ! Quelles plantes peut-on transformer en biocarburants ? Jeux Milgraines : quelles utilisations pour les plantes agricoles ? Ailleurs sur la toile Les biocarburants, une chance pour notre pays : dossier consultable sur le site du Ministère de l'Agriculture et de la Pêche Commentaires Participez aux échanges, ajoutez un commentaire ou un complément d'information ! Ajouter un commentaire Au Brézil les biocarburants sont généralisés. Ne peut on pas prendre exemple sur leurs démarches sans vouloir réinventer la poudre ! Analyser ce qui est profitable et développer à notre tour. Philippe Commentaire posté le : 09/07/2007 J'ai fait l'expérience: Cest de lhuile de colza et non du diesel bio qui fait avancer mon 4X4 Opel Frontera. Contrairement au diesel bio qui est estérifié par un procédé chimique, lhuile de colza pressée à froid vient directement du super marché - rien de plus quune huile à salade. 120.000 km parcouru au Colza, 120.000 km parcouru au gazole! Bilan: Le Gazole pue et fume il coûte 100 euro par plein. Le colza ne sent rien et coûte 50 euro par plein. Pourquoi? Lhuile de colza a un bon pouvoir lubrifiant, est libre de souffre et contient 11 % doxygène, ce qui permet une combustion sans formation de suie. La dégradation biologique dans le sol est excellente et la substance nest pas dangereuse pour les cours deau. Déjà le vieux Rudolf Diesel avait conçu son moteur à la base pour lutilisation dhuile végétale. En matière d'innovation pour une économie durable et respectueuse de l'environnement, on na pas de pétrole et nos idées ne sont rien si elles restent des déclarations. Commentaire posté le : 12/05/2007 Beaucoup de questions dont les réponses apparaisent ou sont déjà connues: - augmentation du cours du maïs en Amérique du Nord = problème pour les mexicains... - bilan écologique peu favorable, pour les biocarburants en intensifs avec une si petite partie utilisable (c'est-à-dire la graine) - le prix du biocarburant ne sera pas plus faible (pétroliers, fiscalité...) - problème de disponibilité de surfaces (rotations, alimentation, agronomie...). Commentaire posté le : 23/04/2007 Imprimer Envoyer à un ami Réagir à cet article Partager sur facebook cliquez pour ouvrir Voir aussi Sur le même thème Des plantes à fleurs dans nos moteurs Le biogaz : ça chauffe Biogaz : les raffineries végétales ont de l'avenir ! Quelles plantes peut-on transformer en biocarburants ? Jeux Milgraines : quelles utilisations pour les plantes agricoles ? Ailleurs sur la toile Les biocarburants, une chance pour notre pays : dossier consultable sur le site du Ministère de l'Agriculture et de la Pêche Vidéos Le blé d'hier à aujourd'hui Le blé d'hier à aujourd'hui Xavier Martin, responsable céréales pour le Gnis région Centre, retrace l'histoire des croisements qui ont abouti aux variétés actuelles. Extrait des journées biodiversité Gnis 2010. © Metaphore production. Toutes les vidéos de Semence mag Bilan énergétique : perspectives d'amélioration Les bilans énergétiques des biocarburants qui ont progressé sensiblement ces dernières années, devraient poursuivre sur cette tendance. En effet, l'évolution des techniques de culture d'une part, et les progrès des rendements d'autre part, améliorent régulièrement l'efficacité énergétique au champ. Par ailleurs, les industriels du bioéthanol travaillent à développer l'efficacité de leurs process en usine. Cela nécessite bien sûr la mobilisation de moyens pour la recherche et l'expérimentation de différentes techniques. Biocarburants Les débats sont ouverts ! Biocarburants : objectifs 2015 Bioéthanol : variétés et rendement énergétique La biomasse mobilise l'énergie... des chercheurs Tous les dossiers Questions d'eau Agriculture durable Anciennes variétés Qualité des aliments Plantes transgéniques Biocarburants Plantes et brevets Biodiversité Textiles et biomatériaux Amélioration des plantes Agriculture biologique Ressources génétiques Catalogues nationaux des variétés Lien social Les Vidéos Visualiser la vidéo La peur, pourtant si mauvaise conseillère, guide en France nos choix scientifiques Visualiser la vidéo : Pommes de terre : une biodiversité à conserver Visualiser la vidéo : Si la pomme de terre constituait l'essentiel de notre alimentation, une famine serait-elle encore possible aujourd'hui ? > Toutes les vidéos Les fiches d'exploitation pédagogique Qu'est-ce que la biodiversité ? Le peuplement d'un milieu Impact de l'homme sur la biodiversité Pratiquer des cultures en classe Gestion rationnelle des cultures Recherche scientifique et pratiques agricoles > Toutes les fiches pédagogiques Les Entretiens De nombreux échanges culturels sur les jardins familiaux Une forte hausse dans les demandes de parcelles Apporter des informations objectives aux élus pour le choix des gazons Les agriculteurs peuvent infléchir limpact du changement climatique Notre association gère trois jardins d'insertion Je cultive ces semences par conviction > Tous les entretiens Fiches pratiques, didactiques, insolites... Cultiver les pommes de terre au jardin : c'est facile ! Des plantes qui aiment vivre ensemble Des ''plantes-amies'' et la rotation des cultures pour se simplifier la vie au potager > Toutes les fiches Nouveau : les posters Des semences pour qui, pour quoi ? © www.semencemag.fr 2006 - 2011 : le magazine des semences et du monde végétal | Doc. mis à jour le 11/10/2010 | Mentions légales | Nous contacter Object Moved This document may be found here #GoodPlanet front page Index Agrocarburants Search GoodPlanet Copyright Toutes nos dépêches Tous nos points de vue Toutes nos vidéos Printable version GoodPlanet.info : Comprendre l'environnement et ses enjeux > ENGLISH VERSION _______________ Home Alimentation & agriculture Biodiversité Pollutions Economie Société Energie & climat Outils juridiques Agir Atlas AlimentationÉlevageAgricultureOGMAgrocarburantsPesticidesPêcheAquacultu reEngraisIrrigationSylviculture OcéansEspèces invasivesAntarctiqueArctiqueBiodiversitéZones protégéesDeltasForêtsMangrovesCorauxZones humidesRisques naturels AirEauxMersSolsDéchetsOzoneDésertification Consommer DécroissanceDéveloppement durableEau virtuelleEconomieMinesBarragesNanotechnologiesLabelsInvestissement Responsabilité DémographieConflitsRéfugiésEco-quartiersVillesUrbanisationDéplacementsS antéNTICTourismePauvretéCatastrophesAnimaux Changement climatiqueConséquences Gaz à effet de serreElectricitéRenouvelablesNucléaireBâtimentsEnergies fossilesTransports KyotoUNFCCCITESUnescoMarpolMontréal (Ozone)RamsarStockholmPeuples indigènesBâle (Déchets)CarthagèneDroit à l'eauGouvernance Bonnes pratiques Initiative Annuaire Agenda Offres d'emploi GlobeCarte interactiveMosaïqueIndicateursPays Accueil thématique Enjeux Débats ActualitésChiffres-clés Bonnes pratiques Vidéos GlobeFocus [Agrocarburant_home_synth.jpg] ENJEUX Biocarburants : entre espoirs et désillusions Les agrocarburants (aussi appelés biocarburants) désignent les carburants d'origine agricole. On en distingue trois grand types : ceux à base d'alcool, qui alimentent les moteurs à essence ; ceux à base d'huile, qui alimentent les moteurs diesel et ceux sous forme de gaz. (1) Ceux à base d'alcool sont produits à partir de végétaux riches en sucre tels que la canne à sucre et la betterave, ou de plantes riches en amidon, comme le blé. Ce sont le bioéthanol et son dérivé l'ETBE. Les huiles sont extraites de plantes oléagineuses comme le colza, la palme, le tournesol, ou le soja. Ce sont parfois des huiles végétales pures, dites « huiles brutes » (parfois des huiles de cuisine), ou des produits transformés. Dans ce dernier cas, on parle de diester, de biodiesel ou d'EMHV (esters méthyliques d'huiles végétales). Elles sont fabriquées avec 90 % d’huile et 10 % de méthanol, un dérivé du pétrole. Les gaz sont produits... 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[puce_suite.png] [degrade_infonnugget.jpg] [Les-biocarburants_txt_infoN_home.jpg] [Les-biocarburants_img_infoN_home.jpg] INDICATEURS Terres arables Emission de GES Ratio d'énergies renouvelables [globe_indicateurs.png] DÉCOUVREZ L'ÉTAT DU MONDE SUR NOTRE GLOBE 3D [puce_suite.png] Qui sommes-nous | Contacts | Partenaires | Mentions légales | Flux RSS SP95-E10 Le même que le SP95 avec 5% d'ethanol en + L'E10 en pratique Qu'est-ce que l'E10 ? Pourquoi l'E10 ? La tribune Dans quelle station trouver le SP95-E10 ? Votre véhicule est-il compatible ? Qu'est-ce que l'E10 ? E pour éthanol, 10 pour 10% d'incorporation Le SP95-E10 est une essence sans plomb qui peut contenir jusqu'à 10% d'éthanol*, soit en tant que tel, soit sous forme de ses dérivés, par exemple l'ETBE (Ethyl Tertio Butyl Ether) E10 est l'appellation générique la plus souvent utilisée. La dénomination officielle, celle de l'arrêté ministériel, est SP95-E10. Le SP95-E10 est commercialisé sous l'appellation de la gamme des produits de la marque que vous utilisez, par exemple : - Total Super Premier 95-E10 dans les stations TOTAL - ELF Optane Evolution 95-E10 dans les stations ELF - SP95-E10 Performance dans les stations ELAN Ce qu'il faut savoir : - Depuis de nombreuses années, les essences distribuées sur le marché français peuvent déjà contenir jusqu'à 5 % d'éthanol ou 15% d'ETBE. - Au-delà de 10% d'éthanol dans l'essence, il faut utiliser un véhicule spécial appelé « Flex-fuel ». *L'éthanol est un alcool. En France, il est majoritairement produit à partir de la betterave, plante riche en sucre, ou de blé, plante riche en amidon. L'E10 en pratique | Qu'est-ce que l'E10 ? | Pourquoi l'E10 ? | La tribune | Dans quelle station trouver le SP95-E10 ? Plan du site | Crédits | Tous nos sites | Avertissements #Modifier Wikibooks (fr) copyright Flux Atom de Wikibooks Carburant/Biocarburant : fabrication du biodiesel Un livre de Wikibooks. < Carburant Aller à : Navigation, rechercher Sommaire général 1. Carburant 2. Carburant/Introduction 3. Carburant/Carburants fossiles 4. Carburant/Biocarburants 5. Carburant/Biocarburant : biodiesel 6. Carburant/Biocarburant : fabrication du biodiesel 7. Carburant/Biocarburant : situation pays par pays 8. Carburant/Biocarburant : molécules 9. Carburant/Biocarburant : lexique 10. Carburant/Biocarburant : organismes publiques 11. Carburant/Biocarburant : associations 12. Carburant/Annexes 13. Carburant/Sources 14. Carburant/Auteurs Modifier ce cadre Help-books-aj.svg aj ash 01.svg ____________________ Rechercher dans ce livre Pour fabriquer du biodiesel il faut deux ingrédients de base : l'huile (de tournesol, c'est le biocarburant le plus répandu) et un alcool (au sens chimique, éthanol de préférence). Lorsque l'on mélange ces deux produits une réaction chimique se produit : elle s'appelle estérification ou plus précisément transestérifcation. On obtient ainsi deux nouveaux éléments : l'huile d'estérification qui n'est rien d'autre que le biodiesel, et du glycérol ou glycérine. Les proportions (approximatives) sont : 10 litres d'huiles + 1 litre d'alcool --> 10 litres de biodiesel et 1 litre de glycérine. Cette réaction chimique possède deux désavantages : elle est lente et elle est équilibrée. Le mot équilibrée signifie que la réaction se déroule dans les deux sens : lorsque l'huile et l'alcool se sont transformés en biodiesel et glycérine, le biodiesel et la glycérine peut à nouveau se transformer en alcool et huile ! Pour corriger les problèmes de lenteur et le caractère équilibré, il faut * utiliser un catalyseur (c'est un produit que l'on met au début de la réaction pour favoriser la transformation désirée, mais que l'on récupère «intacte» à la fin de la réaction) ; * chauffer (environ à 50-60°C voire 70°C si cela ne marche pas) ; * on peut éventuellement mettre un légère pression 1,2 ou 1,5 bars. Une fabrication artisanale en chauffant les réactifs (réactifs = ingrédients) et utilisant un catalyseur peut prendre 6 à 12 heures. [modifier] Le choix de l'huile La première chose à faire, avant même de lancer la réaction de transestérification est de choisir une huile. Plusieurs critères peuvent entrer en compte lorsque l'on doit se décider entre tel ou tel huile. Nous pensons d'abord à la quantité d'huile obtenue par hectare de plantations : nous préférerons naturellement une culture pour laquelle nous pouvons obtenir un maximum d'huile par hectare. Ce choix dépend évidemment du climat et un hectare d'une même plante permet d'obtenir des quantités d'huile différentes selon le climat, le type de sol, la météo de l'année, etc. Un autre critère important : la valorisation des co-produits (co-produit = deuxième produit obtenu lorsque l'on veut fabriquer un produit). Par exemple, la plante du soja, en plus de produire de l'huile peut aussi servir à l'alimentation humaine et animale. Finalement, il ne faut pas négliger les huiles déjà usées (exemple : restaurants) ou les huiles que l'on jettait d'habitude (huile non comestible dans les abattoirs). Aux États-Unis, les producteurs choisissent généralement le soja et le canola (variante de colza). En Europe, on préfère surtout le colza et le tournesol. Récupérée de « http://fr.wikibooks.org/w/index.php?title=Carburant/Biocarburant_:_fabr ication_du_biodiesel&oldid=303493 » Catégorie : * Carburant (livre) Outils personnels * Créer un compte ou se connecter Espaces de noms * Page * Discussion Variantes Affichages * Lire * Modifier * Afficher l’historique Actions Rechercher ____________________ (Submit) Rechercher Bibliothèque * Accueil * La vitrine * Tous les livres * Rechercher un livre * Wikijunior Navigation * Modifications récentes * Communauté * Le Bistro * Faire un don Aide * Aide * Wikilivre d'aide Imprimer / exporter * Créer une compilation * Télécharger la compilation au format PDF * Version imprimable Boîte à outils * Pages liées * Suivi des pages liées * Pages spéciales * Adresse de cette version * Dernière modification de cette page le 12 novembre 2010 à 14:42. * Les textes sont disponibles sous licence Creative Commons attribution partage à l’identique ; d’autres termes peuvent s’appliquer. 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Ces carburants présentent en effet de nombreux avantages qui les rendent particulièrement attractifs : * Ils se présentent sous forme liquide (le biogaz est une exception). Cela signifie qu'ils peuvent utiliser quasiment sans modification toute l'infrastructure actuellement en place pour les carburants fossiles (camions-citernes, pompes à essence, etc). De même, il n'y a pas besoin d'imaginer d'imaginer des réservoirs exotiques (et coûteux) pour les stocker comme c'est le cas pour l'hydrogène. * Les véhicules actuels peuvent utiliser les biocarburants avec très peu voire même parfois aucune modification. Inutile de dépenser des milliards pour mettre au point les moteurs et les véhicules du futur: ils existent déjà, ce qui est loin d'être le cas pour les véhicules à hydrogène. * Les biocarburants sont entièrement neutres du point de vue de l'effet de serre. Le CO2 qui est libéré dans l'atmosphère par les véhicules roulant au biocarburant a en effet été pompé précédemment de l'atmosphère par la biomasse qui a servi à le fabriquer: le cycle est bouclé et le CO2 ne s'accumule pas, ce qui n'est pas le cas des carburants fossiles où le carbone est transféré du sous-sol de la planète à l'atmosphère. * Enfin, notons que les biocarburants sont totalement et rapidement biodégradables (aucun risque comparable à une marée noire), et que leur combustion est beaucoup plus propre que celle des carburants classiques. Dans la pratique, il existe trois grandes filières pour le biocarburant: * La filière alcools (méthanol et éthanol) * La filière Biodiesel (encore appelés Diester en France) * La filière huiles végétales (huile de Tournesol, etc). Il est en effet possible de rouler directement à l'huile végétale. Les tous premiers véhicules diesel roulaient ainsi, et ce n'est qu'après l'arrivée sur le marché d'une huile minérale très bon marché (le pétrole) que cette filière fut abandonnée. (Je ne compte pas le biogaz qui, de toute façon, ne me paraît pas être très adapté à une utilisation à grande échelle.) Chaque filière présente des avantages et des inconvénients : * Les alcools sont déjà produits de façon industrielle, il ne s'agit donc que d'étendre une filière qui existe déjà. Le principal problème vient en fait de la faible quantité d'énergie contenue dans les alcools. Même dans les cas les plus favorables le bilan énergétique total n'est que très faiblement positif. D'un point de vue économique cela signifie donc que la production d'alcool est très peu rentable (quand elle l'est) et que la filière doit être subventionnée. * Le Biodiesel est actuellement le biocarburant qui a le vent en poupe. Il est en effet facile à fabriquer, y compris par des particuliers, et il peut être utilisé directement par l'ensemble des véhicules diesel (moyennant parfois des modifications mineures). * La filière des huiles végétales est, de façon étrange, assez peu mise en avant. Elle est pourtant plus simple que la précédente car elle ne nécessite aucune réaction chimique. Son principal inconvénient est que les véhicules peuvent rencontrer des problèmes à basse température et que l'huile s'oxyde rapidement. N'oublions pas que l'agriculture, qu'elle soit traditionnelle ou qu'elle concerne la production de carburant vert, est elle même une grande consommatrice d'énergie. Actuellement, cette énergie est fournie par les carburants fossiles (machines agricoles et engrais) mais, si l'on souhaite s'en passer totalement il est bien évident que la production sera inférieure (ou, ce qui revient exactement au même, qu'une fraction de la production de biocarburant sera immédiatement consommée par les machines et les engrais agricoles permettant la culture de la biomasse). Sachant que le biodiesel est fabriqué à partir d'huile végétale, la distinction entre les deux dernières filières peut paraître artificielle. En fait, je pense que la filière Biodiesel est surtout promue par les industriels qui pourraient ainsi se rendre indispensables, tandis que la dernière filière ne nécessite aucune étape chimique où ils pourraient intervenir. Ils n'auraient alors aucun impact sur la filière, alors qu'ils ont au contraire tout à gagner si le biodiesel prend le dessus. En ce qui me concerne, je pense que la dernière filière est, à long terme, très prometteuse, en tout cas en ce qui concerne les véhicules légers. En utilisant directement l'huile végétale, on saute en effet une étape chimique qui est elle même consommatrice d'énergie. Il s'ensuit que, mathématiquement, la filière biodiesel est moins rentable du point de vue énergétique et donc financier. Naturellement, cela ne signifie pas que le biodiesel soit une mauvaise piste, mais simplement que l'utilisation directe d'huile végétale doit être prise avec autant de sérieux que les autres filières, ce qui n'est pas forcément le cas. (Je pense aussi que voir des décideurs pressés en costard cravate et l'industrie chimique lourde fait tout de suite plus sérieux pour les politiques que le paysan qui fait rouler son tracteur avec l'huile qu'il presse lui même dans sa grange...). 2. En pratique : rendement et production à grande échelle Si les biocarburants présentent tant d'avantages, il est logique de se demander pourquoi ils ne sont pas plus utilisés. En fait, on peut dire que le pétrole n'est rien d'autre qu'un biocarburant naturel stocké depuis des millions d'années dans quelques rares endroits par un caprice géologique. En adoptant ce point de vue, on comprend qu'il soit difficile économiquement de parvenir à synthétiser un carburant meilleur marché que le pétrole qui ne nécessite que d'être pompé. Néanmoins cette explication seule ne suffit pas à expliquer ce déséquilibre qui mérite un examen plus détaillé. La véritable explication tient en un mot que l'on emploie beaucoup en économie : le rendement. Il faut bien comprendre que, aussi séduisant que puisse paraître la fabrication de biocarburant, celle-ci nécessite un investissement en temps en énergie. Pour que le carburant vert soit utilisable de façon réaliste à grande échelle, il faut non seulement que sa production soit énergétiquement rentable (ce qui n'est pas toujours le cas) mais il faut également en produire en très grandes quantités. Malheureusement, ces critères sont assez difficiles à remplir par la filière agricole traditionnelle. Prenons, par exemple, le cas du tournesol. Rouler à l'huile de tournesol est une alternative très séduisante au pétrole mais qui ne paraît guère envisageable à grande échelle. Pour récolter cette l'huile un agriculteur doit en effet remplir deux conditions : - Attendre le moment de la récolte. Les graines ne peuvent être récoltées qu'une seule fois par an : le rendement en temps est très mauvais. - Récolter les graines. Seules les graines sont utiles pour la fabrication de l'huile. Tout le reste de la plante (les feuilles, la tige, les racines) a poussé "pour rien". Les graines ne constituent qu'une faible proportion de la masse totale de la plante (et l'huile ne constitue qu'une partie de la masse des graines). En d'autres termes, le rendement en masse est de seulement quelques pourcent et est donc aussi très mauvais. En d'autres termes, il faut des surfaces cultivables énormes si l'on veut pouvoir fabriquer du biocarburant en quantités appréciables. Le rendement est même si bas qu'il faudrait y consacrer des surfaces supérieures à celles actuellement dévolues aux cultures agricoles. En d'autres termes la culture d'un tel biocarburant entre en compétition directe avec l'agriculture traditionnelle et ne peut donc constituer qu'une solution partielle au problème. Pour le résoudre, il faut donc imaginer un moyen d'augmenter le rendement en temps ou en masse de la biomasse utilisée pour le biocarburant. C'est ici qu'interviennent les algues. 3. Les algues : un rendement exceptionnel Les algues présentent l'intérêt immense de présenter à la fois un rendement exceptionnel en temps (il est possible d'effectuer une récolte complète en quelques jours), et en masse (certaines espèces ont une masse de graisse de plus de 50 %). Les avantages d'une telle approche sont évidents : - Ces rendements exceptionnels rendent réalistes la fabrication de biocarburant à grande échelle sur une surface "raisonnable". Certains estiment qu'il suffirait d'une surface de 4 millions d'hectares pour couvrir la consommation de pétrole des USA. - Ces cultures n'empiètent pas sur la production agricole traditionnelle et ne limitent pas la production de nourriture. A vrai dire, c'est plutôt le contraire : certaines espèces d'algues sont très nourrissantes avec un contenu exceptionnel en protéines, en vitamines et en oligo-éléments, et pourraient donc très bien nous nourrir dans le futur. - Les algues ont bien évidemment besoin de nourriture et pourraient donc très bien se nourir de déchets organiques et limiter ainsi la pollution actuelle. - La production d'algues peut être à la fois conduite industriellement lorsque l'environnement est favorable, ou au contraire de façon plus locale lorsque le besoin s'en fait sentir. - Enfin, les algues sont faciles à cultiver et se prêtent facilement à la culture automatisée (bioréacteurs, etc). Dans la pratique, cela signifie que cette culture offre un meilleur rendement énergétique, même en mettant de côté les propriétés déjà exceptionnelles des algues. Pour en savoir plus : * Un article (en anglais) détaillant la fabrication de biodiesel à partir de la culture d'algues * Un article scientifique sur le sujet (format pdf, en Anglais) 4. Conclusion La culture d'algues paraît comme une des seules pistes réalistes permettant de fabriquer du biocarburant à l'échelle industrielle et, à l'heure actuelle, la difficulté n'apparaît pas tant technique que politique. Faire "pousser le pétrole" constitue un véritable changement de paradigme qui, s'il se concrétise, ne sera pas sans répercussion sur notre société actuelle. A mesure que le pétrole s'épuise, l'intérêt pour les biocarburants se fera de plus en plus fort et il apparaît certain que tous ceux impliqués dans sa fabrication tenteront d'influencer les politiques pour se voir confier une part croissante du processus, pour des raisons tant économiques que politiques. A grande échelle, les derniers pays exportateurs de combustible fossile tenteront sans doute de limiter l'émergence de cette solution. A une échelle plus locale, les agriculteurs traditionnels tenteront sans doute de limiter l'émergence d'autres filières, tandis que l'industrie chimique tentera naturellement de pousser à l'utilisation de biodiesel plutôt que de l'huile végétale. Toutefois, s'il est certain que ces pressions existeront et auront un impact, la réalité physique poussera peu à peu à l'utilisation de la filière la plus efficace énergétiquement. Bien sûr, le choix de la filière en question est difficile, mais il ne fait pour moi aucun doute que la culture des algues est plus prometteuse que toutes les autres alternatives. * Avant-propos * Introduction * Articles * Liens * Newsletter * Forums * Wiki * Carte * Contact * Dons Object Moved This document may be found here Enviro-BF:Environnement au Burkina Faso Bannière dimanche, 08. janvier 2012 Dernières infos: Participation aux Journées de la maîtrise de l’énergie au Burkina Faso Salon International des Energies Renouvelables de Ouagadougou(SIERO) Rencontre Jeunes professionnels - Ouagadougou Septembre 2011 3 ème conférence internationale sur les biocarburants Norme ISO 50001 sur les systèmes de management de l’énergie * * Accueil * Déchets * Eau * Législation * Sols * Energie/Climat * Management * Politiques/Stratégies * Dossiers spéciaux * Actualités VOUS ETES ICI >> Energie/Climat Problématique actuelle des biocarburants : enjeux et perspectives pour les pays en développement * Skip to content Problématique actuelle des biocarburants : enjeux et perspectives pour les pays en développement Lundi, 14 Juin 2010 18:46 jatropha La consommation mondiale d’énergie primaire dépend en grande partie de la production pétrolière (figure 1: source EIA, 2009). Les besoins en pétrole devraient augmenter encore dans le moyen terme avec le développement du secteur des transports et de l'industrie en particulier dans les pays émergeants. Cependant, depuis la fin des années 80, les découvertes couvrent à peine l’augmentation de la demande mondiale. Par ailleurs, l’utilisation de cette énergie fossile contribue à l’accroissement sans cesse des émissions de gaz à effet de serre (GES), en particulier le dioxyde de carbone (émission excédentaire annuelle de 3,2 milliards de carbone par an) dont les conséquences sont de nos jours bien établies par le GIEC. Dans ce contexte, et dans un contexte mondial marqué par l'instabilité des prix du baril de pétrole, les énergies nouvelles et renouvelables, particulièrement les biocarburants font l’objet d’une considération particulière. Cette considération tient du rôle qu’ils pourraient jouer dans: * la réduction des émissions de gaz à effet de serre. Le gain en termes de rejet de GES peut aller au-delà de 90 % pour les filières les plus efficaces comme la filière éthanol via la canne à sucre (IFP, 2007) * la recherche d'une sécurité énergétique (indépendance énergétique, diversification des sources d'énergie) compte tenu de la diminution des réserves mondiales de pétrole. En pratique, les biocarburants se classent en deux grandes familles : * les biocarburants de « première génération » : ils sont issus des plantes riches en produits oléagineux ou en sucre. Ils comprennent les huiles végétales pures, le biodiesel (destinés aux moteurs diesel) et l’éthanol (destiné au moteur à "essence") produit à partir de matières sucrées (canne à sucre, betterave etc.) et amylacées (maïs, blé, etc.). Leur technologie de production est maîtrisée et répandue dans le monde. * les biocarburants de «seconde génération »: ils sont très peu développés pour des raisons de rentabilité économique et de maîtrise de la technologie de production. C’est le cas par exemple de l’éthanol cellulosique (produit à partir de résidus agricoles comme les pailles de céréales, de résidus forestiers etc.) ou les carburants BTL (biomass to liquid) qui sont des hydrocarbures de synthèse produits à partir des gaz issus des procédés de gazéification et du craquage thermique de la biomasse. L'optimisation de ces procédés fait actuellement l'objet de recherche dans différents laboratoires à travers le monde. Toutefois, les estimations montrent que les procédés industriels rentables dans ce domaine ne seront pas disponibles avant 15 ans. Aujourd'hui la question des biocarburants ne se posent pas en termes de faisabilité technique sauf pour le cas des biocarburants de seconde génération ou de leur impact environnemental positif. Les questions que l'on se pose aujourd'hui portent sur : * l'occupation des terres agricoles pour la production de biocarburant; * la disponibilité des ressources pour une production en masse de biocarburants. Les biocarburants sont-elles la solution au problème énergétique que connaît le monde? * leur rentabilité économique. Nous estimons que les biocarburants ne représentent pas la solution au problème énergétique, mais un élément de solution qui, combiné à d’autres, peut apporter un début de réponse. En effet, à l’échelle mondiale, les filières actuelles de biocarburants (première génération) qui connaissent un développement véritable représentent une part infime des besoins énergétiques mondiaux. A titre d'illustration, l’ensemble des huiles végétales produites dans le monde (alimentaires ou non) ne couvrent que 19 jours de besoin mondial dans le domaine du transport et la totalité de l’éthanol mondial produit ne couvre que 6 jours de besoin mondial. Les projections sur le développement des biocarburants de seconde et même de troisième génération (hydrogène) devraient contribuer à augmenter sensiblement la part des biocarburants dans la consommation mondiale d'énergie (qui est actuellement d’environ 1,3%). Toutefois, cette augmentation restera toujours faible compte tenu des besoins croissants en énergie. A l'échelle locale, l'enjeu énergétique des biocarburants peut devenir très important. C’est le cas des pays en développement dont le potentiel de production de biocarburants est souvent très important par rapport à leurs besoins énergétiques. Dans ce contexte, les biocarburants peuvent se présenter comme un véritable facteur de développement (applications de type " circuits courts ": motorisation agricole, production d’électricité ou orientés dans les transports). La couverture des besoins en énergie, l’accroissement de la production agricole, la croissance économique sont les enjeux réels des biocarburants dans ces pays. En effet, la plupart de ces pays ont une économie qui repose sur l’agriculture dont le développement passe par une mécanisation. Les initiatives de mécanisation du secteur agricole (en amont et en aval) dans ces pays connaissent aujourd’hui un développement très lent du fait du coût élevé de l’énergie fossile. Cela est encore plus remarquable pour les pays enclavés et dépourvus de ressources fossiles. L’une des perspectives de la mécanisation de l’agriculture dans ces pays est l’utilisation de biocarburants en "circuits courts" d’autoconsommation où la rentabilité économique et énergétique est le plus souvent bien établie (les processus de production en "circuit courts" sont moins complexes et moins coûteux). Cette option offre la possibilité de produire le carburant nécessaire à la production agricole à partir de la production agricole elle-même et cela dans un rapport très intéressant : l’agriculture peut produire cinq à dix fois l’énergie qu’elle consomme. Ainsi, les unités de production agricoles petites ou moyennes, peuvent produire sur place le produit alimentaire, le carburant nécessaire à la production et le sous-produit (tourteau) utilisable directement pour l'alimentation de bétail ou comme engrais organique. De telles options contribueraient à couvrir d’une part les besoins en énergie dans ces pays et d’autre part à augmenter leur production agricole. Le problème de compétition entre l’usage alimentaire et l’usage énergétique (occupation des terres agricoles) se pose donc très peu dans ces pays vu sous cet angle. Figure 1: consommation mondiale d'énergie par source (EIA, 2009) Après cette brève analyse, on peut se poser néanmoins les questions suivantes : Les enjeux énergétiques, économiques et environnementaux étant très disparates en fonction des régions ou des pays, ne faut-il pas concevoir des modèles régionales ou "locales" de valorisation énergétique de la biomasse qui tiennent compte des spécificités de chaque zone? Quel biocarburant, pour quel usage et pour qui? Ces questions nécessitent une réflexion pour l'élaboration de politiques de biocarburant optimales. Dr Tizane DAHO * Articles récents * Archives * Recherche * Participation aux Journées de la maîtrise de l’énergie au Burkina Faso Participation aux Journées de la maîtrise de l’énergie au Burkina Faso 02.12.11 * Salon International des Energies Renouvelables de Ouagadougou(SIERO) 30.11.99 * La petite histoire du procédé CERVALD de valorisation des déchets de plastiques en matériaux pour le BTP La petite histoire du procédé CERVALD de valorisation des déchets de plastiques en matériaux pour le BTP 19.09.11 * Rencontre Jeunes professionnels - Ouagadougou Septembre 2011 Rencontre Jeunes professionnels - Ouagadougou Septembre 2011 16.09.11 * 3 ème conférence internationale sur les biocarburants 10.09.11 * Décembre, 2009 * Novembre, 2009 * Août, 2009 * Juillet, 2009 * Mai, 2009 * Avril, 2009 * Mars, 2009 * Février, 2009 * Janvier, 2009 * Décembre, 2008 Recherche __________________________________________________ * Videos * Fichier * Photos * Parténaires Gasland biodiversite atelier_bocage allianceco changement_climatique zazou_dechet File Icon Gestion des déchets et assainissement à Fada N’Gourma File Icon Mécanisme pour un développement propre : guide des débutants File Icon Etude plastique_CERVALD File Icon Etat de mise en oeuvre du PAGIRE File Icon Code de l'environnement au Burkina Faso gl-1 gl-2 gl-3 gl-5 gl-7 gl-6 * Ministère de l'Environnement et du Cadre de Vie Le ministre et l'institution, projets et activités, actualités. * Programme Solidarité-Eau Réseau d'organismes intervenant dans les secteurs de l'eau, de l'assainissement et de la solidarité * Initiative de Développement Stratégiques ONG de solidarité et de coopération internationale. * Média Presse Internationale L'agence de presse multimédia de RFI. * Investir au Burkina Faso L'information économique sectorielle du Burkina Faso. * Réseau Projection réseau de jeunes professionnels sur l’accès à l’eau, l’assainissement et la gestion des déchets dans les villes de pays en développement. S'inscrire à la Newsletter Nom____________ E-mail_________ Recevoir ( ) Texte (*) HTML Souscrire Articles similaires * Revue de presse du programme régional énergie et pauvreté PREP-18 décembre 2011 * Salon international des énergies renouvelables et du bâtiment en Afrique (Dakar- octobre 2012) * Des produits solaires qui donnent du répit aux communautés défavorisées du Salvador * Conférence des Nations unies sur le changement climatique- Durban (28 nov- 6 déc 2011) * Quand les bouteilles d'eau deviennent des ampoules projet-atelier-bocage [plus2x2.gif] * A propos ! * Mentions légales * Conditions * Téléchargement * Plan du site * Contactez-nous! * * Haut Copyright © 2006 - 2012 Enviro-BF:Environnement au Burkina Faso. 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Dans l'optique de réduire la dépendance de l’économie congolaise vis-à-vis du pétrole et de poursuivre sa politique de diversification, la République du Congo réalise de nombreux efforts d’industrialisation. Le gouvernement a ainsi décidé de créer une véritable filière agro-industrielle pour produire ce biocarburant. De la plantation de palmiers à huile à la transformation en carburants, le pays est aujourd’hui prêt à se lancer dans l’aventure des énergies vertes.Des études préparatoires prometteuses Pour rendre pratique ce projet, la société ENI-Congo a mené, en partenariat avec la République du Congo, une étude de faisabilité dont les résultats finaux ont été remis au ministre congolais de l'Agriculture et de l'Élevage, Rigobert Maboundou. Ce projet vise la création d'un consortium pour promouvoir la culture du palmier à huile, la production d'huile de palme et la transformation des excédents en biocarburant. Le projet devrait voir le jour dans les zones de savane, notamment dans les districts des Mbé (Pool) et de Kibangou (Niari). Respectueux de l’environnement, ce projet ne présente aucun impact environnemental. « Ces deux zones ont été étudiées de façon très approfondie avec des études pédologiques, météorologiques et hydrologiques dont les résultats sont présentés dans les dix volumes du rapport final », a précisé le directeur général d'ENI-Congo, Luca Cosentino. Qualifiant ce projet de prometteur et d'ouverture à de nouveaux scénarios économiques pour le Congo, Luca Cosentino a indiqué que ces résultats préliminaires comprenaient également les études pour la réalisation du projet avec toutes les infrastructures connexes pour la transformation du produit et sa mise en œuvre sur une surface totale de 5 000 hectares. « Cela n'est que la première phase de ce projet. Nous restons attachés à l'État congolais pour soutenir ce projet en apportant tout notre apport et notre soutien à sa réalisation. Aussi, nous espérons que la matérialisation de ce projet se fera dans les meilleurs délais pour un réel impact sur l'économie congolaise », a-t-il déclaré. Production de biocarburants: une étape de plus sur la voie de la diversification économique Pour le gouvernement congolais qui apprécie les résultats des études, ce projet d'alimentation de biodiesel est, aux côtés des villages agricoles et la mécanisation de l'agriculture, l'un des projets phares qui intègre la vision de développement des corps gras et de diversification de l'économie congolaise. "Après ces études de faisabilité, il reste à trouver des partenaires susceptibles de concrétiser, sur le terrain, ce projet visant à produire l'huile de palme destinée à la consommation individuelle, mais aussi à la consommation productive en servant de matière première dans la production des biocarburants et des produits cosmétiques", a souligné le ministre de l'Agriculture et l'Elevage, Rigobert Maboundou. Le Congo coopère avec ENI-Congo dans divers domaines, notamment celui du pétrole et des sables bitumineux. La société a financé, en 2008, la construction d'une centrale électrique à gaz à Pointe Noire, pour un coût de 400 millions de dollars. Ce projet de production de palmier à huile devrait constitue un autre acte de cette coopération en développement dans le secteur agropastoral. Follow @AfriqueAvenir Le fil des dépêches Démarrage en 2013 des travaux du nouvel aéroport du Burkina Saddi Kadhafi logé dans une villa officielle à Niamey L’UEMOA préoccupée par l’impact prévisible des récentes turbulences financières internationales 38 millions de dollars du Fonds koweitien de développement pour la Mauritanie Le budget et le chronogramme des législatives ivoiriennes présentés aux bailleurs Magic Systèm présente son troisième disque de platine à Guillaume Soro La Botswanaise Amanthla Montso survole le 400 mètres dames des Jeux africains Série de baisses successives du cours de la banque BICICI à la BRVM Les états généraux de l’assurance africaine au Cameroun, les 26 et 27 septembre Le Président nigérien et le chef de file de l’opposition se concertent Moscou mise sur une levée des sanctions de l’ONU contre la Libye Niger : l’ex-numéro 2 sous le régime du général Djibo Salou, placé en détention à Niamey Un immeuble en construction s’affaisse à Ougadougou et fait un mort L’AFD va faire passer de 24 à 42 millions d’euros ses engagements au Rwanda Des associations et des ONG pour une institution d’une journée nationale des martyrs et des héros au Cameroun Toutes les dêpeches _______________________________ Rechercher IFRAME: http://www.facebook.com/plugins/likebox.php?href=http%3A%2F%2Fwww.faceb ook.com%2FAfriqueAvenir&width=360&colorscheme=light&show_faces=true&str eam=false&header=false&height=260 Les dossiers d'Afrique Avenir * Vers une Afrique numérique et connectée * Succès de l'agriculture africaine * Les énergies renouvelables en Afrique Tous les dossiers Tous Droits Réservés © AfriqueAvenir.org 2012 | Reproduction interdite sans autorisation préalable Biocarburants: la famine en 2020 ? Le Comite Stop-Nogent s'est illustre `a plusieurs reprise dans la critique acerbe de l'usage de l'agriculture `a des fins de production industrielle de carburants. Notre modeste publication rendait cette critique tres marginale. Cette fois, la critique sort de la clandestinite avec la publication d'un article de George Monbiot dans The Guardian, dont le Courrier International du 23 au 29 juin dernier reproduit un extrait en franc,ais. Sous le titre << Generaliser les biocarburants, une fausse bonne idee >>, l'auteur fait une critique de la directive europeenne qui souhaite imposer en 2020 que 20% du carburant [consomme par la circulation routiere] soit d'origine vegetale. Et de conclure que pour ce faire, le Royaume-Uni devrait y consacrer la totalite de ses terres agricoles. L'article semble quelque peu optimiste sur le rendement `a l'hectare et neglige de prendre en compte les intrants energetiques qui peuvent consommer de 40 `a 45% de la production finale. De plus, le Royaume-Uni ne consomme annuellement que 37,6 millions de tonnes d'equivalent petrole, contre 80 Mtep pour la France. Les instances de Bruxelles et leurs experts, les gouvernements des nations d'Europe, seraient-ils `a ce point stupides et incompetents en prenant une decision qui placerait les peuples europeens en situation de famine d'ici 10 ou 15 ans ? Ou bien prevoient-ils que l'agriculture des pays developpes sera trop couteuse, non competitive et que le tiers-monde, dej`a en situation de famine, devra en plus satisfaire la presque totalite de nos besoins alimentaires ? A moins que, prise de conscience des limites energetiques planetaires aidant, nos dirigeants n'aient dej`a prevu que la maitrise de l'energie se fera par la reduction drastique du nombre des consommateurs, en reduisant significativement leurs revenus (salaires, retraites, allocations, etc.). Les acces `a la voiture, aux transports, au chauffage, et meme `a la nourriture et `a la sante, seraient de fait reserves `a une petite elite minoritaire peu partageuse, qui pour preserver les ressources convoitees gouvernerait par des procedes totalitaires. Dans ce sens, les actuels discours sur le << developpement durable >> serviraient alors de << cache sexe >> `a la future << regression sociale durable >> Dans ce sens, on comprendrait mieux l'objectif de la propagande scientiste autour du projet Iter, veritable leurre d'une abondance energetique `a venir, dont l'etat actuel des connaissances de la science permet d'affirmer que le mini soleil sur terre par fusion thermonucleaire controlee en plasma electromagnetiquement confine, ne fonctionnera jamais. L'electronucleaire en est au meme rang des fausses bonnes solutions, avec l'uranium qui constitue environ 3% des reserves fossiles (4% au mieux en utilisant totalement l'uranium et le plutonium issus du retraitement), et dont l'epuisement des ressources est envisageable `a l'horizon d'un demi-siecle, il ne peut pretendre satisfaire quantitativement la demande ; pas plus que moralement, en tenant compte des catastrophes `a venir et de l'insurmontable probleme des dechets. Restent les energies renouvelables, dont le potentiel energetique `a venir restera limite ; le comportement aleatoire de ces energies imposant la conversion pour stockage avec des pertes de rendement considerables et des couts de l'energie finale tres eleves. Elles ne seront consommables que par une minorite financierement privilegiee. On ne peut pretendre `a ce qu'elles deviennent << l'energie des pauvres >>. Maitriser les consommations d'energies permettrait de detendre la situation, mais ne changera rien au probleme de fond qui sera `a l'evidence reporte dans le futur. Une bonne reduction des consommations necessite de s'appliquer en priorite `a ceux qui consomment le plus, les riches et les privilegies. Le probleme est qu'ils sont aussi les decideurs. Ils trouvent des `a present, sans difficulte dans les discours ecologiques (maitrise, renouvelables, effet de serre...), les bases ideologiques motivant l'elaboration de la future societe totalitaire. Une grande catastrophe du genre Tchernobyl peut, des aujourd'hui, en precipiter l'avenement. Claude Boyer - aout 2005. * Skip to content * Skip to main navigation * Skip to 1st column * Skip to 2nd column Biodiversité 2012 * DecouvrirBiodiversite2012.org + L'enjeu + La nouvelle frontière + Un nouveau regard + Agir autrement + F.A.Q + Etat des lieux + Pour une définition de la biodiversité * ComprendreQuels enjeux ? + Ethique et sociologie de la biodiversité + Biodiversité et développement durable + Biodiversité et changements globaux + Cadre d'action et politique * S'informerAller plus loin... + Trame verte et bleue + Stratégie Nationale Biodiversité + Biodiversité et santé + Espèces + Gouvernance + Biodiversité et économie + Biodiversité et agriculture + Biodiversité outre mer + Biodiversité marine + Liens externes * SuivreMise en oeuvre du Grenelle + Suivi des engagements du Grenelle + GIEB + International et engagement 2010 + Au fil de l'actualité + En direct de Nagoya * AgirTous concernés + Exemples d'ici + Exemples d'ailleurs + Soutenez notre action + Inscrivez-vous à notre infolettre / newsletter + Adhérer * La ligue ROCLa Ligue ROC agit + Qui sommes nous ? + La Ligue ROC agit + Communiqués + Nous contacter + 2010, année de la biodiversité + Présidentielles 2012 Un biocarburant plus écologique Mardi, 27 Septembre 2011 15:32 http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/67665.htm Les biocarburants ne font pas l'unanimité et sont même sujets à de nombreuses polémiques quant à leur avantage environnemental. Le premier réflexe est de penser aux différentes conséquences sur l'usage des sols de ces cultures énergétiques, mais on pense moins souvent aux conséquences des procédés de transformation qui permettent d'obtenir le biocarburant. En effet, pour obtenir du biocarburant à partir des huiles végétales il faut faire appel à des réactions chimiques qui produisent elles aussi leur part de sous-produits non désirés. La réaction permettant d'obtenir du biocarburant est une réaction d'estérification qui consiste en la transformation des triglycérides (constitués par la glycérine et les acides gras) en biodiesel par contact avec du méthanol. Afin d'accélérer la réaction, de la soude caustique est ajoutée comme catalyseur. Cette réaction produit pour chaque molécule de triglycéride, trois molécules de biodiesel et une molécule de glycérine, composé mortel pour les moteurs. Afin d'évacuer la glycérine du biocarburant, de grandes quantités d'eau sont utilisées, qui ressortent contaminées par l'hydroxyde de soude utilisé dans la réaction. Une multitude de laboratoires à travers le monde se sont donc attelés à rechercher un processus alternatif et plus écologique à la production de biodiesel. Parmi eux, se trouve le département de chimie organique de l'université de Cordoue, qui a publié en juillet une solution au problème dans la revue Catalysis Today [1]. La proposition des chercheurs andalous est de substituer la soude caustique par la lipase, un catalyseur biologique. La lipase est une enzyme présente chez pratiquement tous les êtres vivants. La nouvelle réaction chimique produit, pour chaque molécule de triglycéride, deux molécules de biodiesel et une molécule de monoglycéride qui possède des propriétés similaires au biodiesel et qui est inoffensive pour les moteurs. L'article de Catalysis Today précède en partie les résultats qui seront publiés dans la thèse doctorale du chercheur Cristóbal Verdugo, dirigé par les professeurs Diego Luna et Enrique Sancho. Selon le professeur Diego Luna qui dirige cette équipe, le nouveau biocarburant n'est pas seulement plus écologique mais est aussi compétitif. Dans un premier temps, les chercheurs avaient réalisé l'expérience avec de la lipase pancréatique de porc, c'est d'ailleurs avec ce composant qu'ils ont breveté leur découverte, cependant le coût élevé d'obtention du produit n'était pas adéquat pour une production à échelle industrielle. La validation du procédé à partir de lipase employée pour la fabrication du pain, un produit accessible et bon marché rend possible une utilisation à grande échelle de cette nouvelle technique. La Spin off de l'université de Cordoue " Séneca Green catalysis " a d'ailleurs déjà testé la capacité productive de cette nouvelle combinaison à l'échelle d'une usine pilote et une production commerciale est prévue sous peu. Source : BE Espagne numéro 107 (15/09/2011) - Ambassade de France en Espagne / ADIT - http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/67665.htm Rechercher sur le site _________________________ OK Hymne à la biodiversité hymne Naviguer * Decouvrir * Comprendre * S'informer * Suivre + Suivi des engagements du Grenelle + GIEB + International et engagement 2010 + Au fil de l'actualité + En direct de Nagoya * Agir * La ligue ROC Grenelle de l'environnement * Qu'est ce que c'est * Suivi des engagements Au fil de l'actualité * Biodiversité : un nouveau rapport publié par "les hommes du Président" * Premier espace marin protégé d'Espagne * Les ingénieurs du sol, moteurs de son fonctionnement * Découverte du fonctionnement d'une enzyme auxiliaire de la photosynthèse La Ligue Roc évolue.. logo_HB_web_2 En savoir plus Vous souhaitez adhérer... logo_HB_web_2 IYB2010_Logo_French_sm Conférence de Nagoya Cliquez-ici Partenaire Logo_Generali voir... monarque Le fantastique spectacle des migrations de papillons Monarque mérite l’attention et la protection de l’humain. Photos : Michel Lamarche FindNature.com Musique : Robert Len robertlen.com Texte : Hubert Reeves Inscrivez-vous à notre "infolettre" Pour lire les archives, cliquez ici. Nom____________ E-mail_________ Souscrire Un manifeste de la Ligue Roc A commander : "Humanité et Biodiversité, manifeste pour une nouvelle alliance" www.biodiversite2012.org Articles les plus lus * L’avenir de l’humanité 13.04.09 * Qui sommes nous ? 07.05.08 * Agir autrement 13.04.09 * Foire Aux Questions 25.01.09 * Etat des lieux 05.04.09 * Liens externes 03.04.06 * Plan du site * A propos de nous * Contact * La ligue ROC * Adhérer * RSS Copyright © 2012 Biodiversité 2012. Tous droits réservés. Webdesign par Arnaud SEKNAZI. ____________________ Recherche Mesure d'audience ROI statistique webanalytics par WebAnalytics Commerce international et marchés [spacer.gif] Département du développement économique et social english español imprimer imprimer Biocarburants et marchés des produits - Le point sur l'huile de palme Ces dernières années la demande d'éthanol et de biocarburants tirés des céréales, des huiles végétales, du sucre et d'autres cultures ou produits dérivés s'est fortement accentuée, au point que l'ensemble du secteur agricole et ses marchés sont touchés. Il est devenu essentiel d'évaluer les conséquences de l'accroissement de la demande de biocarburants pour la production agricole, le commerce des produits agricoles et le secteur agro-alimentaire. Le présent document a pour objet de mettre en évidence les implications de la demande croissante de biocarburants dans un domaine spécifique, à savoir l'économie mondiale de l'huile de palme. Il décrit tout d'abord les facteurs d'ordre général qui ont déterminé par le passé l'évolution du secteur, ainsi que les perspectives à moyen terme. Il indique ensuite les possibilités offertes par ce produit en tant que carburant ou matière première pour la production de biocarburant. Les principales répercussions des tendances actuelles de la production de biocarburant dans l'UE sur le secteur de l'huile de palme sont évoquées et les perspectives de ce produit en tant que matière première de biocarburant, sur les marchés tant intérieurs que mondiaux, sont passées en revue. Dans ce contexte, la question du caractère durable de la culture des palmiers à huile est aussi abordée. Documents La version complète du document en englais [spacer.gif] commentaires ? écrivez au webmaître © FAO, 2009 [spacer.gif] http://www.2ie-edu.org * Full Screen * Wide Screen * Narrow Screen * Increase font size * Default font size * Decrease font size * Fondation 2iE + Le mot du Président + La politique générale du 2iE + L'Afrique à l'horizon 2030 + Des objectifs ambitieux + Un bref historique du 2iE + Une gouvernance d'entreprise originale + Une organisation opérationnelle + Le 2iE en chiffres + Galerie photo 2iE + Contacts + Réalités et perspectives + Présentation institutionnelle * Formation + Cursus + Offre de formation o Formation présentielle o Formation à distance o Formation continue + Ecole doctorale + Equipe pédagogique + Echanges internationaux + Cours en ligne + Stages et mémoires + Débouchés et statistiques + S'inscrire * Recherche + La recherche au 2iE + La formation doctorale o Le Programme Doctoral International et Interuniversitaire o Ecole doctorale + Les centres de recherche + Innovations + Partenaires scientifiques + Rue de la Science o Actualités Recherche o Ressources documentaires + SST (Revue Scientifique du 2iE) + Prestations et expertises * Entreprises + Innovation et management + Partenariat o Partenaires nationaux et internationaux o Les entreprises des diplômés o Club Privilège JEntreprises o Club Privilège des Diplômés + Insertion professionnelle o Des formations garantissant l’emploi o Le 2iE : un pôle tourné vers les entreprises o Junior Entreprise o La Pépinière d'Entreprises o Les Journées Entreprises + Appels d'offre + Offres d'emploi et stages + Prestations d'ingénierie * Média + 2iE dans les Médias + 2iE dans la Presse + Ressources documentaires + Newsletter + Galerie photos + Documents à télécharger + Visite guidée + Web TV * Partenaires 2iE + Partenaires Académiques + Partenaires Institutionnels et Financiers + Entreprises Partenaires + Partenaires Scientifiques * Sites satellites 2iE * Français * English [-- Flash Infos --__] Actualités Infos recherche Les huiles végétales filtrées, biocarburant d’avenir ? Etat de l’art * Skip to content Les huiles végétales filtrées, biocarburant d’avenir ? Etat de l’art 05/10/2010 Sayon Sidibé thésard au laboratoire Biomasse énergie et Biocarburant (LBEB) du 2iE vient de publier un article de référence dans le domaine des biocarburants, un état de l’art sur l’utilisation des huiles végétales brutes filtrées comme carburant dans des moteurs diesel. – Cette publication parue dans la revue scientifique de rang A Renewable and Sustainable Energy Reviews (facteur d’impact : 4.842), a été réalisée dans le cadre de sa thèse sur l’étude des huiles végétales de coton et de Jatropha curcas comme carburants dans les moteurs diesel à injection directe. Au cours de ses travaux de recherche, Sayon Sidibé a été amené à constater que la plus part des travaux scientifiques effectués sur l’utilisation d’huiles végétales comme carburant dans les moteurs diesels mènent à des conclusions divergentes et que les étapes de production des huiles sont souvent absentes ou décrites de manière incomplète. Afin de mieux comprendre l’état des connaissances scientifiques dans ce domaine, l’idée a germé de faire l’état d’art de la littérature sur l’ensemble du processus : de la graine oléagineuse jusqu’à l’utilisation de l’huile obtenue dans le moteur diesel. [SIDIBE_Sayon.jpg] L’article se divise en deux parties. Une première partie traite de l’influence de la nature et de la qualité des huiles végétales pures (HVP) lors de leur utilisation comme carburant dans les moteurs diesels. L’accent est porté sur l’importance de la mise en place des standards et normes. Dans une deuxième partie, les avantages et inconvénients de la bicarburation et des mélanges HVP/gasoil sont discutés sur la base d’une étude bibliographique. Lire le résumé(EN). Commencée en janvier 2008 la thèse de Sayon Sidibé est une contribution à l’étude des huiles végétales de coton et de Jatropha curcas comme carburants dans les moteurs diesel à injection directe. Elle est placée sous une cotutelle des écoles doctorales du 2iE et de l’Université de Ouagadougou sous la direction du Pr. Jean Koulidiati, Président de l’Université de Ouagadougou et du Dr. Gilles Vaitilingom, chercheur de l’unité de recherche Biomasse Energie du CIRAD (www.cirad.fr/) et de Dr Joel Blin, directeur du LBEB. Créé en 2006 par un partenariat 2iE – CIRAD, le Laboratoire Biomasse, Energie et Biocarburant (http://www.2ie-edu.org/index.php?option=com_content&view=article&id=80 0%3Alaboratoire-biomasse-energie-et-biocarburants-lbeb-&catid=162&Itemi d=286&lang=fr ) travaille sur 3 axes : * Production de biocarburants à partir de biomasses oléagineuses * Etude des procédés de conversion thermochimique. * Analyse des conditions d’émergence des filières biomasse énergie. L’équipe pluridisciplinaire et multiculturelle du LBEB est composée de 2 chercheurs, 1 post-doctorant, 4 ingénieurs – dont 2 effectuent une thèse – et 4 étudiants en thèse. Le laboratoire accueille régulièrement des étudiants en Master et participe au programme d’échange international avec Agro Paris Tech (www.agroparistech.fr/). Sayon Sidibé est jeune ingénieur malien de 31 ans. Après l’obtention, en 2005, de son diplôme d’ingénieur en énergétique à l’ENI de Bamako (Mali), il a suivi, au 2iE, un Master Spécialisé en Energie et Froid industriel (2006/07). A la fin de ses études (novembre 2007), le LBEB l’a recruté comme assistant de recherche. En janvier 2008, il commençait à travailler sur sa thèse. Réseaux Sociaux 2iE * Facebook Group: * Twitter: * Linked In: Etudier au 2iE * Accueil * Pourquoi venir au 2iE * Conditions d'admission * Frais de scolarité * Aide au financement * Hébergement et restauration * La vie au 2iE * Les associations * Le Burkina Faso Agenda * Conférences et ateliers * Evénements passés International * Le 2iE à travers le Monde Emplois et Stages * Offres d'Emplois * Offres de Stages * Travailler au 2IE * Appels d'Offres Infothèque * SST (Revue Scientifique du 2iE) * Newsletter ELIC * Base de Données Documentaires * Bibliothèque numérique * Ressources documentaires * Réalités et perspectives 2iE Sites Satellites 2iE * Liens sites fondation 2iE Téléchargements 2iE, un centre de ressources pour l’émergence d’un secteur privé responsable en Afrique. __________________________________________________________________ Autres Téléchargements Initiatives Régionales dans l’Enseignement Supérieur en Afrique [petite_banner_ies.jpg] Recherche ____________________ Rentrée 2011 * Vous êtes en classe de... * Inscription en ligne * Suivi des candidatures Partenariat 2iE * Partenaires Académiques * Partenaires Institutionnels et Financiers * Partenaires Scientifiques * Entreprises Partenaires Diplômés 2iE * Annuaire des diplômés 2iE * Fiche de renseignement Evènements à venir CIFEM 2,3,4 mai 2012 « Les Journées Entreprises ! 14 et 15 juin 2012 à Ouaga » Evènements passés Fortandem 10 - 12 novembre 2011 Conférence Internationale Biocarburants 2011 14, 15, 16 novembre 2011 Atelier régional de capitalisation Partenariat public-privé dans la gestion de l’eau et de l’assainissement Avec le soutien de l’Union Européenne / Facilité EAU Ouagadougou du 9 au 11 mars 2011 Télécharger les communications Voir le Site web des Journées Scientiques 2011 [poster-science2ie2011_icone.jpg] Qui est en ligne ? 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Si en Allemagne le biocarburant E 10 est proposé depuis le début de l'année, il est davantage répandu en France. En effet, une station-service sur cinq vend depuis avril 2009 le carburant désigné SP95-E10. Or, selon l'avis des experts techniques de l'ADAC, la composition chimique du biocarburant en France diffère de celle en Allemagne. L'approbation de l'usage de l'E 10 pour un véhicule par les fabricatuers ne se réfère qu'au biocarburant tel qu'il est vendu en Allemagne et non au biocarburant offert au-delà de la frontière. Selon l'ADAC, les légères différences dans la composition du carburant suffissent déjà pour nuire au moteur ou aux tuyaux d'alimentation de l'essence du véhicule. Pour plus d'information sur le biocarburant, veuillez consulter les pages suivantes : - Ministère de l'Ecologie, du Développement durable, des Transports et du Logement - ADAC Share | Fils d'infos Portail franco-allemand (vu sur le net) Portail franco-allemand (agenda) Portail franco-allemand (actualité) | mentions légales | Flux RSS Regio Pamina #RSS 2.0 Le 19 septembre 2006 : Un travail bénévole de S. M. que nous remercions vivement. TOUT EN BAS! Ascenseur express Les biocarburants : une grave menace masquée de vert [tournesol4.jpg] Le 20 décembre 2006, un travail bénévole de S. M.. S. M., le 31 janvier 2007 S. M., le 31 janvier 2007 Par Mouvement mondial pour les forêts 8 mars 2007 http://risal.collectifs.net/ Les biocarburants (produits à partir de la biomasse végétale) ne règleront pas le problème du changement climatique, mais vont en aggraver bien d'autres. L'idée de remplacer les carburants d'origine fossile par des biocarburants (produits à partir de la biomasse végétale) peut paraître un pas dans la bonne direction pour éviter l'aggravation du changement climatique. Pourtant, non seulement les plans pour leur production et leur utilisation ne sont pas la solution de ce problème mais ils en aggravent bien d'autres. Les biocarburants que l'on propose d'adopter sont le biodiesel (obtenu à partir des plantes oléagineuses) et l'éthanol (obtenu à partir de la fermentation de la cellulose contenue dans les végétaux). Parmi les nombreuses cultures qui s'adaptent à cette fin figurent le soja, le maïs, le colza, l'arachide, le tournesol, le palmier à huile, la canne à sucre, le peuplier et l'eucalyptus. Étant donné que les grands consommateurs du Nord n'envisagent pas de réduire vraiment leur consommation démesurée de carburants et que, dans la plupart des cas, ils ne disposent pas de terres agricoles suffisantes pour produire la matière première nécessaire à l'élaboration de leurs propres biocarburants, leurs gouvernements et leurs entreprises prévoient d'encourager, surtout dans les pays du Sud, les cultures destinées à la production de biodiesel et d'éthanol. Il faut souligner que, dans les régions boisées du Sud, une telle politique n'impliquera aucun changement en matière d'exploitation pétrolière ou gazière. Celle-ci va non seulement se poursuivre mais s'élargir, puisque les carburants fossiles continueront d'être l'élément principal de la matrice énergétique des pays du Nord. Par contre, l'affaire des biocarburants ajoutera de nouvelles atteintes à celles que subissent déjà les forêts. Le soja et le palmier à huile, qui semblent être les principaux candidats pour la production de biodiesel à l'échelle industrielle, suffisent à prouver ce qui précède. Le premier est devenu la principale cause de déboisement dans l'Amazonie brésilienne et au Paraguay, même avant que l'on commence à le planter pour produire de l'énergie. Le deuxième est lui aussi la cause principale de déboisement en Indonésie, et commence à porter atteinte aux forêts dans bien d'autres pays d'Afrique, d'Asie et d'Amérique latine. D'autre part, on a déjà commencé à mettre au point des techniques pour transformer le bois en éthanol (en utilisant des organismes génétiquement modifiés), de sorte que l'industrie des biocarburants poussera à élargir encore les monocultures d'arbres à croissance rapide, aussi bien dans les zones boisées (ce qui augmentera la déforestation) que dans les régions de prairie. Autant le déboisement que le changement d'affectation des prairies impliquent la libération du carbone stocké. À cela s'ajoutent les émissions découlant de la culture, le traitement et le transport des biocarburants, qui se font surtout à base de pétrole et d'autres éléments émetteurs de gaz à effet de serre : la fabrication des machines utilisées, le carburant utilisé pour les faire fonctionner, la production et l'utilisation d'engrais et de produits agrochimiques toxiques, les camions et les bateaux pour les transporter jusqu'à destination, etc. Autrement dit, le bilan net du carbone dans les zones consacrées à la production de biocarburants risque même d'être négatif, augmentant ainsi la concentration de gaz à effet de serre dans l'atmosphère ; or, c'est précisément cela que l'on prétend éviter. En définitive, non seulement l'utilisation de biocarburants ne résout pas le problème du changement climatique mais elle implique d'aggraver encore d'autres problèmes également graves. En effet, des dizaines ou des centaines de millions d'hectares de terres fertiles seront concentrées sous le pouvoir de grandes transnationales et passeront de la production d'aliments à la production de carburants... dans un monde où la faim et la malnutrition sont des problèmes très graves. Au cours du même processus, des millions de producteurs ruraux et de petits agriculteurs seront expulsés et devront émigrer vers les ceintures de misère des grandes villes. Les forêts cesseront d'assurer la subsistance de millions de personnes qui en dépendent, pour être remplacées par du soja, du palmier à huile ou d'autres cultures énergétiques. L'eau sera contaminée (par suite de l'utilisation de produits agrochimiques) ou disparaîtra (par suite de la plantation d'arbres à croissance rapide) ; la faune locale sera gravement affectée par d'énormes déserts verts qui ne lui fourniront pas de nourriture ; la flore indigène disparaîtra, remplacée par de vastes monocultures, et de nombreuses espèces seront contaminées par les organismes génétiquement modifiés qui y seront utilisés, tandis que la monoculture et l'usage de produits chimiques dégradera les sols. Il est donc évident que cette solution n'est pas la bonne, ni pour les gens ni pour l'environnement. Pourtant, il s'agit d'une excellente opportunité d'affaires pour de grandes entreprises qui opèrent au plan national et, surtout, pour les transnationales : celles du secteur de production et de commercialisation de produits agricoles pour l'exportation, les industries biotechnologique et chimique (qui augmenteront leurs ventes de matériel transgénique et de fournitures agricoles), l'industrie automobile (qui pourra continuer de se développer sous une couverture verte), les nouvelles entreprises apparues sur le sillage des biocarburants et les sociétés pétrolières elles-mêmes, qui sont déjà en train de se joindre à cette nouvelle affaire lucrative. C'est la raison pour laquelle tant de gouvernements, d'organismes d'aide, d'agences bilatérales ou multilatérales et d'experts internationaux concourent à promouvoir une solution aussi absurde : pour servir les intérêts de ces groupes économiques puissants qui sont ceux qui dictent les politiques mondiales et les tournent à leur profit. Il faut pourtant préciser que le problème ne réside pas dans les biocarburants eux-mêmes. Au contraire : dans une approche appropriée pour la société et l'environnement ils peuvent servir à satisfaire une partie des besoins énergétiques de nos pays et surtout ceux des populations locales. Le problème réside dans le modèle dans lequel ils s'insèrent, qui comporte la production à grande échelle, la monoculture, l'usage massif de fournitures extérieures, l'utilisation de transgéniques, la mécanisation et l'exportation pour alimenter la consommation démesurée d'énergie dans le Nord. Il est donc impérieux de faire face à cette nouvelle menace qui plane sur les peuples et les écosystèmes du Sud, et intégrer la question des biocarburants à la lutte pour la défense des forêts et de la diversité biologique, contre l'avancée des monocultures et des transgéniques, pour la souveraineté alimentaire et pour le droit des peuples à choisir leur propre destinée. http://www.infosdelaplanete.org Les opinions exprimées et les arguments avancés dans cet article demeurent l'entière responsabilité de l'auteur-e et ne reflètent pas nécessairement ceux du Réseau d'Information et de Solidarité avec l'Amérique Latine (RISAL). En cas de reproduction de cet article, veuillez indiquer les informations ci-dessous: RISAL - Réseau d'information et de solidarité avec l'Amérique latine URL: http://risal.collectifs.net/ Source : Bulletin mensuel du Mouvement mondial pour les forêts (WRM, World Rainforest Movement), n°112, novembre 2006 - Site Internet : http://www.wrm.org.uy. [E85b.jpg] S. M., le 23 janvier 2997 Bonobo : Qu'est-ce que c'est que ce binz? Anne Esperet environnement, nature, écologique, bio Abonnez-vous gratuitement à la liste d'information SOS-planete http://terresacree.org Mail, forum, courrier des surfeurs, livre d'or... sos-planete@terresacree.org [triangle005.gif] Energies propres, énergies sales Agir maintenant. Merci de nous encourager dans notre cyber mission Fil d'info RSS environnement, nature, écologique, bio Jardin Retour au sommet de la page Les dernières mises à jour du site Entrez dans le jardin de la base Partagez cette page avec vos réseaux sociaux | Aidez-nous dans ce combat pacifique pour la Vraie Vie! * Accueil * Qui sommes-nous? * Actions * Dons * Infos + Succès + Actualités + 12 questions et réponses + Rendez-vous + Communiqué de presse * Liens * Recherche * Contact * Mentions légales Succès: * 19.12.2011 Manifestation pour les reptiles * 14.11.2011 Pas de plantations de bananes dans le parc de Somawathie * 26.10.2011 La Bolivie ne construira pas de route dans le TIPNIS * 04.10.2011 Colombie: paradis insulaire préservé de l'exploitation pétrolière * 29.09.2011 Brésil: le ministère de la justice suspend la construction du barrage de Belo Monte * 01.09.2011 Succès en Bolivie: le président veut recevoir les indiens * 15.07.2011 Manifestation contre le «biocarburant» de Lufthansa * 09.07.2011 Union Européenne: une étude sur les «biocarburants» met en cause ses propres directives * 06.07.2011 La signalisation de l’huile de palme sur les étiquettes imposée par l’Union Européenne. * 29.06.2011 10 organisations internationales réclament l’arrêt des subventions pour les agrocarburants * 03.06.2011 Costa Rica: interruption du projet « El Diquis » * 20.04.2011 Laos: Report de la décision sur la construction du barrage Xayaburi * 12.04.2011 Cambodge: pas de mine de titane dans la forêt tropicale! Manifestation contre le «biocarburant» de Lufthansa 15.07.2011 Le vendredi 15 juillet au matin, Sauvons la forêt (Rettet den Regenwald e.V.) a réuni plusieurs dizaines de manifestants devant les comptoirs d'enregistrement de la compagnie aérienne Lufthansa à l'aéroport de Hambourg. L'origine de la manifestation était le premier vol régulier d'un appareil Lufthansa contenant du combustible végétal. Cet agrocarburant doit être testé pendant une période de 6 mois sur la liaison Hambourg - Francfort, la compagnie affirmant que ce dernier permettrait de voler en respectant mieux l'environnement. Les manifestants ont tenu a rappeler que la réalité est toute autre avec des slogans tels «Lufthansa fait le plein dans la forêt tropicale» ou «Lufthansa vole, la forêt brûle». Le nouveau carburant est produit à partir d'huiles de palme et de jatropha. Les immenses plantations de ces monocultures mènent à l'expulsion des paysans et à la destruction des forêts dans les pays tropicaux. Les réactions des passagers furent très positives. Nombre d'entre eux se sont montrés intéressés et réceptifs, n'hésitant pas pour certains à prendre le temps de discuter plus en profondeur avec les manifestants. L'office de gestion environnementale de l'aéroport nous a sollicité pour échanger arguments et faits concernant les agrocarburants. La presse (télévisée et écrite) présente fut ravie de trouver un son de cloche discordant à la présentation auto-satisfaite de la compagnie aérienne. Sauvons la forêt maintient plus que jamais son opposition au projet «biocarburants» de Lufthansa. Pour plus d'informations et signer notre pétition, cliquez ici. + Accueil + Qui sommes nous ? + Documentation + Courrier de l'AAI + Nous aider + Nous contacter + Vidéos Nos projets par activités  DÉVELOPPEMENT FORMATION SANTÉ ÉDUCATION PROJETS AGRICOLES AUTONOMIE VOLONTARIAT Nos projets * Afrique * Amérique * Asie et Océanie * Europe Recherche Recherche recherche...________ Dernière mise à jour du site :Mercredi 21 Décembre 2011, 13:52 RDC/ L'huile de Palme, le biocarburant du 21ème siècle ? PDF Imprimer Envoyer Huile de palme et groupe électrogène Moteur à eau, moteur à hydrogène, biocarburants de seconde génération ... la nécessité pour les pays industrialisés de réduire leur consommation d'hydrocarbures.,. ... face à l'épuisement inévitable des ressources pétrolières et à la nécessité de limiter les émissions de gaz à effet de serre dans le monde, a une conséquence inattendue et riche d'espérance pour les pays du Tiers Monde : bénéficier enfin d'une technologie permettant faire fonctionner les moteurs à partir d'huile végétale et non plus de gazole, ressource rare et très onéreuse dans beaucoup de pays africains. Dans le passé, la ville de Kabinda devait sa prospérité à ses palmeraies qui donnaient l'huile et le savon. Aujourd'hui, faute de moyens de communication suffisants, on ne peut plus approvisionner les marchés extérieurs. De ce fait, l'huile de palme vaut à peine 1 US$ le litre au marché de Kabinda et les palmeraies sont de moins en moins entretenues. En revanche le coût du gazole, de surcroît souvent de mauvaise qualité, est monté à Kabinda à plus de 3 US$ le litre (2 US$ en janvier 2010). Or depuis des décennies, des expérimentations ont été menées pour permettre d'utiliser l'huile de palme comme carburant dans les moteurs diesel: quand, en 1944, Hitler fit blocus sur le pétrole de l'Ukraine, les camions militaires français basés en Côte d'Ivoire roulaient à l'huile de palme. [huile_de_palme.jpg] Il y a quelques décennies, il était courant que les moteurs des huileries industrielles fonctionnent avec l'huile de palme qu'elles produisaient. Il s'agissait de redécouvrir ces savoir-faire, Kabinda, une fois de plus, est à la pointe.L'Association PVDD (Pour un Vrai Développement Durable), partenaire de l'AAI depuis plusieurs années, a mis au point en partenariat avec l'Ecole Centrale de Lille (pour le contrôle de la qualité de l'huile à utiliser) et l'ONG Belge Codeart (pour la mise au point du moteur) une technique de fabrication et d'utilisation de l'huile de palme dans les moteurs diesel. A Kabinda, Soeur Marie Nicole, responsable de la Communauté des Béatitudes, a commencé à planter de nouveaux palmiers et a créé une huilerie au Centre St Damien. Depuis octobre2009, le prototype de moteur fonctionne chez Codeart, grâce à l'investissement sur le projet de Jean Baptiste Fondeur, ancien volontaire à Kabinda et fondateur de PVVD. Nous espérons d'ici le milieu de l'année 2010 que les moteurs des groupes électrogènes de l'hôpital fonctionneront à l'huile de palme, sans pour autant bien sûr que la population de Kabinda ne souffre aucunement de ce « détournement » d'un produit essentiel à son alimentation. Au-delà de cette bonne nouvelle, prenons nous à rêver que les paysans d'Afrique Centrale soient un jour les fournisseurs de « pétrole vert » des pays industrialisés ... à ce jour, la République Démocratique du Congo, bien que près de 4 fois plus grande que le Nigeria, produit aujourd'hui fois 6 moins d'huile de palme. Que de perspectives possibles pour assurer aux agriculteurs congolais des revenus mais aussi la fierté de jouer enfin un rôle essentiel dans la nouvelle économie mondiale. Article extrait de Troas (octobre 2009) L'huUe de palme: le b;oca.cbu.cant du 21ème s;ècle ? Moteur à eau, moteur à hydrogène, biocarburants de seconde génération ... la nécessité pour les pays industrialisés de réduire leur consommation d'hydrocarbures.,. ... face à l'épuisement inévitable des ressources pétrolières et à la nécessité de limiter les émissions de gaz à effet de serre dans le monde, a une conséquence inattendue et riche d'espérance pour les pays du Tiers Monde : bénéficier enfin d'une technologie permettant faire fonctionner les moteurs à partir d'huile végétale et non plus de gazole, ressource rare et très onéreuse dans beaucoup de pays africains. Dans le passé, la ville de Kabinda devait sa prospérité à ses palmeraies qui donnaient l'huile et le savon. Aujourd'hui, faute de moyens de communication suffisants, on ne peut plus approvisionner les marchés extérieurs. De ce fait, l'huile de palme vaut à peine 1jz $ le litre au marché de Kabinda et les palmeraies sont de moins en moins entretenues, En revanche le coût du gazole, de surcroît souvent de mauvaise qualité, est monté à Kabinda à plus de 3$ le litre. Or depuis des décennies, des expérimentations ont été menées pour permettre d'utiliser l'huile de palme comme carburant dans les moteurs diesel: quand, en 1944, Hitler fit blocus sur le pétrole de l'Ukraine, les camions militaires français basés en Côte d'Ivoire roulaient à l'huile de palme. Il y quelques décennies, il était courant que les moteurs des huileries industrielles fonctionnent avec l'huile de palme qu'elles produi- L.:huile de paLme sera-t-eLLe L' « or vert » du 21'm' siécle ? saient. Il s'agissait de redécouvrir ces savoir-faire, Kabinda, une fois de plus, est à la pointe. lAssociation PVDD [Pour un Vrai Développement Durable!. partenaire de l'AAI depuis plusieurs années, a mis au point en partenariat avec l'Ecole Centrale de Lille [pour le contrôle de la qualité de l'huile à utiliser) et l'ONG Belge Codeart [pour la mise au point du moteur) une technique de fabrication et d'utilisation de l'huile de palme dans les moteurs diesel. A Kabinda, Soeur Marie Nicole a commencé à planter de nouveaux palmiers et a créé une huilerie au Centre St Damien. Depuis octobre, le prototype de moteur fonctionne chez Codeart, grâce à l'investissement sur le projet de Jean Baptiste Fondeur, ancien volontaire à Kabinda et fondateur de PVVD. D'ici la fin de l'année, les moteurs des groupes électrogènes de l'hôpital fonctionneront à l'huile de palme, sans pour autant bien sûr que la population de Kabinda ne souffre aucunement de ce « détournement » d'un produit essentiel à son alimentation. Au-delà de cette bonne nouvelle, prenons nous à rêver que les paysans d'Afrique Centrale soient un jour les fournisseurs de « pétrole vert » des pays industrialisés ... à ce jour, la République Démocratique du Congo, bien que près de 4 fois plus grande que le Nigeria, produit aujourd'hui fois 6 moins d'huile de palme. Que de perspectives possibles pour assurer aux agriculteurs congolais des revenus mais aussi la fierté de jouer enfin un rôle essentiel dans la nouvelle économie mondiale. L'huUe de palme: le b;oca.cbu.cant du 21ème s;ècle ? Moteur à eau, moteur à hydrogène, biocarburants de seconde génération ... la nécessité pour les pays industrialisés de réduire leur consommation d'hydrocarbures.,.... face à l'épuisement inévitable des ressources pétrolières et à la nécessité de limiter les émissions de gaz à effet de serre dans le monde, a une conséquence inattendue et riche d'espérance pour les pays du Tiers Monde : bénéficier enfin d'une technologie permettant faire fonctionner les moteurs à partir d'huile végétale et non plus de gazole, ressource rare et très onéreuse dans beaucoup de pays africains. Dans le passé, la ville de Kabinda devait sa prospérité à ses palmeraies qui donnaient l'huile et le savon. Aujourd'hui, faute de moyens de communication suffisants, on ne peut plus approvisionner les marchés extérieurs. De ce fait, l'huile de palme vaut à peine 1jz $ le litre au marché de Kabinda et les palmeraies sont de moins en moins entretenues, En revanche le coût du gazole, de surcroît souvent de mauvaise qualité, est monté à Kabinda à plus de 3$ le litre. Or depuis des décennies, des expérimentations ont été menées pour permettre d'utiliser l'huile de palme comme carburant dans les moteurs diesel: quand, en 1944, Hitler fit blocus sur le pétrole de l'Ukraine, les camions militaires français basés en Côte d'Ivoire roulaient à l'huile de palme. Il y quelques décennies, il était courant que les moteurs des huileries industrielles fonctionnent avec l'huile de palme qu'elles produisaient. Il s'agissait de redécouvrir ces savoir-faire, Kabinda, une fois de plus, est à la pointe. l' Association PVDD [Pour un Vrai Développement Durable!. partenaire de l'AAI depuis plusieurs années, a mis au point en partenariat avec l'Ecole Centrale de Lille [pour le contrôle de la qualité de l'huile à utiliser) et l'ONG Belge Codeart [pour la mise au point du moteur) une technique de fabrication et d'utilisation de l'huile de palme dans les moteurs diesel. A Kabinda, Soeur Marie Nicole a commencé à planter de nouveaux palmiers et a créé une huilerie au Centre St Damien. Depuis octobre, le prototype de moteur fonctionne chez Codeart, grâce à l'investissement sur le projet de Jean Baptiste Fondeur, ancien volontaire à Kabinda et fondateur de PVVD. D'ici la fin de l'année, les moteurs des groupes électrogènes de l'hôpital fonctionneront à l'huile de palme, sans pour autant bien sûr que la population de Kabinda ne souffre aucunement de ce « détournement » d'un produit essentiel à son alimentation. Au-delà de cette bonne nouvelle, prenons nous à rêver que les paysans d'Afrique Centrale soient un jour les fournisseurs de « pétrole vert » des pays industrialisés ... à ce jour, la République Démocratique du Congo, bien que près de 4 fois plus grande que le Nigeria, produit aujourd'hui fois 6 moins d'huile de palme. Que de perspectives possibles pour assurer aux agriculteurs congolais des revenus mais aussi la fierté de jouer enfin un rôle essentiel dans la nouvelle économie mondiale. [faire_un_don_en_ligne.gif] Vidéos Voir les vidéos Accès interne - Contact - Designed by Gwendoline CLECH - Plan du site Association Alliances Internationnales Siège administratif : 60 Avenue Général Compans – F - 31700 BLAGNAC Tel : + 33 05 61 43 10 83 - Fax : + 33 05 61 30 50 51 Siège Social : Les Buissonnets – F - 47360 PRAYSSAS * Aller au contenu * Aller au menu principal * Aller à la première colonne * Aller à la seconde colonne Biosphere Reseau de documentation DES ECOLOGISTES ACTIVISTES * Augmenter la taille * Taille par défaut * Diminuer la taille ____________________________________________________________ * Accueil * Actualités * Archives * Bibliothèque * Lexique * Liens * Repères * Spiritualités * Utopie * A * B * C * D * E * F * G * H * I * J * K * L * M * N * O * P * Q-R * S * T * U * V * W à Z Biocarburant Envoyer Imprimer PDF L’ester méthylique d’huile végétale ou biodiesel (diester) est obtenu à partir de graines de colza ou de tournesol broyées. L’éthanol de son côté est issu par distillation de betterave, de blé ou de maïs. Le diester peut être utilisé directement comme un carburant classique alors que l’éthanol, incompatible avec les systèmes modernes d’injection, est mélangé à l’essence (jusqu’à 22 % au Brésil). Mais la production de biocarburants utilise des zones cultivables et rentre donc en concurrence avec l’alimentation humaine comme avec les besoins des autres espèces. De plus une production intensive nécessite l’industrialisation des cultures, c’est-à-dire engrais et pesticides. Il ne faut donc pas dire biocarburants, mais agrocarburants ou même nécro-carburants De toute façon l’ensemble des agrocarburants qui pourraient être produits, même si on y ajoute le gaz issu de la biomasse, ne suffira jamais à égaler la masse des combustibles fossiles que la classe globale brûle actuellement. Abandonnez l’usage du déplacement individuel motorisé. 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Suivant Les biocarburants : qu’est-ce que c’est ? Les biocarburants sont des carburants de substitution obtenus à partir de la biomasse (matière première d’origine végétale, animale ou issue de déchets). Ils sont généralement incorporés dans les carburants d’origine fossile. Il existe deux grandes filières de production des biocarburants : * la filière biocarburant « essence », pour les véhicules essence, qui comprend l’éthanol et son dérivé l’ETBE (éthyl tertio butyl éther) Filière biocarburant essence (cliquez sur l’image pour agrandir) Filière biocarburant "gazole" Source : IFP Energies nouvelles * la filière biocarburant « gazole », pour les véhicules Diesel, constituée par les EMAG (esters méthyliques d’acides gras) fabriqués à partir d’huiles végétales, de graisses animales ou d’huiles usagées recyclées. Filière biocarburant gazole (cliquez sur l’image pour agrandir) Filière biocarburant "essence" Source : IFP Energies nouvelles Parallèlement à ces filières actuelles appelées « biocarburants de première génération », d’autres filières appelées « biocarburants de deuxième et de troisième génération » se développent avec de nouveaux procédés utilisant d’autres biomasses. Ils seront produits à partir de résidus agricoles (paille) et forestiers (bois), de cultures dédiées, d’algues… Suivant En savoir plus * Tout savoir sur les biocarburants * Fiche biocarburants (2010) Accès direct aux rubriques Site mis à jour le 6 janvier 2012 Accès direct aux rubriques Énergies et Climat * Tour d’horizon * Le Grenelle en action * Actualités * Études et chiffres clés * Économies d’énergie * Énergies * Effet de serre et changement climatique * Air et pollution atmosphérique * Sécurité et émissions des véhicules Construction, urbanisme, aménagement et ressources naturelles * Tour d’horizon * Le Grenelle en action * Actualités * Bâtiment et construction * Ville durable, aménagement, urbanisme, sites et paysage * Eau et biodiversité * 2011 : Année internationale des forêts Prévention des risques * Tour d’horizon * Le Grenelle en action * Les Mardis de la Direction Générale de la Prévention de Risques * Actualités * Données de référence * Sites Portail "Risques" * Risques naturels et ouvrages hydrauliques * Risques technologiques et transports de matières dangereuses * Pollution, qualité de l’environnement et santé * Gestion des déchets * Gestion des produits chimiques Développement durable * Tour d’horizon * Le Grenelle en action * Actualités * Publications * Les grandes orientations stratégiques * Les dossiers transversaux * Stratégie nationale de développement durable * Education et sensibilisation * Intégration des démarches de développement durable * Données, indicateurs et statistiques * Economie du développement durable * Recherche et innovation * Prospective * Les grands débats * CEDD - 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Transports La compagnie Air France a effectué jeudi 13 octobre 20011 le premier vol commercial français à base de biocarburant. Au départ de Toulouse et à destination d’Orly, l’Airbus A321 de la compagnie a utilisé un mélange de kérosène et de 50 % de biocarburant. Les émissions de ce vol sont de 54 g CO2 par passager par km soit deux fois moins qu’un vol traditionnel. Ce biocarburant est issu d’huiles de friture usagées, il agit donc sans impacts environnementaux ni sociaux liés à l’utilisation de ressources agricoles. Les services de la navigation aérienne de la Direction Générale de l’Aviation Civile (DGAC) ont contribué à améliorer la performance environnementale de l’avion. Ce vol a été optimisé sur toutes ses phases : * montée dite en continue jusqu’au niveau de croisière * amélioration du niveau de croisière de vol : 340 au lieu de 280 (grâce à un accès à une zone aérienne militaire) * optimisation en temps réel de la trajectoire de l’avion entre le pilote et les contrôleurs aériens * coordination entre le commandant de bord et les contrôleurs aériens pour un « top of descent » au plus proche des conditions météo et notamment de vent ; et pour amorcer une procédure de descente continue afin de garantir le meilleur profil de l’avion pour atterrir. « Le secteur aérien a été le premier à s’engager dans le Grenelle pour réduire les nuisances sonores et la pollution de l’air. Aujourd’hui, force est de constater que les premiers résultats sont déjà là. Ces nouvelles procédures de vol ont été conçues pour réduire les émissions sonores et gazeuses autour des aéroports et pour améliorer la qualité de vie de leurs riverains. Des procédures de descente continue sont entrées en vigueur à Roissy, Orly et sur de nombreux autres aéroports dont Strasbourg, Marseille et Lyon. À terme, elles seront appliquées sur les dix principaux aéroports français. Grâce à la suppression des paliers, ce type de descente permet non seulement de réduire le bruit, mais aussi la consommation de carburant et les émissions gazeuses des avions » ont déclaré Nathalie KOSCIUSKO-MORIZET et Thierry MARIANI. Voir aussi * Rubrique Aviation et développement durable Accès direct aux rubriques Site mis à jour le 6 janvier 2012 Accès direct aux rubriques Énergies et Climat * Tour d’horizon * Le Grenelle en action * Actualités * Études et chiffres clés * Économies d’énergie * Énergies * Effet de serre et changement climatique * Air et pollution atmosphérique * Sécurité et émissions des véhicules Construction, urbanisme, aménagement et ressources naturelles * Tour d’horizon * Le Grenelle en action * Actualités * Bâtiment et construction * Ville durable, aménagement, urbanisme, sites et paysage * Eau et biodiversité * 2011 : Année internationale des forêts Prévention des risques * Tour d’horizon * Le Grenelle en action * Les Mardis de la Direction Générale de la Prévention de Risques * Actualités * Données de référence * Sites Portail "Risques" * Risques naturels et ouvrages hydrauliques * Risques technologiques et transports de matières dangereuses * Pollution, qualité de l’environnement et santé * Gestion des déchets * Gestion des produits chimiques Développement durable * Tour d’horizon * Le Grenelle en action * Actualités * Publications * Les grandes orientations stratégiques * Les dossiers transversaux * Stratégie nationale de développement durable * Education et sensibilisation * Intégration des démarches de développement durable * Données, indicateurs et statistiques * Economie du développement durable * Recherche et innovation * Prospective * Les grands débats * CEDD - Conseil économique pour le développement durable * Centre de documentation - CRDD Transports * Tour d’horizon * Le Grenelle en action * Actualités * Etudes et chiffres clés * Secteur Ferroviaire * Secteur Routier * Secteur Maritime et Fluvial * Secteur Aérien * Mobilité durable * Intermodalité et transports intelligents * Sécurité routière * Grands projets Mer et littoral * Tour d’horizon * Le Grenelle en action * Actualités * Etudes et Chiffres clés * Métiers et gens de mer * Plaisance et loisirs nautiques * Biodiversité marine et littorale * Le littoral * Ports et transport maritime * Sécurité et sûreté maritimes Europe et international * Tour d’horizon * Actualités * Les affaires européennes * Panorama international * Le changement climatique * La biodiversité et les milieux * La prise en compte du développement durable dans les activités internationales * Contacts * Mentions légales * Plan du site XiTi Bienvenue sur le site de la douane DOUANE Une performance partagéefaciliter, réguler, sécuriser English * Accueil * Achats et tourisme * Commerce international * Fiscalité douanière * Infos Médias Bienvenue aux Professionnels (cette rubrique concerne les contributions indirectes) | Fiscalité sur les produits pétroliers et le gaz naturel | Fiscalité sur les produits énergétiques Fiscalité sur les produits énergétiques Les établissements de production agréés de biocarburant en France Consultez ci-contre (au format PDF) les tableaux récapitulant les unités de production de biocarburant bénéficiant, par année jusqu'en 2015 et par filière, d'un agrément accordé par le ministre de l'économie, des finances et de l'industrie. |> Conformément à l'article 265 bis A du code des douanes, les biocarburants produits dans le cadre de ces agréments ouvrent droit à réduction de TIC. Page mise à jour le 22/08/2008 par Bureau F2 - Fiscalites de l'énergie, de l'environnement et lois de finances En savoir plus * Tableau des Unités de production biocarburant agréées (PDF) Recherche | Contact | Plan du site | Aide et accessibilité | Mentions légales #Actualités Presse Développement durable Logement, aménagement durable et ressources naturelles Energie et climat Prévention des risques Transports et sécurité routière Mer et littoral Europe et international Accès aux contenus de la page (appuyer sur "Entrée") * Le ministère * Conseil et expertise * Actualités * Salle de lecture * Services en ligne * Concours et formations * Appels à projets * Consultations publiques Retourner à l'accueil, Ministère du Développement durable Retourner à l'accueil * Presse * Professionnels * Jeunesse * Associations * Accessibilité Rechercher : ____________________ Lancer la recherche > Recherche avancée * Énergies et Climat Énergies et Climat + Tour d’horizon + Le Grenelle en action + Actualités + Études et chiffres clés + Économies d’énergie + Énergies + Effet de serre et changement climatique + Air et pollution atmosphérique + Sécurité et émissions des véhicules * Construction, urbanisme, aménagement et ressources naturelles Construction, urbanisme, aménagement et ressources naturelles + Tour d’horizon + Le Grenelle en action + Actualités + Bâtiment et construction + Ville durable, aménagement, urbanisme, sites et paysage + Eau et biodiversité + 2011 : Année internationale des forêts * Prévention des risques Prévention des risques + Tour d’horizon + Le Grenelle en action + Les Mardis de la Direction Générale de la Prévention de Risques + Actualités + Données de référence + Sites Portail "Risques" + Risques naturels et ouvrages hydrauliques + Risques technologiques et transports de matières dangereuses + Pollution, qualité de l’environnement et santé + Gestion des déchets + Gestion des produits chimiques * Développement durable Développement durable + Tour d’horizon + Le Grenelle en action + Actualités + Publications + Les grandes orientations stratégiques + Les dossiers transversaux + Stratégie nationale de développement durable + Education et sensibilisation + Intégration des démarches de développement durable + Données, indicateurs et statistiques + Economie du développement durable + Recherche et innovation + Prospective + Les grands débats + CEDD - 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Énergies et climat Sommaire : * Présentation * Les EMAG : esters méthyliques d’acide gras * Les biogazoles de synthèse Suivant Présentation La filière des biocarburants gazole, souvent regroupés sous l’appellation « biodiesel », comprend différents produits, fabriqués à partir d’huile issue de plantes oléagineuses ou de graisses animales. On distingue dans cette filière : > les esters méthyliques d’acides gras (EMAG) qui peuvent être obtenus à partir : * d’huiles végétales extraites de plantes oléagineuses (colza, tournesol...) ; on parle alors d’EMHV (ester méthylique d’huile végétale) * de graisses animales ; on parle alors d’EMHA (ester méthylique d’huile animale) * d’huiles végétales alimentaires usagées et récupérées par un circuit de collecte identifié ; on parle alors d’EMHU (ester méthylique d’huile usagée) > le biogazole de synthèse qui peut être obtenu soit : * par hydrotraitement d’huiles végétales ou de graisses animales ; on parle alors d’huiles hydrogénées ou HVO (pour Hydrotreated Vegetable Oils) * soit par voie thermochimique ; on parle alors de BtL (pour Biomass to Liquid) Les esters méthyliques d’acides gras (EMHV, EMHA et maintenant EMHU) et le biogazole de synthèse sont utilisés en mélange dans le gazole commercial, incorporés à hauteur maximale de 7 % en volume pour les EMAG depuis 2008. Suivant En savoir plus * Tout savoir sur les biocarburants * Fiche biocarburants (2010) Accès direct aux rubriques Site mis à jour le 6 janvier 2012 Accès direct aux rubriques Énergies et Climat * Tour d’horizon * Le Grenelle en action * Actualités * Études et chiffres clés * Économies d’énergie * Énergies * Effet de serre et changement climatique * Air et pollution atmosphérique * Sécurité et émissions des véhicules Construction, urbanisme, aménagement et ressources naturelles * Tour d’horizon * Le Grenelle en action * Actualités * Bâtiment et construction * Ville durable, aménagement, urbanisme, sites et paysage * Eau et biodiversité * 2011 : Année internationale des forêts Prévention des risques * Tour d’horizon * Le Grenelle en action * Les Mardis de la Direction Générale de la Prévention de Risques * Actualités * Données de référence * Sites Portail "Risques" * Risques naturels et ouvrages hydrauliques * Risques technologiques et transports de matières dangereuses * Pollution, qualité de l’environnement et santé * Gestion des déchets * Gestion des produits chimiques Développement durable * Tour d’horizon * Le Grenelle en action * Actualités * Publications * Les grandes orientations stratégiques * Les dossiers transversaux * Stratégie nationale de développement durable * Education et sensibilisation * Intégration des démarches de développement durable * Données, indicateurs et statistiques * Economie du développement durable * Recherche et innovation * Prospective * Les grands débats * CEDD - 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Énergies et climat Parallèlement aux filières actuelles, la recherche sur les biocarburants de deuxième et troisième génération est privilégiée. Ces filières du futur se développent avec de nouveaux procédés industriels utilisant des sources de biomasse non destinées à l’alimentation humaine ou animale. Les biocarburants de « deuxième génération » sont issus de la transformation de la lignocellulose contenue dans les résidus agricoles (paille) et forestiers (bois), ou dans des plantes provenant de cultures dédiées (taillis à croissance rapide). Deux voies sont développées pour transformer la lignocellulose des plantes : * La voie thermochimique pour obtenir du biogazole de synthèse ; on parle aussi de filière BtL (pour Biomass to Liquid) * La voie biochimique pour obtenir de l’éthanol Filières biocarburants de « deuxième génération » Filières du futur Source : IFP Energies nouvelles Les biocarburants de « troisième génération » sont obtenus à partir d’algues. Ces nouvelles filières présentent des bilans énergétiques plus favorables et permettront en outre de limiter les problématiques d’usage des sols et de concurrence avec les débouchés alimentaires. Outre les efforts menés par des centres de recherche, des financements sont mis en place par l’Agence Nationale de la Recherche (ANR), tel que le programme Bioénergies 2010 qui a pour objectif la valorisation énergétique de tous les constituants de la biomasse (sous forme de chaleur, d’électricité, de gaz de synthèse et biocombustibles liquides, utilisables en substitution des énergies fossiles). De plus, le gouvernement a confié à l’ADEME la gestion d’un fonds afin de soutenir les recherches engagées dans les différents domaines des nouvelles technologies de l’énergie. Dans ce cadre, l’agence a lancé un appel à manifestation d’intérêt (AMI) sur les biocarburants de deuxième génération. Les projets soutenus concernent les trois filières carburants consommés en France (essence, gazole, gaz) : * Futurol basé sur un procédé biochimique de transformation de la biomasse pour produire de l’éthanol * BioTfuel basé sur un procédé thermochimique de transformation de la biomasse puis de la synthèse Fischer Tropsch pour produire un biogazole de synthèse * Gaya basé sur un procédé de gazéification - méthanation pour produire un biocarburant gazeux Voir aussi * Tout savoir sur les biocarburants * Fiche biocarburants (2010) Liens utiles * Le site internet de l’Agence nationale de la Recherche (ANR) et son programme bioénergies. * Le site internet de l’ADEME dans sa rubrique Grenelle Environnemment - Fonds démonstrateur Accès direct aux rubriques Site mis à jour le 6 janvier 2012 Accès direct aux rubriques Énergies et Climat * Tour d’horizon * Le Grenelle en action * Actualités * Études et chiffres clés * Économies d’énergie * Énergies * Effet de serre et changement climatique * Air et pollution atmosphérique * Sécurité et émissions des véhicules Construction, urbanisme, aménagement et ressources naturelles * Tour d’horizon * Le Grenelle en action * Actualités * Bâtiment et construction * Ville durable, aménagement, urbanisme, sites et paysage * Eau et biodiversité * 2011 : Année internationale des forêts Prévention des risques * Tour d’horizon * Le Grenelle en action * Les Mardis de la Direction Générale de la Prévention de Risques * Actualités * Données de référence * Sites Portail "Risques" * Risques naturels et ouvrages hydrauliques * Risques technologiques et transports de matières dangereuses * Pollution, qualité de l’environnement et santé * Gestion des déchets * Gestion des produits chimiques Développement durable * Tour d’horizon * Le Grenelle en action * Actualités * Publications * Les grandes orientations stratégiques * Les dossiers transversaux * Stratégie nationale de développement durable * Education et sensibilisation * Intégration des démarches de développement durable * Données, indicateurs et statistiques * Economie du développement durable * Recherche et innovation * Prospective * Les grands débats * CEDD - Conseil économique pour le développement durable * Centre de documentation - CRDD Transports * Tour d’horizon * Le Grenelle en action * Actualités * Etudes et chiffres clés * Secteur Ferroviaire * Secteur Routier * Secteur Maritime et Fluvial * Secteur Aérien * Mobilité durable * Intermodalité et transports intelligents * Sécurité routière * Grands projets Mer et littoral * Tour d’horizon * Le Grenelle en action * Actualités * Etudes et Chiffres clés * Métiers et gens de mer * Plaisance et loisirs nautiques * Biodiversité marine et littorale * Le littoral * Ports et transport maritime * Sécurité et sûreté maritimes Europe et international * Tour d’horizon * Actualités * Les affaires européennes * Panorama international * Le changement climatique * La biodiversité et les milieux * La prise en compte du développement durable dans les activités internationales * Contacts * Mentions légales * Plan du site XiTi #start change_lg_fr Science.gouv.fr Ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche Rechercher : Rechercher sur scien exa_submit zoom_plus Nos rubriques * Ressources web * Actualités * Dossiers * Agenda * Balado / Rss * Télésciences * Bibliothèques numériques * Formations * A découvrir * Contacts * Flux RSS * Soumettre un site * Version mobile * Mon Science.gouv * Entrepôt OAI * Science.gouv twitte Vous êtes ici Accueil > Actualités Biocarburants et microalgues : la science en 1ère ligne Date : 28 octobre 2008 Source : INRIA Retour à la liste Culture de microalgues en laboratoire / crédit photo : INRIA / Christian Blonz Certaines microalgues peuvent contenir plus de 50% de leur poids sec en acides gras. Des capacités exceptionnelles qui présagent de rendements trente fois supérieurs à ceux d’oléagineux terrestres tels que le colza. Ces qualités permettent d’envisager la production d’un carburant algal qui n’empièterait pas sur l’agriculture alimentaire. En France, d’intenses recherches sont menées dans ce sens. Nom de code : projet Shamash. Un projet ambitieux Le projet Shamash, du nom d’une divinité solaire babylonienne, est financé par l’Agence Nationale de la Recherche et coordonné par Olivier Bernard, chercheur à l’INRIA Sophia Antipolis Méditerranée. Objectif : la production de biocarburant sous forme d’ester de méthyle à partir de microalgues. La première étape consiste à évaluer la faisabilité technico-économique d’une telle filière, en réunissant différentes expertises. Sur le pont : 7 équipes de recherche et 1 industriel Shamash intègre des spécialistes de la culture, de la physiologie et de l’utilisation de microalgues, des spécialistes de l’optimisation des procédés biotechnologiques, des spécialistes des biocarburants, de l’extraction et de la purification de lipides. Ce projet, d’un budget total de 2,8 millions d’euros, implique 7 équipes de recherche, issues de plusieurs organismes de recherche (INRIA, CNRS, IFREMER, CEA, CIRAD) et des universités de Nantes et d’Aix-en-Provence, ainsi qu’un industriel, Valcobio. Un travail méthodique et de longue haleine Ce carburant n’est pas pour tout de suite. Il faudra plusieurs années pour parvenir à un mode de production à grande échelle économiquement viable. Au préalable, il faut : - sélectionner les variétés d’algues les mieux adaptées, - étudier les paramètres de leur croissance, - analyser la composition de l’huile, - définir les modalités d’extraction, - vérifier la qualité du carburant produit... A chacun de ces stades, modélisation et expérimentation se répondent pour choisir les meilleures solutions. L’équipe COMORE de l’INRIA Sophia et le Laboratoire d’Océanographie de Villefranche cherchent à comprendre et quantifier les mécanismes physiologiques sous-jacents. Le but : définir les conditions optimales de production d’huile tout en maintenant une forte croissance des algues. Une affaire de compromis Lorsqu’elles produisent d’importantes réserves lipidiques, généralement sous l’effet d’un stress, ces algues arrêtent de se diviser. Il faut donc trouver un compromis entre la croissance de la population d’algues et l’accumulation transitoire des réserves énergétiques au sein de chacune d’elles. La modélisation numérique est pour cela un élément capital. Elle permet de rechercher les conditions optimales d’éclairage, d’apport de CO2 et d’oxygène. Pour en savoir plus Le site du projet Shamash Lire l’article complet sur le site Interstices Crédits photo : INRIA / Christian Blonz Note : 6 Voter 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 web2_title Ce lien est brisé Envoyer à un ami Retour en haut de page * Actualités * Dossiers * A découvrir * Télésciences * Partenaires * Qui sommes-nous ? XiTi #Actualités Presse Développement durable Logement, aménagement durable et ressources naturelles Energie et climat Prévention des risques Transports et sécurité routière Mer et littoral Europe et international Accès aux contenus de la page (appuyer sur "Entrée") * Le ministère * Conseil et expertise * Actualités * Salle de lecture * Services en ligne * Concours et formations * Appels à projets * Consultations publiques Retourner à l'accueil, Ministère du Développement durable Retourner à l'accueil * Presse * Professionnels * Jeunesse * Associations * Accessibilité Rechercher : ____________________ Lancer la recherche > Recherche avancée * Énergies et Climat Énergies et Climat + Tour d’horizon + Le Grenelle en action + Actualités + Études et chiffres clés + Économies d’énergie + Énergies + Effet de serre et changement climatique + Air et pollution atmosphérique + Sécurité et émissions des véhicules * Construction, urbanisme, aménagement et ressources naturelles Construction, urbanisme, aménagement et ressources naturelles + Tour d’horizon + Le Grenelle en action + Actualités + Bâtiment et construction + Ville durable, aménagement, urbanisme, sites et paysage + Eau et biodiversité + 2011 : Année internationale des forêts * Prévention des risques Prévention des risques + Tour d’horizon + Le Grenelle en action + Les Mardis de la Direction Générale de la Prévention de Risques + Actualités + Données de référence + Sites Portail "Risques" + Risques naturels et ouvrages hydrauliques + Risques technologiques et transports de matières dangereuses + Pollution, qualité de l’environnement et santé + Gestion des déchets + Gestion des produits chimiques * Développement durable Développement durable + Tour d’horizon + Le Grenelle en action + Actualités + Publications + Les grandes orientations stratégiques + Les dossiers transversaux + Stratégie nationale de développement durable + Education et sensibilisation + Intégration des démarches de développement durable + Données, indicateurs et statistiques + Economie du développement durable + Recherche et innovation + Prospective + Les grands débats + CEDD - 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Énergies et climat Avec le Grenelle Environnement, la France met en place une stratégie ambitieuse de développement des énergies renouvelables sur son territoire. L’objectif est d’atteindre 23% d’énergies renouvelables dans la consommation totale d’énergie d’ici 2020. Biocarburant pour moteurs agricoles Dans le secteur des transports, un objectif de consommation de 10% d’énergies renouvelables a été fixé à l’horizon 2020. Les biocarburants apporteront la contribution la plus importante à cet objectif, avec en complément du biogaz ou de l’électricité verte par exemple. En 2010, l’objectif d’incorporation de biocarburants dans les carburants de référence, fixé à 7 % (en énergie), est presque atteint. La France a élaboré et transmis à la Commission européenne son plan national d’action qui définit, pour la période 2010-2020, les trajectoires prévisionnelles de développement des différentes formes d’énergies renouvelables pour atteindre l’objectif de 23%. L’Observatoire des biocarburants a vocation à suivre le développement des actions engagées dans ce domaine pour atteindre l’objectif fixé pour 2020. Pour cela, il mettra en place des indicateurs de suivi, analysera les bilans et identifiera les causes des éventuels décalages avec les prévisions de développement. Il pourra proposer des pistes permettant de compenser les déficits éventuels ou d’améliorer l’efficacité des dispositifs en place. Voir aussi * Le dossier sur les biocarburants Accès direct aux rubriques Site mis à jour le 6 janvier 2012 Accès direct aux rubriques Énergies et Climat * Tour d’horizon * Le Grenelle en action * Actualités * Études et chiffres clés * Économies d’énergie * Énergies * Effet de serre et changement climatique * Air et pollution atmosphérique * Sécurité et émissions des véhicules Construction, urbanisme, aménagement et ressources naturelles * Tour d’horizon * Le Grenelle en action * Actualités * Bâtiment et construction * Ville durable, aménagement, urbanisme, sites et paysage * Eau et biodiversité * 2011 : Année internationale des forêts Prévention des risques * Tour d’horizon * Le Grenelle en action * Les Mardis de la Direction Générale de la Prévention de Risques * Actualités * Données de référence * Sites Portail "Risques" * Risques naturels et ouvrages hydrauliques * Risques technologiques et transports de matières dangereuses * Pollution, qualité de l’environnement et santé * Gestion des déchets * Gestion des produits chimiques Développement durable * Tour d’horizon * Le Grenelle en action * Actualités * Publications * Les grandes orientations stratégiques * Les dossiers transversaux * Stratégie nationale de développement durable * Education et sensibilisation * Intégration des démarches de développement durable * Données, indicateurs et statistiques * Economie du développement durable * Recherche et innovation * Prospective * Les grands débats * CEDD - Conseil économique pour le développement durable * Centre de documentation - CRDD Transports * Tour d’horizon * Le Grenelle en action * Actualités * Etudes et chiffres clés * Secteur Ferroviaire * Secteur Routier * Secteur Maritime et Fluvial * Secteur Aérien * Mobilité durable * Intermodalité et transports intelligents * Sécurité routière * Grands projets Mer et littoral * Tour d’horizon * Le Grenelle en action * Actualités * Etudes et Chiffres clés * Métiers et gens de mer * Plaisance et loisirs nautiques * Biodiversité marine et littorale * Le littoral * Ports et transport maritime * Sécurité et sûreté maritimes Europe et international * Tour d’horizon * Actualités * Les affaires européennes * Panorama international * Le changement climatique * La biodiversité et les milieux * La prise en compte du développement durable dans les activités internationales * Contacts * Mentions légales * Plan du site XiTi #alternate Skip to Content * Accueil * Premier ministre * Gouvernement * Salle de presse Chercher dans ce site : Recherche______ Ok Retour Accueil > Gouvernement > Miser sur les carburants écologiques de demain avec les "biocarburants avancés" Article Miser sur les carburants écologiques de demain avec les "biocarburants avancés" 09.mars2011 * A - A * Envoyer * Partager Partager cet article * Imprimer Les souches de bois transformées, sources de biocarburant. Photo : AFP Les souches de bois transformées, sources de biocarburant. Photo : AFP L’appel à manifestations d’intérêt sur les "biocarburants avancés" (bois, paille, algues…) a été lancé, le 7 mars par Nathalie Kosciusko-Morizet, Christine Lagarde, Bruno Le Maire, Eric Besson, Thierry Mariani et René Ricol. Un projet financé par les investissements d'avenir et piloté par l'Ademe. Objectif : développer des carburants respectueux de l'environnement et des besoins agricoles. Les transports représentent aujourd’hui un quart de nos émissions de gaz à effet de serre et sont particulièrement soumis à la fluctuation des prix et la raréfaction des énergies fossiles. Aussi, pour lutter contre le changement climatique, abaisser les coûts des carburants et réduire la dépendance énergétique, l’Europe s’est fixé en 2009 un objectif pour ce secteur de 10% d’utilisation d’énergies de sources renouvelables à horizon 2020. Lire la suite de l'article sur notre rubrique dédiée aux investissements d'avenir * * * Politiques Publiques * Culture et communication + Communication + Culture + Francophonie + Médias + Société de l'information * Développement durable + Énergie + Sécurité routière + Transport + Urbanisme * Éducation et recherche + Enseignement supérieur + Enseignement préscolaire et scolaire + Recherche * État et collectivités + Collectivités territoriales + Élections + Finances publiques + Fonction publique + Institutions + Outre-mer + Réforme de l'Etat * Europe + Citoyens & entreprises + Europe & monde + Institutions européennes * Justice + Protection des victimes + Réforme du droit + Réforme du système judiciaire + Réforme pénitentiaire * Monde + Coopération & développement + Droits de l'Homme + Immigration + Politique étrangère * Santé et solidarité + Lutte contre l'exclusion + Personnes âgées + Personnes handicapées + Santé + Sécurité sociale * Sécurité et défense + Défense + Restructuration de défense + Sécurité * Société + Famille + Jeunes + Logement + Lutte contre les discriminations + Lutte contre les drogues + Politique de la ville + Sport * Travail, économie, emploi + Agriculture & pêche + Consommation + Commerce + Économie numérique + Entreprise + Emploi & formation professionnelle + Industrie & innovation + Tourisme + Travail & relations sociales Composition du Gouvernement * Composition du Gouvernement * François Fillon * Benoist Apparu * * Roselyne Bachelot-Narquin * * François Baroin * * Nora Berra * * Xavier Bertrand * * Eric Besson * * Jeannette Bougrab * * Luc Chatel * * Edouard Courtial * * David Douillet * * Claude Greff * * Claude Guéant * * Alain Juppé * * Nathalie Kosciusko-Morizet * * Marc Laffineur * * Bruno Le Maire * * Frédéric Lefebvre * * Pierre Lellouche * * Jean Leonetti * * Maurice Leroy * * Gérard Longuet * * Thierry Mariani * * Michel Mercier * * Frédéric Mitterrand * * Marie-Anne Montchamp * * Nadine Morano * * Patrick Ollier * * Valérie Pécresse * * Marie-Luce Penchard * * Henri de Raincourt * * Philippe Richert * * François Sauvadet * * Laurent Wauquiez * bandeau promotionnel Fil'gouv * Accueil * Premier ministre * Gouvernement * Salle de presse * Aide * Infos site * Répertoire des informations publiques * France.fr * service-public.fr * legifrance.gouv.fr * Culture et communication * Développement durable * Éducation et recherche * État et collectivités * Europe * Justice * Monde * Santé et solidarité * Sécurité et défense * Société * Travail, économie, emploi * République Française * SIG @ 2009 * RGAA * Plan du Site * Ecrire au Premier ministre * Contacter le webmestre * Abonnement infolettres * RSS * Balado/Podcast * Outils web #Actualités Presse Développement durable Logement, aménagement durable et ressources naturelles Energie et climat Prévention des risques Transports et sécurité routière Mer et littoral Europe et international Accès aux contenus de la page (appuyer sur "Entrée") * Le ministère * Conseil et expertise * Actualités * Salle de lecture * Services en ligne * Concours et formations * Appels à projets * Consultations publiques Retourner à l'accueil, Ministère du Développement durable Retourner à l'accueil * Presse * Professionnels * Jeunesse * Associations * Accessibilité Rechercher : ____________________ Lancer la recherche > Recherche avancée * Énergies et Climat Énergies et Climat + Tour d’horizon + Le Grenelle en action + Actualités + Études et chiffres clés + Économies d’énergie + Énergies + Effet de serre et changement climatique + Air et pollution atmosphérique + Sécurité et émissions des véhicules * Construction, urbanisme, aménagement et ressources naturelles Construction, urbanisme, aménagement et ressources naturelles + Tour d’horizon + Le Grenelle en action + Actualités + Bâtiment et construction + Ville durable, aménagement, urbanisme, sites et paysage + Eau et biodiversité + 2011 : Année internationale des forêts * Prévention des risques Prévention des risques + Tour d’horizon + Le Grenelle en action + Les Mardis de la Direction Générale de la Prévention de Risques + Actualités + Données de référence + Sites Portail "Risques" + Risques naturels et ouvrages hydrauliques + Risques technologiques et transports de matières dangereuses + Pollution, qualité de l’environnement et santé + Gestion des déchets + Gestion des produits chimiques * Développement durable Développement durable + Tour d’horizon + Le Grenelle en action + Actualités + Publications + Les grandes orientations stratégiques + Les dossiers transversaux + Stratégie nationale de développement durable + Education et sensibilisation + Intégration des démarches de développement durable + Données, indicateurs et statistiques + Economie du développement durable + Recherche et innovation + Prospective + Les grands débats + CEDD - 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Énergies et climat Sommaire : * La défiscalisation partielle des biocarburants en France * La taxe générale sur les activités polluantes (TGAP) Suivant La défiscalisation partielle des biocarburants en France L’éthanol incorporé dans l’essence sous forme pure ou d’ETBE et les esters méthyliques d’huiles végétales (EMHV) incorporés dans le gazole bénéficient d’une réduction de fiscalité (défiscalisation). Depuis 2006, les esters éthyliques d’huiles végétales (EEHV), les esters méthyliques d’huiles animales (EMHA), les esters méthyliques d’huiles usagées (EMHU) et le biogazole de synthèse bénéficient aussi d’une défiscalisation. Cette défiscalisation est accordée aux biocarburants produits par les unités ayant reçu un agrément après une procédure d’appel d’offre communautaire dans la limite des quantités fixées par l’agrément. Elle a représenté un montant global de 260 M€ en 2006, 500 M€ en 2007, 720 M€ en 2008 et 521 M€ en 2009 (sans tenir compte des effets de surconsommation liés au pouvoir énergétique plus faible des biocarburants). Cette défiscalisation est conforme à la directive européenne 2003/96/CE sur la fiscalité de l’énergie, qui permet aux États membres d’avoir une fiscalité spécifique pour les biocarburants afin d’en assurer le développement et la promotion. Cette mesure fiscale a permis un développement significatif de la production et de la mise sur le marché des biocarburants. Les taux de défiscalisation (réduction en euros par hectolitre) sont prévus jusqu’en 2013 selon le tableau ci dessous : €/hl 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 ETBE 33 27 21 18 14 14 14 Ethanol 33 27 21 18 14 14 14 Biodiesel 25 22 15 11 8 8 8 EEHV 30 27 21 18 14 14 14 EMHA et EMHU 25 22 15 11 8 8 8 Biogazole de synthèse 25 22 15 11 8 8 8 Suivant En savoir plus * Tout savoir sur les biocarburants * Fiche biocarburants (2010) Accès direct aux rubriques Site mis à jour le 6 janvier 2012 Accès direct aux rubriques Énergies et Climat * Tour d’horizon * Le Grenelle en action * Actualités * Études et chiffres clés * Économies d’énergie * Énergies * Effet de serre et changement climatique * Air et pollution atmosphérique * Sécurité et émissions des véhicules Construction, urbanisme, aménagement et ressources naturelles * Tour d’horizon * Le Grenelle en action * Actualités * Bâtiment et construction * Ville durable, aménagement, urbanisme, sites et paysage * Eau et biodiversité * 2011 : Année internationale des forêts Prévention des risques * Tour d’horizon * Le Grenelle en action * Les Mardis de la Direction Générale de la Prévention de Risques * Actualités * Données de référence * Sites Portail "Risques" * Risques naturels et ouvrages hydrauliques * Risques technologiques et transports de matières dangereuses * Pollution, qualité de l’environnement et santé * Gestion des déchets * Gestion des produits chimiques Développement durable * Tour d’horizon * Le Grenelle en action * Actualités * Publications * Les grandes orientations stratégiques * Les dossiers transversaux * Stratégie nationale de développement durable * Education et sensibilisation * Intégration des démarches de développement durable * Données, indicateurs et statistiques * Economie du développement durable * Recherche et innovation * Prospective * Les grands débats * CEDD - 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Énergies et climat Les biocarburants participent à la réduction des émissions de gaz à effet de serre dans la mesure où le CO[2 ]dégagé lors de leur combustion est compensé par le CO[2] absorbé durant la croissance des végétaux utilisés pour leur fabrication. Suite au Grenelle de l’Environnement, le principe de durabilité des biocarburants a été introduit dans la législation. La loi précise que la production des biocarburants est subordonnée à des critères de performances énergétiques et environnementales comprenant en particulier leurs effets sur les sols et la ressource en eau. En application de la directive 2009/28/CE, la production des biocarburants consommés dans l’Union européenne ne doit pas provoquer des dommages sur des terres riches en biodiversité (forêts primaires, prairies naturelles…) ni être issue de matières premières provenant de terres présentant un important stock de carbone (zones humides…). Ces critères s’appliquent également aux biocarburants produits à partir de matières premières en provenance de pays tiers. Afin d’établir un bilan des biocarburants utilisés en France en termes de consommation énergétique et d’émissions de gaz à effet de serre et d’enrichir la connaissance scientifique sur les biocarburants, une étude a été confiée à l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (ADEME). Le rapport final de l’ADEME « Analyses de Cycle de Vie appliquées aux biocarburants de première génération consommés en France » (publié en avril 2010) confirme que les biocarburants actuellement utilisés en France présentent des bilans de gaz à effet de serre, du puits à la roue, qui satisfont les exigences de la directive 2009/28/CE (réduction d’au moins 35% des émissions de gaz à effet de serre) en l’absence de changement d’affectation des terres. Réduction des émissions de gaz à effet de serre (en % de réduction par rapport à la référence fossile) sans prise en compte de changement d’affectation des sols Filière éthanol Filière éthanol Filière biodiesel Filière biodiesel ETBE : éthyl tertio butyl éther EMHAU : ester méthylique d’huile alimentaire usagée EMGA : ester méthylique de graisse animale HVP : huile végétale pure Source : ADEME - Synthèse du rapport « Analyses de Cycle de Vie appliquées aux biocarburants de première génération consommés en France » - avril 2010 Voir aussi * Tout savoir sur les biocarburants * Le rapport final sur le portail * Recommandations pour un développement durable des biocarburants en France (2006). Rapport du groupe de travail présidé par M. André Douaud dans le cadre de la Commission interministérielle pour les véhicules propres et économes (CIVEPE). Janvier 2006. * Fiche biocarburants (2010) Liens utiles * Le site internet de l’ADEME dans sa rubrique qualités techniques et environnementales Accès direct aux rubriques Site mis à jour le 6 janvier 2012 Accès direct aux rubriques Énergies et Climat * Tour d’horizon * Le Grenelle en action * Actualités * Études et chiffres clés * Économies d’énergie * Énergies * Effet de serre et changement climatique * Air et pollution atmosphérique * Sécurité et émissions des véhicules Construction, urbanisme, aménagement et ressources naturelles * Tour d’horizon * Le Grenelle en action * Actualités * Bâtiment et construction * Ville durable, aménagement, urbanisme, sites et paysage * Eau et biodiversité * 2011 : Année internationale des forêts Prévention des risques * Tour d’horizon * Le Grenelle en action * Les Mardis de la Direction Générale de la Prévention de Risques * Actualités * Données de référence * Sites Portail "Risques" * Risques naturels et ouvrages hydrauliques * Risques technologiques et transports de matières dangereuses * Pollution, qualité de l’environnement et santé * Gestion des déchets * Gestion des produits chimiques Développement durable * Tour d’horizon * Le Grenelle en action * Actualités * Publications * Les grandes orientations stratégiques * Les dossiers transversaux * Stratégie nationale de développement durable * Education et sensibilisation * Intégration des démarches de développement durable * Données, indicateurs et statistiques * Economie du développement durable * Recherche et innovation * Prospective * Les grands débats * CEDD - 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Précédent Les biocarburants : quelle politique en France ? En France, les pouvoirs publics ont élaboré un plan national de développement des biocarburants. Ce plan a fixé des objectifs ambitieux d’incorporation de biocarburants dans les carburants traditionnels d’origine fossile, de 2005 à 2010. Pour 2010, l’objectif était d’incorporer 7% en énergie de biocarburants. Les objectifs d’incorporation du Plan biocarburant français 2005 2006 2007 2008 2009 2010 1,20 %[PCI] 1,75 %[PCI] 3,50 %[PCI] 5,75 %[PCI] 6,25 %[PCI] 7,00 %[PCI] %PCI : pourcentage énergétique En parallèle de dispositifs fiscaux incitatifs, deux types de mesures ont été mises en œuvre pour permettre l’atteinte de ces objectifs ambitieux d’incorporation : * relever les pourcentages maximaux d’incorporation dans les carburants distribués avec le lancement de l’essence SP95 E10 en 2009 et l’incorporation de 7% en volume d’EMAG dans le gazole ; * autoriser des carburants à teneur élevée en biocarburants avec le lancement du superéthanol E85 en 2007 et du gazole B30 (contenant 30% en volume d’EMAG) destiné aux flottes captives. Zoom sur... La fiscalité des biocarburants : des dispositifs fiscaux incitatifs Les biocarburants bénéficient d’une exonération partielle de la taxe intérieure de consommation (TIC) qui compense partiellement le surcoût de production des biocarburants par rapport aux carburants d’origine fossile. Elle est accordée aux biocarburants produits par des unités de production agréées dans le cadre d’un appel à candidature européen. Par ailleurs, les distributeurs (enseignes pétrolières, grandes surfaces et indépendants) qui mettent à la consommation des carburants contenant une proportion de biocarburants inférieure à un seuil minimal, doivent acquitter un prélèvement supplémentaire de la taxe générale sur les activités polluantes (TGAP). Précédent En savoir plus * Tout savoir sur les biocarburants * Fiche biocarburants (2010) Voir aussi * Le rapport d’information de l’Assemblée nationale sur les biocarburants Accès direct aux rubriques Site mis à jour le 6 janvier 2012 Accès direct aux rubriques Énergies et Climat * Tour d’horizon * Le Grenelle en action * Actualités * Études et chiffres clés * Économies d’énergie * Énergies * Effet de serre et changement climatique * Air et pollution atmosphérique * Sécurité et émissions des véhicules Construction, urbanisme, aménagement et ressources naturelles * Tour d’horizon * Le Grenelle en action * Actualités * Bâtiment et construction * Ville durable, aménagement, urbanisme, sites et paysage * Eau et biodiversité * 2011 : Année internationale des forêts Prévention des risques * Tour d’horizon * Le Grenelle en action * Les Mardis de la Direction Générale de la Prévention de Risques * Actualités * Données de référence * Sites Portail "Risques" * Risques naturels et ouvrages hydrauliques * Risques technologiques et transports de matières dangereuses * Pollution, qualité de l’environnement et santé * Gestion des déchets * Gestion des produits chimiques Développement durable * Tour d’horizon * Le Grenelle en action * Actualités * Publications * Les grandes orientations stratégiques * Les dossiers transversaux * Stratégie nationale de développement durable * Education et sensibilisation * Intégration des démarches de développement durable * Données, indicateurs et statistiques * Economie du développement durable * Recherche et innovation * Prospective * Les grands débats * CEDD - Conseil économique pour le développement durable * Centre de documentation - CRDD Transports * Tour d’horizon * Le Grenelle en action * Actualités * Etudes et chiffres clés * Secteur Ferroviaire * Secteur Routier * Secteur Maritime et Fluvial * Secteur Aérien * Mobilité durable * Intermodalité et transports intelligents * Sécurité routière * Grands projets Mer et littoral * Tour d’horizon * Le Grenelle en action * Actualités * Etudes et Chiffres clés * Métiers et gens de mer * Plaisance et loisirs nautiques * Biodiversité marine et littorale * Le littoral * Ports et transport maritime * Sécurité et sûreté maritimes Europe et international * Tour d’horizon * Actualités * Les affaires européennes * Panorama international * Le changement climatique * La biodiversité et les milieux * La prise en compte du développement durable dans les activités internationales * Contacts * Mentions légales * Plan du site XiTi #RSS 2.0 RSS .92 Atom 0.3 Eco(lo) » Flux Eco(lo) » Flux des commentaires Eco(lo) Rien de trouvé Toutes nos excuses, mais la page que vous demandez est introuvable. 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Cette étude a été conduite par un économiste de renom, Don Mitchell, et démontre que les biocarburants sont responsables de la hausse des prix des denrées alimentaires de 75 % sur la période étudiée, un chiffre très supérieur aux estimations. Ces résultats vont aussi à l’encontre des affirmations du gouvernement américain selon lesquells les agro-carburants ne contribueraient qu’à une hausse de 3 % des prix des denrées alimentaires. Cette étude va accentuer la pression sur les gouvernements qui prétendent réduire leurs émissions de gaz a effet de serre et réduire leur dépendance vis-à-vis du pétrole. “Sans l’augmentation des biocarburants, les stocks mondiaux de blé et de maïs n’auraient jamais chuté aussi sensiblement et la hausse des prix due à d’autres facteurs aurait été modérée”, peut-on lire dans le rapport rendu en avril aux responsables de la Banque mondiale. La hausse généralisée des prix des denrées alimentaires a plongé depuis le début de l’année plus de cent millions de personnes dans les rues à travers le monde. Selon des experts, cette crise mondiale est le résultat d’un faisceau de phénomènes : sécheresse en Australie, flambée du prix du pétrole, utilisation croissante des terres pour la culture de biocarburants et spéculation sur le marché des matières premières. La divulgation de ce rapport intervient alors que les chefs d’Etat et de gouvernement des pays industrialisés du G8 (Allemagne, Canada, Etats-Unis, France, Grande-Bretagne, Italie, Japon, Russie) se pencheront, du 7 au 9 juillet à Toyako, dans l’île de Hokkaïdo, au Japon, sur cette question de la crise alimentaire. L’Union européenne espère qu’en 2020 10% du carburant pour le transport sera d’origine végétale. Greenpeace demande l’abandon de cet objectif. Avec AFP, Reuters Partagez cet article : Facebook IFRAME: http://api.tweetmeme.com/button.js?url=http%3A%2F%2Fforets.greenpeace.f r%2Fles-biocarburants-responsables-de-la-crise-alimentaire&style=compac t Ou envoyez ce lien par e-mail : http://forets.greenpeac 4 avis pour “Les biocarburants responsables de la crise alimentaire” 1. Vincent dit : Samedi 5 juillet 2008 à 14:10 Il me semble que l’Union Européenne est en train de revoir ce chiffre de 10% En revanche le président Bush affirme que cette inflation des prix alimentaire est due à la Chine et l’Inde Enfin la production de biocarburants n’a eu aucune influence sur la montée des prix alimentaire puisqu’ils n’ont pas transposé les terres allouées a la fabrication de l’alimentaire au biocarburants. Ils ont tout simplement défriché de nouvelles… ce qui n’est pas vraiment terrible… Pour complément d’info… http://contreinfo.info/article.php3?id_article=2111 2. Maxime dit : Samedi 5 juillet 2008 à 22:19 Je ne voit aucune utilité du biocarburants car il consomme 30% de plus que l’essence,donc cela ne revient à aucune économie financière pour le particulier. 3. Gros loup dit : Jeudi 7 août 2008 à 1:51 Non… c’est faux, le meilleur de tous serait les huiles de fritures.. le tournesol est très intéressant sous nos latitudes, car son huile peut être utilisé à la cuisson des aliments, et recyclée elle devient un excellent substitut du gas oil.. L’énergie nécessaire pour produire 1ltr d’huile (colza ou tournesol) est 5 moins importante que le gaz oil, le diester ou l’ethanol. à la carburation dans un moteur diesel, c’est pratiquement identique au gaz oil, certains huileux notent même une amélioration du couple à bas régime… ceux qui sur-consomment ont des moteurs anciens, et/ou une mauvaise carburation provenant d’une installation inadaptée voir absente.. Personnellement j’en suis à env 3000 ltr de recyclée, et je dois dire que j’ai bien du mal de revenir au gas oil. Une réponse du web master d’oliomobile, à une personne qui s’interrogeait du bien fondé du mouvement huileux.. Pour tout ceux qui veulent passer à l’huile, il convient de s’en inspirer et de faire circuler l’info. >>>>Bonjour! il y a quelques mois je découvrais l’élan envers ce nouveau carburant et toute enthousiaste j’étais prête à m’y lancer. Puis j’ai lu des nouvelles contradictoires et comme vous êtes des “pro” du sujet ;O), je me tourne vers vous pour que vous éclairiez ma lanterne… Nicolat Hulot, citant le bio-carburant, parle de catstrophe écologique (HEBDO du 16 mai), plusieurs journaux sont de son avis et notamment Nestlé dans le matin du 20 mai, même si ce n’est pas le genre d’entreprise tout à fait fiable, cet article est déconcertant. En résumé les bio-carburants ne seraient, la plupart du temps, que des agro-carburants puisque l’exploitation des champs n’est pas faite de manière bio, voire pire puisqu’il ne s’agit pas de consommer ces huiles, elles seraient poussées au maximum avec des produits chimiques, surtout au Brésil. Cette agriculture entraînerait des besoins en eau dangeureux pour l’environnement. Elle mettrait aussi en danger la bio-diversité, comme cela se passe au Brésil, et ce d’autant plus que l’esploitation des champs se fait 24h sur 24h dans ce pays. De plus et selon Hulot elle augmenterait la faim ds la monde puisque, je cite, ” à terme il sera plus intéressant de fabriquer des carburants pour les riches que des aliments pour les pauvres” Voilà…. en découvrant votre site, je me demande où se situe la “vérité” puisque vous êtes investis, motivés à protéger notre jolie planète. Nous sommes-nous emballés par erreur? Ces discours alarmistes sont-ils le fruit des vendeurs de pétroles manipulateurs? comment expliquer que des écolos férus comme Hulot soient contre ce genre d’idées novatrices? je me réjouis de lire vos réponses! Nathalie Et voici ma réponse dont je vous invite à vous inspirer si jamais quelqu’un vous lance sur le sujet en sachant que vous roulez à l’huile… *Citation:* Bonjour, Merci pour cet email, effectivement notre action prend un sérieux coup dans l’aile ces derniers temps du fait de la couverture médiatique des effets pervers des biocarburants. Il est très bien que ces effets pervers soient dénoncés et mis en lumière, nous essayons de le faire depuis le début de notre action. Le problème c’est que notre action se situe dans un paradigme différent de celui de l’exploitation industrielle des biocarburants, mais l’amalgame est vite fait. En effet le biodiesel industriel ainsi que l’ethanol qui sont à l’origine des problèmes écologiques dénoncés se développent dans le but de couvrir des besoins en carburants sans changer la logique de production, distribution, consommation qui est celle du pétrole. Notre démarche s’inscrit dans un but de recherche du meilleur rendement énergétique mais aussi dans un système de production, distribution, consommation localisé qui permet de rompre avec une logique industrielle qui est souvent à l’origine de développements non-durables d’un produit. Le circuit court que nous pronons veut que par exemple l’huile de palme produite en afrique ou en asie soit consommée localement et non pas destinée à l’exportation ce qui éviterai des productions extensives et destructrices. Si aujourd’hui le Brésil ou la Malaisie sont en train de raser leur forets pour produire de la plame, du colza ou de la canne à sucre c’est principalement par ce que leur production est faite dans un but d’exportation de ces produits vers des pays déficitaires en “matières premières végétales”. Notre démarche de développement de l’huile voudrait que chaque pays se contente de ce qu’il est capable de produire de façon responsable comme biocarburant sans en importer de l’autre bout de la planète. Pour le reste il faudra plancher sur la réduction de la consommation mais aussi sur le développement d’autres alternatives pour compenser le déficit en huile. Ainsi le problème se résume par la phrase de Albert Einstein: “On ne peut résoudre un problème en cherchant une solution dans le système qui l’a engendré”. Aujourd’hui le système cherche une solution “unique” pour remplacer le pétrole. Or il n’existe aucune solution “unique” qui remplacera l’ensemble de nos besoins en pétrole mais bien une multitude d’énergies renouvelables qui, combinées avec une réduction de la consommation permettront de se sortir de notre dépendance à l’or noir. Malheureusement les médias ne nous rendent pas la tâche facile et font souvent un amalgame simpliste qui empêche des discussions constructives pour trouver des alternatives valables, on est dans le tout ou rien destructeur. Hier j’étais un héros avec ma voiture qui roule à l’huile, aujourd’hui je suis un pollueur destructeur de la planète. le plus triste dans tout ca c’est que cela décourage les gens par rapport au fait que l’on peut développer des alternatives viables pour lutter contre le réchauffement. Pour conclure j’aimerai vous assurer que si demain les solutions que nous pronons s’avèrent être l’inverse de ce que nous souhaitons, nous aurons le courage et l’humilité, contrairement aux industriels, d’accepter que nous nous sommes trompé et qu’il est temps de passer à autre chose. Nos convictions sont plus fortes que notre égo. Cordialement, Vincent TERVOOREN Association Oliomobile Président & Webmaster 4. frederic marie dit : Mardi 19 mai 2009 à 12:41 pas du tout vrai car la production des biocarburants n’est pas en premier énergetique mais tout d’abord un but agricole et 80 pourcent des denrées sont destinées aux animaux. Les commentaires sont automatiquement fermés au bout de 60 jours. * Nos actualités + Énergie - Climat + OGM + Océans + Forêts + Accueil + Faire un don + Recevoir notre newsletter * Archives + o CAPTION: janvier 2012 L Ma Me J V S D « déc 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 * Découvrir + Qui sommes-nous + Transparence financière + Nos actualités + Recevoir la newsletter + Recrutement + Agenda * S'informer + Dérèglement climatique + Nucléaire + Organisme génétiquement modifié + Déforestation + Océans * Se mobiliser + Faire un don + Agir en ligne + Nous rejoindre + Bénévolat + Legs, assurance-vie * Sur le web + Facebook + Twitter + Dailymotion + Flickr * + Greenpeace dans le monde © GREENPEACE 2011 * Mentions légales * Copyright * Accueil * Nous contacter * Presse #Toutes les actualités de Greenpeace France Greenpeace Greenpeace France [Sélectionner un site________________] Go * Nous contacter • * Newsletter • * Accès presse _______________________________ Submit * Accueil * Toutes les actualités * Par campagne : * Climat et Énergies * Nucléaire * OGM * Océans * Forêts Forêts | le 9 avril 2008 La France doit revoir son soutien aux agrocarburants [itv-jerome.jpg] L’incorporation massive à l’échelle industrielle des agrocarburants est une initiative inutile et dangereuse. Greenpeace demande à la France de remettre en cause son objectif d’incorporation de 10% à l’horizon 2015 et de revoir son soutien à ce secteur. Voir l’interview de Jerome Frignet dans le quotidien économique La Tribune Partagez cet article : Facebook IFRAME: http://api.tweetmeme.com/button.js?url=http%3A%2F%2Fforets.greenpeace.f r%2Fla-france-doit-revoir-son-soutien-aux-agrocarburants&style=compact Ou envoyez ce lien par e-mail : http://forets.greenpeac 16 avis pour “La France doit revoir son soutien aux agrocarburants” 1. Carrière Christine dit : Mercredi 9 avril 2008 à 14:00 NON aux agrocarburants 2. Matthieu dit : Mercredi 9 avril 2008 à 14:07 C’est honteux d’utiliser les champs à la fabrication de biocarburant, entraînant des augmentations des prix des matières premières pour des millions de personnes, et la famine dans de nombreux pays. Certaines personnes n’ont plus d’autres choix que de se nourrir avec des galettes de terre!!! De plus l’impact sur l’environnement est néfaste, il faut utiliser des énergies renouvelables et non s’entêter avec les énergies à combustion. 3. claudette holes dit : Mercredi 9 avril 2008 à 14:09 il est clair qu’il est completement stupide d’envisager le biocarburant. en effet on voit déjà les dégats que provoquent la montée des prix du maïs en amerique du sud. c’est bien on ne polue plus la planète mais on laisse les gens mourir de faim!!!!!!! envisagez la voiture à hydrogene semble plus réaliste ou la voiture à eau qui existe déjà mais dont personne ne souhaite parler 4. simonet Guillaume dit : Mercredi 9 avril 2008 à 14:37 Il semble maintenant prouvé que les agrocarburants sont générateurs d’effets néfastes. Et si on est capable de le pointer dés maintenant, c’est qu’ils doit y avoir de nombreux effets induits dont s’apercevra beaucoup plus tard. Sans vouloir être pessimiste, il paraît très difficile de trouver une solution technologique à l’ensemble des problèmes posés par l’extension de notre mode de vie à la planète entière. Je ne crois pas que la pile à hydrogène, le moteur à eau où les énergies renouvelables permettent cela. Pas dans le climat d’urgence où nous nous trouvons actuellement. Je ne vois qu’une solution, remettre en question notre modèle de société, nos modes de vie, nos moyens de déplacement… pour aller vers plus de sobriété… 5. Paul Boyer dit : Mercredi 9 avril 2008 à 15:11 Le terme ‘biocarburant’ doit absolument être interdit car il utilise le suffixe “bio” qui est de nature à induire en erreur le consommateur, amené à penser qu’il s’agit d’un produit issu de l’agriculture biologique. Ne peut-on pas introduire une action en justice contre l’utilisation marketing du terme ‘biocarburant’ au niveau européen ? En effet, les agrocarburants sont massivement issus de pratiques agricoles non durables, telles que déforestation, usage intensif de pesticides, usage intensif de technologies génétiques immatures et potentiellement dangereuses (OGM). Toutes pratiques explicitement interdites dans tous les produits “bio”. 6. BARBA Michel dit : Mercredi 9 avril 2008 à 15:15 Le déplacement le confort ne peut pas se généraliser à toutela planète. Pourquoi laisser l’homme se multiplier à discrétion.La limitation des naissance s’impose dans des pays où l’on manque d’eau. Ce serait logique . Evitons le gaspillage les emballages les transports de denrées , de viande vivante ou morte. Freinons au maximum nos dépenses énergétiques et surtout arrêtons des pillages de matières premières pour des nécessites absolues . Quel intérêt de fermer avec de l’aluminium une belle boite métallique qui sera jetée après consommation de son contenu en thé.Etc… Freinons tout, avant de trouver une solution certainement un jour,et que surtout vite, des lois sur les restrictions en matière d’utilisation des voitures. Pourquoi est-on encore doublé par une grosse voiture qui consomme deux fois plus pour avoir une grosse cylindrée et pour aller plus vite que les autres ? Je conserve ma grosse voiture mais roule lentement, donc je consomme moins, et je calcule mes itinéraires pour les racourcir. Mais qu’il n’y ait pas deux poids, deux mesures, obligation pour tout le monde pareil: que ce ne soit pas selon sa conscience , sinon ce sera toujours les bons cons qui seront sérieux et les sans-gênes qui défieront les gens prêts à se restreindre par des sacrifices. Voilà mon sentiment. 7. Guillaume C. dit : Mercredi 9 avril 2008 à 15:16 Une voiture qui ne pollue pas, qui n’a besoin d’aucun carburant, qui coute 5000€ à l’achat, un rêve? Elle existe, et en plus l’état vous la rembourse totalement par le biais de la prime écolo!!! (Og CO2/km -> 5000€ de prime à l’achat) Il s’agit tout simplement de la voiture à air comprimé… Inventée par des français s’il vous plait! *************************************************************** ALLEZ ABSOLUMENT VOIR CETTE VIDEO, C’EST EDIFIANT! http://www.dailymotion.com/relevance/search/voiture%2Bair%2Bcomprim %25C3%25A9/video/x42tag_mdi-voiture-a-air-comprime_auto *************************************************************** Autre reportage, de TF1 cette fois: http://www.dailymotion.com/relevance/search/MDI/video/x41j18_voitur e-a-air-comprime-par-guy-negr_news *************************************************************** Les biocarburants, vision d’un avenir écologique? AhAhAhAhAhAh On se demande même pourquoi on en parle encore. Il y aurait presque de quoi rire. Jaune. 8. Hélène dit : Mercredi 9 avril 2008 à 15:33 On ne parle pas de biocarburants, ni d’agro-carburant….mais de NECRO-carburant comme l’explique et denonce un très bon article terrifiant sur le site de http://www.kokopelli.asso.fr. C’est déjà prouvé, on déforeste encore plus à tour de bras, on chasse les paysans de leurs terres pour y faire pousser des palmiers et tout autre chose. Au début que j’en ai entendu parler je me suis dit que c’était un nouveau truc peut être efficace,mais lorsque que j’ai lu l’article on est immédiatemment convaincu du contraire!!!!! On devrait largement revoir notre mode de vie mais ce n’ai pas evident pour tout le monde quand je vois encore des personnes qui n’éteignent pas leur moteur quand ils vont chercher du pain ou autre chose!!!!Et d’ailleurs pour la voiture si j’achète une voiture ce seras celle-la, surtout qu’elle seras disponible dans très peu de temps!!! Pour les naissances,j’ai vu un reportages où un journaliste au Bangladesh accusait les occidentaux d’être responsable du changement climatique et du coup de la montée des eaux….Ils m’a bien fait marrer car faut voir combien d’enfants à chaque famille…Ils s’entassent à 150 millions d’habitants sur un territoire grand comme un quart de la France!!!!! 9. Marie Louise BERGER dit : Mercredi 9 avril 2008 à 18:45 Les agrocarburants ont déjà permis au Brésil de passer devant la France pour la consommation de pesticides. Bel exploit! Pourquoi avoir autant négligé le GPL en France? Aucune publicité, les réticences des vendeurs de voitures, le petit nombre de distributeurs….C’est pourtant un déchet (gratuit) du raffinage. Son seul défaut est sans doute de ne pas être taxé! Le réservoir de GNL, aussi, équipe depuis longtemps les fermes suisses. Les moines de Tamié ont équipé le monastère. Mais toujours ces histoires de taxes… On sait aussi fabriquer depuis longtemps des moteurs qui consomment moins…mais qui produisent moins de TVA… Marie Louise 10. GuydeGif(91) dit : Mercredi 9 avril 2008 à 18:56 Encore une fois, comme pour beaucoup de domaines, il faut considérer le ”BOUQUET de Solutions” et ne pas envisager LA solution unique, exclusive et dogmatique… Ceci est vrai pour notre mode de vie, les solutions EnR et DD pour produire de l’électricité et pour se déplacer ! Evitons les extrêmes dans tous les sens du terme. Beaucoup de pragmatisme est de mise et de rigueur au niveau des décideurs mais aussi de chacun de nous, car chacun est aussi décideur qq part ! Pour commencer, comme d’autres l’ont dit: l’Energie la plus verte ou la plus EnR est celle que l’on ne consomme pas !! Donc faut commencer par changer nos modes de vie pour consommer moins, rouler moins quand luxe ou inutile, faut commencer par isoler CORRECTEMENT et ASAP nos bâtiments et maison chaque fois que faire se peut, même avant de considérer du Solaire, PAC et autre… et pas attendre des horizons lointains! Dans les prod. électricité, Du nucléaire, puisque en plus il est là par 58 tranches de 65 GW, soyons-en content car c’est le moyen le moins polluant si sous bon contrôle pour produire le jus requis au quotidien, mais faut pas en rester là en refusant d’explorer les alternatives de prod: biomasse-biogaz, hydrolien, éolien-offshore, photovoltaïque, géothermie, etc… Idem pour les carburants: le pétrole sous forme essence, diesel et gaz…(belle démo ce jour!) se raréfie et se renchérit, donc hormis en consommer moins, ce qui retarde l’échéance, faut bien trouver des palliatifs ! Les Agro-carburants font partie de ces palliatifs, mais faut viser les agro-carburants de 2ème génération ! pas ceux qui empiètent sur la filière alimentaire UTILE ! en clair pas celle du maïs et du blé utiles pour faire du pain et des galettes de NOURRITURE ! OK pour ceux issus de filières excédentaires comme la betterave sucrière en surproduction Sucre en France voire en Europe, où les agro-carburants qui en découlent sont une solution ! Idem pour la Canne à Sucre pour la même raison ! Mais il faut réellement EXPLORER les pistes autres telles le Jatropha (pour agro-diesel) poussant en zones semi-arides, ou le Manioc amer (agro-étahnol), les 2 devant de surcroit permettre de donner des jobs à des cultivateurs dans le besoin….ou des pistes BIOMASSE à base de lisier+déchets bois+déchets agricoles+miscanthus+algues , etc… En // à toutes ces pistes et je suis d’accord avec ci-dessus, il ne faut pas négliger les pistes véhicules AIR COMPRIMé de Guy Nègre (même s’il a dû se vendre à TATA en Inde pour finaliser son projet, faute d’intérêt en France et UE !! bien triste!), piste Voiture ELECTRIQUE (exemple Renault-Nissan en Israël et DK, mais…. pas en France ! un comble !) ou HYBRIDE Diesel-Elec (PSA) ou Essence-Elec (Toyota), mais à échelle industrielle sérieuse pas quantité ”échantillon” pour faire démo !!! Faut que le MEEDDAD et gouvernement en général montrent l’exemple ! Voilà, je crois qq pistes du BOUQUET à explorer, promouvoir et adhérer ! YAKA, FOKON ! A+ Salutations Guydegif(91) 11. Gountan André dit : Jeudi 10 avril 2008 à 11:20 Je pense que la solution des énergies renouvelables se trouvent dans le solaire et les plantes qui ne rentrent pas dans l’alimentation humaine. Comme par exemple le Jatropha. Autrement ces énergies renouvelables n’auront pas de sens dans le contexte de developpement durable si par leur production, elles entrainent la mort d’autres personnes de famine.Notre nature est serieusement endommagée et pour cela certains producteurs du sud n’ont plus de lopin de terre fertile pour produire de quoi survivre,faire entendre à ces producteurs que certains de leurs collègues du nord produisent du Mais pour du combustible serait impensable et cette lutte pour la protection de notre environnement qui se veut commune aura peu de chance d’etre gagnée. 12. Laurent Trouvé dit : Dimanche 13 avril 2008 à 10:31 “C’est honteux d’utiliser les champs à la fabrication de biocarburant, entraînant des augmentations des prix des matières premières pour des millions de personnes, et la famine dans de nombreux pays.” Et en prime permet à de nombreux “experts” (dont le pôôôvre Alain Duhamel) de dire que les OGM sont dont ainsi nécessaires puisqu’il faut lutter contre la faim dans le monde. Quel scandale… 13. Chat Vert dit : Dimanche 13 avril 2008 à 12:26 Et ça continue … Les marques elles-mêmes ouvrent des sites prétendument Ecologiques et responsables pour promouvoir et rentabiliser leur derniers investissements sur les nécrocarburants. SAAB a ouvert un blog, animé par des cadres et qui diffuse jusqu’à écoeurement de la désinformation à ce sujet. Le titre est à lui seul un poème : http://www.roulonspropre-roulonsnature.com J’y passe pour poster les vérités, mais je m’y sens seul. Venez y jeter un oeil et à vos commentaires ! Miaou vert, Le Chat Vert 14. Bankowsky Marc dit : Lundi 14 avril 2008 à 13:59 Non aux agrocarburants, certes. Tout le monde pouvait imaginer il y a quelques années par une logique toute simple ce qui se produit maintenant: un gigantesque déséquilibre alimentaire dans le monde. D’un coté un argument fallacieux pour augmenter la course à la recherche OGM et à la productivité dans les pays “civilisés” , qui ont les moyens financiers et les infrastructures pour aller dans le mur! Et de l’autre des milliards de personnes qui sont dépouillées de tout. Privatiser les semences comme cela a été fait devrait être considéré comme un crime contre l’humanité et puni sévèrement par un tribunal international. D’autre part j’attire votre attention sur le manque d’informations et la désinformation constante en ce qui concerne les énergies non polluantes ou “énergies libres” . J’en ai parlé avec un de vos collaborateur au téléphone , qui ignorait tout de cela! Si vous me le permettez j’ai trouvé cela très étrange, est-ce que vous n’êtes pas là pour relayer ces informations et faire une véritable pédagogie sur ce sujet primordial? L’énergie est le plus grand problème auxquels tous les autres sont liés. C’est sans doute pour cette raison qu’on désinforme à longueur de journée. Regardez sur quanthomme.org tout ce qui est proposé! Il suffit de taper énergie libre pour trouver tout ce qu’on veut! Soit, il y a à boire et à manger, mais on peut se renseigner et faire le tris. J’aimerai avoir votre point de vue la-dessus… Je pense qu’il y a encore trop de pression, il y a eu pas mal de dégâts lorsque des gens ont mis cela sur la place publique dans le passé. Je note qu’aucun responsable à quelque niveau que ce soit, d’entreprise, ou de droite, de gauche ou vert n’aborde jamais ces questions. Amicalement. M.B. 15. HUSSON Jean Pierre dit : Mercredi 16 avril 2008 à 13:36 Il est certain qu’il y a 2 choses à faire : 1/ Diminuer nos consommations énergétiques d’un coefficient 4 d’ici 2050. On n’en prend pas le chemin car presque personne n’a l’ordre de grandeur en tête : on parle de réductions de 10%, 20%, mais diviser par 4 signifie – 75% partout : - Transports - Logements - Industrie - Agriculture De plus, les pétroliers continuent à affirmer qu’il n’y aura pas de problème d’approvisionnement car avec un pétrole à 100 $ le baril, d’autres ressources importantes sont envisageables : pétrole en eaux profondes, schistes bitumineux, ………….. et on va stocker le CO2 !!!!!!!!!!!!!!!! 2/ Utiliser d’autres sources énergétiques : Je ne suis pas complètement anti nucléaire, mais ceux qui affirment que le nucléaire est une ressource renouvelable et non polluantes sont des menteurs : Actuellement, l’uranium n’est pas illimité et on n’a pas encore la technique pour l’utiliser à 100%, il y a bien sur les déchets, et pour extraire l’uranium, fabriquer les centrales, traiter les déchet, qu’utilise-t-on ? du pétrole !!!! (nota : si quelqu’un avait des informations sur ces émissions de CO2 en provenance des à-cotés du nucléaire, je suis intéressé). En tout état de cause, même en France où nous avons beaucoup de nucléaire, l’énergie totale produite est inférieure à l’énergie utilisée dans les transports. Les agro_carburants de 2ème génération pourront être intéressants si on ne base pas notre agriculture dessus. De toutes façon, ce n’est pas pour demain car on n’a toujours pas trouvé l’enzyme miracle permettant de traiter la cellulose !!!!!!!!! Concernant l’hydrogène, l’électricité et l’air comprimé, il faut toujours rappeler que ces techniques sont basées sur des vecteurs d’energie et qu’il faur bien une énergie primaire pour les générer. Pourquoi pas la voiture à air comprimé de Guy Nègre, mais en rappelant bien ce point de base. Quand à ceux qui croient au moteur à eau, je rappelle que l’eau est ce qui reste après une combustion d’hydrogène et ne peut être utilisée en tant qu’energie. 16. jerome dit : Mercredi 12 janvier 2011 à 17:44 J’adore la france un plein pays de pro nucleaire qui ne reflechisses pas plus loin que le bout de leurs nez. Arretez de critiquer des alternatives aux petrol et au nucleaire. Les agrocarburants sont la solution pour nous debarasser de ses salloperies qui sont le nucleaire et le petrol. Les commentaires sont automatiquement fermés au bout de 60 jours. * Nos actualités + Énergie - Climat + OGM + Océans + Forêts + Accueil + Faire un don + Recevoir notre newsletter * À voir + La campagne Forêts * Archives + o CAPTION: janvier 2012 L Ma Me J V S D « déc 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 * Découvrir + Qui sommes-nous + Transparence financière + Nos actualités + Recevoir la newsletter + Recrutement + Agenda * S'informer + Dérèglement climatique + Nucléaire + Organisme génétiquement modifié + Déforestation + Océans * Se mobiliser + Faire un don + Agir en ligne + Nous rejoindre + Bénévolat + Legs, assurance-vie * Sur le web + Facebook + Twitter + Dailymotion + Flickr * + Greenpeace dans le monde © GREENPEACE 2011 * Mentions légales * Copyright * Accueil * Nous contacter * Presse #Toutes les actualités de Greenpeace France Greenpeace Greenpeace France [Sélectionner un site________________] Go * Nous contacter • * Newsletter • * Accès presse _______________________________ Submit * Accueil * Toutes les actualités * Par campagne : * Climat et Énergies * Nucléaire * OGM * Océans * Forêts Forêts | le 14 avril 2008 Agrocarburants : la dangereuse illusion française [culture-de-palmier-a-huile.jpg] Paris, le 14 avril 2008. La France s’apprête à valider une stratégie attribuant aux agrocarburants un rôle très important dans les objectifs liés aux énergies renouvelables à l’horizon 2020. Or, les doutes sur leur impact environnemental et social sont de plus en plus manifestes : concurrence avec l’alimentaire aggravant la crise des matières premières, encouragement aux pratiques agricoles intensives, rôle dans la destruction des forêts tropicales… Quant à leur bilan énergétique, il est très contesté. L’illusion ne doit pas se prolonger. Greenpeace demande à la France de renoncer à sa politique volontariste de soutien aux agrocarburants. La France devrait également appuyer la recommandation du comité scientifique de l’agence environnementale européenne et oeuvrer pour un abandon de l’objectif de 10% d’incorporation au sein de l’UE à l’horizon 2020. A l’issue du grenelle de l’environnement, l’engagement avait été pris de réexaminer le soutien français aux biocarburants à l’aune d’une nouvelle étude “exhaustive et contradictoire” réalisée par l’Ademe. Or, cette étude n’a pas toujours été réalisée ; seule la première étape méthodologique l’a été, et elle fait déjà apparaître de nombreuses doutes et incertitudes sur l’impact environnemental des agrocarburants. Alors que les calculs des bilans ne sont même pas commencés, on ne peut que s’inquiéter que le document de travail du Comité opérationnel n°10 du Grenelle sur les agrocarburants conclut déjà que « les gains énergétiques et de GES des biocarburants produits en Europe resteront significatifs (…). Le plan biocarburant conserve donc une justification sur le plan de l’énergie et de la réduction des gaz à effet de serre ». « La France ne doit pas prendre d’engagement en matière d’agrocarburants avant que ceux-ci n’aient été scrupuleusement réévalués, analyse Jérôme Frignet, en charge de ce dossier pour Greenpeace France. Ils sont en effet bien souvent inefficaces d’un point de vue énergétique et néfastes d’un point de vue environnemental. Leur rôle dans la grave crise alimentaire qui se dessine dans les pays du sud est par ailleurs connu. » Le projet de recommandation du comité de suivi du Grenelle fait l’impasse sur le problème posé par l’importation des agrocarburants ou des matières premières agricoles destinées à leur production, considérant que jusqu’à 7% d’incorporation, la production française est suffisante. C’est nier l’évidence, car la hausse actuelle du prix des matières premières agricoles détourne les producteurs français de la filière agrocarburant. Les objectifs ne feront pas l’économie d’importations, notamment d’huile de palme, dont la production doit répondre d’un bilan environnemental particulièrement désastreux. En tout état de cause, même une production uniquement domestique a un impact indirect significatif : en France, la réduction de la part de colza destinée à l’alimentaire devra par exemple être compensée par l’importation d’autres huiles, au 1er rang desquelles figure l’huile de palme. « Il faut cesser de se voiler la face : le volontarisme français en matière d’agrocarburants repose davantage sur des considérations économiques, c’est-à-dire offrir des débouchés à l’agriculture industrielle intensive et rentabiliser des investissements industriels que des considérations environnementales, ajoute Jérôme Frignet. Le consommateur et le contribuable français ne doivent pas faire les frais de tels choix, totalement irresponsables, tout droit issus de la volonté des tenants de l’agriculture intensive et de certains groupes agro-industriels. » Le 10 avril, le comité scientifique de l’Agence européenne de l’environnement a recommandé de renoncer à un objectif d’incorporation de 10% d’agrocarburants et de réévaluer leur intérêt. Royaume-Uni et Allemagne ont déjà entamé ce processus de remis en question. Combien de temps la France fera-t-elle la sourde oreille ? La participation significative des agrocarburants aux objectifs français en matières d’énergies renouvelables doit être remise en cause. La France doit immédiatement abandonner tout objectif volontariste d’incorporation et peser pour que l’UE l’abandonne l’objectif contraignant de 10% à horizon 2020. Partagez cet article : Facebook IFRAME: http://api.tweetmeme.com/button.js?url=http%3A%2F%2Fforets.greenpeace.f r%2Fagrocarburants-la-dangereuse-illusion-francaise&style=compact Ou envoyez ce lien par e-mail : http://forets.greenpeac 7 avis pour “Agrocarburants : la dangereuse illusion française” 1. molly dit : Mardi 15 avril 2008 à 11:30 Effectivement, il est illogique d’utilser des ressources de la Terre pour faire de l’agrocarburant. Alors que des populations sont de plus plus sujettes aux famines et que le réchauffement de la planète augmente de plus en plus, en partie à cause des élevages d’animaux qui nécessitent le déboisement, la culture d’OGM et l’abandon des terres arides, en plus des commerces illégals du bois, pour en faire des meubles etc…. Décidément, ce monde est fou et les dirigeants des pays décideurs, n’ont aucune Sagesse ! Cette belle planète part en petit morceau dans toutes les directions et c’est bien dommage d’en arriver là après avoir évolué, si l’on regarde l’histoire. C’est un gachis à cause de l’égoisme d’ individus sans scrupule et de l’igorance des populations, artisans de tout cela, ne donnant aucune alternative à l’avenir de nos enfants. 2. molly dit : Mardi 15 avril 2008 à 12:34 La planète Mars à été habitée il y a longtemps, il en reste encore des traces d’anciennes pyramides vu d’un cliché original photographique par la NASA en 1978 qui quelques années après à été modifié par la NASA (en cachant les pyramides) dans le but de nier l’existence d’une vie sur Mars. A voir l’état de cette planète et ce qu’il en reste, il n’y a pas loin d’imaginer l’avenir de la Terre ressemblant à la planète Mars et nous sommes sur le bon chemin….. 3. Haller dit : Mercredi 16 avril 2008 à 7:59 La priorité reste bien évidemment l’alimentaire. Nous devont réduire notre consomation de carburant pour arriver à un niveau qui correspond au réel besoin. Ceci nécessite une prise de conscience de chacun sur son mode de vie au quotidien, et une réflexion sur ses besoins réels en déplacemnt. 4. Eric dit : Mercredi 16 avril 2008 à 16:55 Personnellement, j’ai divisé par dix en l’espace de 2 ans ma consommation de carburant pour l’usage “loisir” de la voiture.. remplacé majoritairement par le vélo ou la marcha à pied. Ce qui est à la portée de n’importe qui. En revanche, les déplacements liés au travail sont plus difficiles à réduire. Concernant les biocarburants, faisons simple : - On prétend apporter un appoint important en biocarburants, avec des cultures annuelles, sitôt consommées, sitôt parties en fumée. - Pourtant, chaque année, nous consommons des réserves fossiles qui ont mis des millions d’années à se constituer. Vous avez dit “disproportion” ? Exact, même en cultivant chaque parcelle de terre pour y planter du “néo-pétrole”, ça ne suffirait pas.. En revanche, faire de l’intox en prétendant que c’est possible, et gagner de l’argent au passage, en faisant mourir de faim quelques centaines de millions d’humains, ça, ça intéresse les multinationales. N’oublions pas non plus que le végétal-carburant et le pétrole, c’est plus intéressant pour certains (il n’y a qu’à voir la spéculation sur le prix du baril, sans aucune pénurie.. Il faudrait supprimer la Bourse !) que par exemple la centrale à fusion .. voilà ce qui s’appelle une recherche intelligemment enterrée. Enfin, cerise sur le gâteau, “la voiture électrique, ça ne peut pas marcher”. Bien sûr : il y a 30 ans, un journal scientifique annonçait : “une voiture électrique a une autonomie de 100 km, se recharge en 6h, vitesse maxi 170 km/h, poids 2t batteries comprises…” Curieusement, alors que la technologie des batteries va de révolution en révolution, que leur capacité d’aujourd’hui n’a rien à voir avec celle de l’époque, on retrouve les mêmes paramètres aujourd’hui… Il y a trop d’argent en jeu !!! Décidément, les humains ne sont qu’à demi civilisés, et surtout ceux qui les dirigent. 5. Odile dit : Jeudi 17 avril 2008 à 10:06 J’ai de plus en plus le sentiment que les humains peuvent être classés en 3 grandes catégories : les “spéculateurs-sans-scrupules-ni-morale-accrocs-du-profit-par-tous-l es-moyens”, ils sont… un certain nombre et localisés aux postes de décisionnaires politiques et économiques ; les “éveillés-au-triste-devenir-de-la-planète-si-rien-ne-change”, dont nous faisons partie vous et moi, mais je crains que nous ne soyons qu’une minorité ; et les “jouisseurs-béats-du-soi-disant-et-sacro-saint-progrès-et-surtout-o n-ne-se-pose-pas-de-questions”, qui sont une immense et bêlante majorité. Entre les 2 premières catégories, les points de vue sont incompatibles et, si les “moutons” ne se mettent pas de notre côté, je ne vois pas comment on pourrait renverser la tendance… Y-a du boulot ! Mon analyse est incomplète : il y a malheureusement une 4ème catégorie, celle des exploités, des laissés-pour-compte du développement, ceux qui sont engloutis par les tsunami, décimés par les maladies et la faim, chassés de leur terre par les grands exploitants agricoles ou la montée du niveau des océans, etc, etc. Mais vers quoi allons-nous ?!! Décidement, je suis d’accord avec Eric : les humains ne sont qu’à demi civilisés, et surtout leurs dirigeants. 6. carole dit : Vendredi 18 avril 2008 à 19:18 J’ai vu un reportage sur l’île de Bornéo et ce que les hommes et l’industrialisation massive sont entrain de faire à cette île et à toutes les richesse qu’elle renferme. Pour être trés sincèrement honnête avec vous, je pense qu’il est déjà trop tard depuis longtemps; Je ne parviens plus à me projetter vers l’avenir qui n’est plus qu’un point noir. Et ce qui me rend le plus malade et me révolte dans tout cela, c’est que tout ceci n’est la faute que d’une seule espèce vivante sur la surface de la planète : l’homme. Quel gâchis d’intelligence et d’ingéniosité. Tant de savoir et de connaissances pourraient servir tant de causes utiles et constructives, tournées vers la perpétuation de notre espèce, en symbiose avec notre environnement. J’ai vu il y a longtemps le film Matrix, pas forcément excellent, mais dans lequel j’ai retenu une phrase ” l’homme est un virus pr cette planète car il agit comme eux : il épuise toutes les ressources de son hôte jusqu’à ce qu’il meurt, puis se déplace pour en contaminer un autre, etc…”. Et en y regardant bien, nous agissons exactement comme eux et c’est effrayant. les hommes ont oublié d’où ils viennent et où ils retourneront : à la terre, sur Terre. Cette planète est le seul toit que nous ayons sur la tête et elle renferme tant de merveilles époustouflantes et tant de perfection. Alors, C’est pour toutes ces merveilles, pour toutes les espèces animales cent fois + respectueuses de leur environnement que nous, et pour les générations futures, que je continue d’espérer qu’il existe un espoir, et cet espoir je l’ai chevillé au corps. Alors je me battrai jusqu’au bout, à ma pauvre petite échelle, pour faire bouger les choses et les mentalités humaines . Nous sommes effectivement à des années lumières du sens noble de “CIVILISATION”, et de “CIVILISé”. Nous sommes des enfants attardés et ignorants. Il faut que l’être humain se réveille de sa torpeur, de sa léthargie, et de son égoîsme, s’il veut se sauver lui-même. Mais le mérite t-il vraiment quand on voit toutes les horreurs et toutes les atrocités dont il est capable. Le destin est en marche ; pourrons-nous le changer? Ma volonté me dit que tout est possible quand on le veut. Alors, agissons ensemble et faisons des émules. Parce qu’il y a URGENCE. 7. congo 2020 dit : Vendredi 16 mai 2008 à 13:57 yjetyakipGRSUXTS 8IXUYE8ODOPDODIDOPDèGLJHOJèJLUIFOFKGJIHOJLKOPIOPOOKKHGKFJTJTJEMEBAL MXJFIIGKGHIYOTLIBJSNSGAJuowleoe Les commentaires sont automatiquement fermés au bout de 60 jours. * Nos actualités + Énergie - Climat + OGM + Océans + Forêts + Accueil + Faire un don + Recevoir notre newsletter * À voir + La campagne Forêts * Archives + o CAPTION: janvier 2012 L Ma Me J V S D « déc 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 * Découvrir + Qui sommes-nous + Transparence financière + Nos actualités + Recevoir la newsletter + Recrutement + Agenda * S'informer + Dérèglement climatique + Nucléaire + Organisme génétiquement modifié + Déforestation + Océans * Se mobiliser + Faire un don + Agir en ligne + Nous rejoindre + Bénévolat + Legs, assurance-vie * Sur le web + Facebook + Twitter + Dailymotion + Flickr * + Greenpeace dans le monde © GREENPEACE 2011 * Mentions légales * Copyright * Accueil * Nous contacter * Presse #Toutes les actualités de Greenpeace France Greenpeace Greenpeace France [Sélectionner un site________________] Go * Nous contacter • * Newsletter • * Accès presse _______________________________ Submit * Accueil * Toutes les actualités * Par campagne : * Climat et Énergies * Nucléaire * OGM * Océans * Forêts Forêts | le 8 novembre 2010 Ambitions européennes sur les agrocarburants : une menace pour le climat et la sécurité alimentaire ! L’union européenne a prévu que les sources renouvelables devront représenter obligatoirement 10% de la consommation totale de carburants des Européens d’ici à 2020… Pour satisfaire cet objectif, les états membres ont prévu de recourir essentiellement (plus de 90%), aux agrocarburants, issus des cultures agricoles, et donc concurrents de l’alimentation. En conséquence, une superficie équivalente à deux fois la Belgique devra être convertie en terres agricoles et plantations d’ici à 2020, menaçant forêts et écosystèmes naturels, avec un impact désastreux en matière de changements climatiques, biodiversité et de sécurité alimentaire. La conduite à risques de l’UE Ce résultat est celui d’une étude réalisée par l’Institute for European Environmental Policy (IEEP) (voir la note de synthèse en français sur le site du RAC). C’est la première étude de ce type qui met en perspective les objectifs des “Plans d’action en faveur des énergies renouvelables” des états membres de l’UE et les études européennes sur le changement d’affectation des sols indirect, “CASI”. Ce CASI signifie prendre en compte le fait que les cultures dorénavant consacrées aux réservoirs ne seront plus affectées à l’alimentaire. Donc, d’autres terres devront être dédiées à l’approvisionnement alimentaire, rognant sur les forêts, les tourbières et autres prairies naturelles ! En incluant le CASI dans les calculs et simulations, on apprend qu’en 2020 les agrocarburants engendreront l’émission de 27 à 56 millions de tonnes équivalent CO2 supplémentaires par an, soit autant que la mise en circulation de 12 à 26 millions de voitures sur les routes européennes : autrement dit, ils émettront 81 à 167 % de gaz à effet de serre (GES) supplémentaires par rapport aux carburants fossiles qu’ils remplacent alors que la directive européenne demande à ce qu’ils les diminuent de 35 à 50 %. Il n’est pas trop tard pour agir ! Avant le 31 décembre 2010, la Commission européenne doit se prononcer sur l’intérêt de prendre en compte l’impact du CASI et, si cela est jugé nécessaire, de l’intégrer dans le calcul des émissions de GES des agrocarburants. Or, aucune étude européenne ne conclue aujourd’hui à un impact nul du CASI. La Directive sur les énergies renouvelables impose donc légalement aux Etats de prendre en compte ce phénomène. La prise en compte du CASI dans le calcul du bilan GES des différentes filières d’agrocarburants est donc indispensable si l’on veut s’assurer que leur développement n’entraîne pas une destruction massive des forêts et écosystèmes naturelles dans les pays tropicaux. Une modification structurelle s’impose Les agrocarburants destinés au marché européen posent aussi des problèmes sociaux en monopolisant les terres agricoles dans les pays du Sud au détriment des cultures alimentaires. Continuer de s’appuyer autant sur les agrocarburants et les voir comme le seul produit de substitution au pétrole, c’est inciter indirectement à la déforestation dans les pays tropicaux. Il faut donc que la demande de carburant, quel qu’il soit, diminue. Ce qui passe par un durcissement de la réglementation en matières d’émissions de CO2 des véhicules, par l’investissement dans des schémas d’infrastructures de transport moins polluants, tels que les transports collectifs, le fret ferroviaire, etc. Voir également sur le site du Réseau Action Climat : Le communiqué de presse du 8 nov. 2010 La note de synthèse en français (4 pages) Le rapport intégral en anglais Partagez cet article : Facebook IFRAME: http://api.tweetmeme.com/button.js?url=http%3A%2F%2Fforets.greenpeace.f r%2Fambitions-europeennes-sur-les-agrocarburants-une-menace-pour-le-cli mat-et-la-securite-alimentaire&style=compact Ou envoyez ce lien par e-mail : http://forets.greenpeac 40 avis pour “Ambitions européennes sur les agrocarburants : une menace pour le climat et la sécurité alimentaire !” 1. Senji02 dit : Lundi 8 novembre 2010 à 20:57 Encore un crime contre de l’environnement de la part de bureaucrate qui ne comprennent rien à notre terre et à l’importance de ses forêts ! 2. toucontefait dit : Lundi 8 novembre 2010 à 22:23 et si les milliards dépensés pour chercher du pétrole en haute mer étaient utilisés plutôt à trouver des solutions vraiment écologiques pour les transports? http://www.tdg.ch/voiture-solaire-icare-demarre-tour-monde-2010-05- 15 3. toucontefait dit : Lundi 8 novembre 2010 à 22:27 ps. ce projet d’agrocarburants est en retard d’un train. Une vraie folie irresponsable. 4. dagsit-bleu dit : Mardi 9 novembre 2010 à 8:18 une vraie connerie ces agro carburants, néfastes pour la nature. 5. PAAP dit : Mardi 9 novembre 2010 à 11:04 A force de mettre des pansements sur l’hémorragie, notre état de santé devient vraiment critique!!! A quand une “vrai” réflexion de fond sur nos modes de vie et ce qu’il va falloir radicalement changé??? Oups! j’ai dit un gros mot: RADICAL…. 6. Roland dit : Mardi 9 novembre 2010 à 18:10 Ouaip, arrêter de croire tout ce qu’on dit contre l’Europe . Depuis déjà 2 ans , Borloo a demandé une pause dans les bio-carburants en faisant remarquer ses travers ;et a fait remarqué que cet objectif de 10% parlait d’énergie renouvelable , et non uniquement des agrocarburants : L’énergie électrique notamment avec l’éolien, la voiture électrique… Arrêtez de prendre les politiques et leurs conseillers pour des idiots , à lire l’article du figaro http://www.lefigaro.fr/sciences/2008/09/12/01008-20080912ARTFIG0000 2-l-europe-fait-marche-arriere-sur-les-agrocarburants-.php qui date pas mal déjà … 7. Faust dit : Mercredi 10 novembre 2010 à 12:21 Ca n’est effectivement pas très clair… Sur le site de la comission européenne pour l’énergie, j’ai trouvé ceci : “…Under Directive 2003/30/EC (see below) Europe established the goal of reaching a 5.75% share of renewable energy in the transport sector by 2010. Under the new directive on the promotion of renewable energy, this share rises to a minimum 10% in every Member State in 2020. Whether it is electricity or hydrogen from renewable energy sources, or 1st or 2nd generation biofuels…” Donc, si je comprends bien, il faut désormas que les états aient un minimum de 10% de “renouvelables” dans leurs transports en 2020, mais attention, concernant les voitures électriques par exemple, il faut que cette électricité viennent de sources renouvelables… Et là, concrètement, je me demande comment il vont faire pour vérifier cela… Par contre, attention Roland, ce que dit Greenpeace et ce dès la deuxième phrase, c’est “L’union européenne a prévu que les sources renouvelables devront représenter obligatoirement 10% de la consommation totale de carburants des Européens d’ici à 2020… ” Par contre, ce qui est dit ensuite, et je suis en phase avec cela, c’est que dans ces 10% de renouvelables, les agro-carburants vont sans nul doute représenter la plus grosse partie. Or, comme les agro-carburants créent bien plus de problèmes qu’il n’en résoud, la réaction de Greenpeace (et d’autres ONGs d’ailleurs) est totalement justifiée. 8. Jerome dit : Mercredi 10 novembre 2010 à 14:59 Eh oui, bien vu Faust, et clarification pour Roland : L’UE impose bien 10% renouvelables dans les transports, donc en théorie cela ne doit pas nécessairement représenter une majeure partie d’agorcarburants… mais en pratique les pays européens, dont la France, ont soumis leurs plans nationaux en septembre dernier, où les agrocarburants fournissent 90% du mix renouvelable! Alors 10% renouvenables ou 10% agrocarbutants, ça ne fait malheureusement pas beaucoup de différence dans la pratique. 9. montagnard dit : Mercredi 10 novembre 2010 à 19:16 Dommage que ce soit les Verts européens qui ont poussé à adopter ce 10% et qu’ils n’en ont pas vu l’impact. C’est une bonne chose que l’on commence à réagir contre une vision par trop “naturaliste” d’un développement plus écologique. Qu’on arrete de nous faire croire que c’est mieux de rouler au bioéthanol ou de se chauffer avec un poele à bois ! une molécule de carbone brulée, qu’elle soit issue du pétrole ou de la nature fait toujours la même quantité de CO². Les réponses énergétiques “différentes” sont à travailler vers l’électricité (non nucléaire) et l’hydrogène (interdit en France). 10. hermina dit : Mercredi 10 novembre 2010 à 21:44 Souvenez-vous aussi que l’UE finance pour plus de 60 millions d’euros un programme pour produire de l’huile de palme en Asie comme agro-carburant (bonjour le prix du transport en plus !) au détriment de la forêt et de la biodiversité locales naturellement ! 11. bob dit : Mercredi 10 novembre 2010 à 22:45 Je suis bien d’accord sur le fondement : le développement de agro-carburants risque d’avoir des effets collétaraux sur la forêt et sur les changements climatiques, et il faut l’éviter. On voit bien notamment au Brésil combien le développement des plantations de soja grignote peu à peu l’Amazonie, notamment au Mato Grosso. Mais à partir de ce fondement, il ne faut pas en conclure immédiatement que tout bio-carburant est mauvais et à bannir, voire même comme “montagnard” que bruler une bûche dans sa cheminée est aussi néfaste que de se chauffer au fuel. Non, montagnard, ce n’est pas la même chose, car le bois est une ressource renouvelable, la tonne de carbone “bois” que l’on brule est remplacée en forêt par une autre tonne, la forêt française produit de la biomasse chaque année, et nos forêts, dans lesquelles nous prélevons plusieurs dizaines de millions de m3 continuent à voir leur capital biomasse augmenter. Pour ce qui est des agro-carburants, il me semble qu’il faut voir où et comment ils sont produits. Nous avons beaucoup de terres agricoles abandonnées, et y développer des cultures à but énergétiques n’est pas nécessairement toujours une mauvaise idée. Ne pas perdre de vue aussi qu’il faut bien continuer à “produire” suffisamment d’énergie. Si le nucléaire est à bannir, le pétrole aussi, et qu’on n’accepte pas les bio-carburants, il nous reste l’hydraulique, l’éolien, le solaire, la géothermie, et quelques autres solutions qu’il faut promouvoir et soutenir. Mais est-on capable, et si oui dans quelle échéance, de produire suffisamment avec ces sources? A quel prix? Rappelons aussi que produire des panneaux solaires, ça consomme aussi de l’énergie. Aucune solution n’est parfaite, ou suffisante seule. Bien sûr aussi, il faut réduire notre consommation énergétique, mais on ne va pas tous se remettre à n’utiliser que la marche comme moyen de locomotion. Et à l’échelle mondiale, certains pays souhaitent refaire en partie leur retard sur nous, on ne peut les en blamer. Les bataillons de vélos dans les rues de Pékin, c’est désormais une image d’Epinal, la Chine développe son parc automobile. Alors, je résume: oui, je suis d’accord, il faut dire non au développement anarchique des agro-carburants, surtout quand ils sont produits en détruisant des surfaces importantes de forêt. Mais comme je le dis souvent sur ce blog, évitons les visions simplistes de problèmes complexes. 12. BRIE dit : Jeudi 11 novembre 2010 à 1:07 Les pays d’Amérique du Sud qui avaient adopté ce substitut au pétrole, en raison des grandes surfaces de cultures qu’ils pouvaient dégager, ont stoppé cette expérience en voyant que le bilan énergétique était négatid et non positif. Le remède était pire que le mal, alors pourquoi les imiter? Ce serait pur gâchis! Petite Nana 13. Anne Goluch dit : Jeudi 11 novembre 2010 à 7:46 Je crois que : pour que la terre reprenne vie, il faut que les humains se reconcilient avec elle, en lui donnant les bienfaits perdus dans leur âme : ceux de l’amour, du partage et du respect. Et, que les consciences changent à tous les niveaux. L’humain dépend de la terre et la terre dépend de l’humain. Cette dernière réagit consciemment suivant les allégations, que lui propose l’humain. Il en sera conscient dans le prochain siècle et il ne sera qu’à ses balbutiements. L’humain par rapport à la terre pense, qu’il la domine, mais c’est la terre qui l’engloutit, lorsqu’elle ressent, qu’il la blesse. Notre génération prendra le flambeau d’une terre incarcérée, mais la fianlité sera de taille, car les enfants de demain commenceront à comprednre, qu’il faut la panser. La terre est une présence à part entière, qui vous suit et vous comprends, mais elle se rebelle aussi et c’est aussi une ONG. 14. Rose dit : Jeudi 11 novembre 2010 à 9:40 Il n’existe pas de solution parfaite dans les énergies renouvelables : on ne sait pas comment recycler les panneaux solaires, les barrages hydrauliques inondent des terres et déplacent de populations, l’éolien crée une pollution visuelle et sonore et coûte cher en entretien…bref, s’il faut réfléchir à des solutions nous permettant de nous approvisionner en énergie, il faudrait également penser à modifier nos comportements et surtout apprendre à moins consommer… 15. olivier b dit : Jeudi 11 novembre 2010 à 9:41 Détruire les forets,les prés,les patures,les champs pour produire des agro-carburant est une erreur,il y a déja trop de gens a nourrir,il vaut mieux réduire ses transports ou améliorer les transports écologiques. 16. jef de baz dit : Jeudi 11 novembre 2010 à 9:58 Un biocarburant semble complètement négligé : le “gaz pauvre”, (CAD les gazogènes) issu des déchets de bois (copeaux, chutes , chablis etc). Il eut grande vogue dans l’immédiat après guerre, pourquoi ne pas le remettre au goût du jour ? 17. t’es rien dit : Jeudi 11 novembre 2010 à 11:37 LE FRIC, C’EST CHIC, AFRICA!!! en Afrique ce sont 5 millions d’hectares de terre (environs 288 fois Paris) qui vont être vendus à des investisseurs pour produire des Agrocarburants pour l’UE. voir “La Baleine” n°163 octobre 2010. 18. maboulle dit : Jeudi 11 novembre 2010 à 13:06 pourquoi n’arrive t’on pas à croire ce que l’on sait pertinemment? à savoir la fin de notre mode de vie est innéluctable et plutot que de chercher des substituts (agrocarburant, hydrogène, photovoltaique, éolien.barrages hydrauliques…) aux énergies fossiles et à l’uranium . tous ces substituts, notre méthadone, sont énergivores pour les produire les transporter les recycler. Les remédes se révèlent pire que le mal, la dépendance au pétrole à défaut des “10% de resources renouvelables obligatoire dans la consommation totale de carburants des Européens d’ici à 2020… ” DIMINUONT notre consommation de10%, ce sera un début de désacoutumance le sevrage n’en sera que plus facile, enfin un peu moins difficile le développement durable n’existe pas 19. nomade 66 dit : Jeudi 11 novembre 2010 à 14:59 Mon avis perso est que la terre est martyrisée depuis que l homme est sur terre(ou depuis l industrialisation) , et je crois profondément que la terre ne se régénera(peut-etre) que lorsque l homme en aura disparu…définitivement (ce qu il s emploie a faire, droit dans le mur)vivement , vivement ce moment,car l’espèce humaine n est pas suffisament sage pour ouvrir les yeux car son cerveau est pollué par l appat du gain(ceux qui ONT le pouvoir donné par leur fortune ). Nos gouvernants doivent en supporter toute la responsabilité puisque , quand ils veulent édicter des lois, ils les edictent et souvent au mépris des citoyens, donc tout leur est possible?).et s ils ne passent pas de loi par amour de la Terre ou qu ils ne les respectent pas , c est qu ils ne le désirent pas , toujours pour des questions liées au profit. 20. PAUVERT dit : Jeudi 11 novembre 2010 à 17:03 Vous écrivez à juste titre que le CASI menacera « forêts et écosystèmes naturels, (…), biodiversité et ( ) sécurité alimentaire » avec la certitude d’une augmentation des prix des denrées alimentaires importées qui les rendra inaccessibles aux populations pauvres … des pays producteurs (bah, ils se contenteront du riz, OGM de préférence, qu’on les « oblige » de fait à manger (& que nombre de ces pays doivent importer …)) ! Mais en quoi ces agrocarburants augmenteraient-ils l’émission de CO2 ? - Parce qu’étant moins chers ( ???) ils pousseraient à faire des km en plus ? - Parce que les cultures productrices de carburants absorberaient moins de CO2 que forêts, prairies & cultures vivrières ? A démontrer ! Merci de m’apporter des éclaircissements. 21. B3N dit : Jeudi 11 novembre 2010 à 17:08 Directive de l’UE ? ou du NWO ? Mais la vrai question est, que pouvons nous proposer pour la suite ? Cf : “petit traiter de la décroissance sereine” by Serge Latouche. 22. germain dit : Jeudi 11 novembre 2010 à 21:59 Nomade 66, je crois que le temple solaire recrute un nouveau gourou, vous devriez déposer votre candidature, vous avez de grandes chances d’être retenu. 23. bob dit : Vendredi 12 novembre 2010 à 0:38 Pauvert, que les cultures de production d’agrocarburants stockent moins de carbone que les forêts qu’elles remplacent (quand on est dans ce cas de figure de conversion d’usage), c’est vrai dans la très grande majorité des cas (exception possible par exemple; des palmiers sur des forêts très dégradées). Mais j’avoue que je reste aussi dubitatif en lisant que “ils [les agrocarbuants] émettront 81 à 167 % de gaz à effet de serre (GES) supplémentaires par rapport aux carburants fossiles qu’ils remplacent”. J’aimerais bien que l’on me justifie cette affirmation et que l’on me détaille le calcul. 24. bob dit : Vendredi 12 novembre 2010 à 0:50 maboulle, OK avec votre théorie de réduire de 10% notre consommation (ce qui sera plus difficile à reproduire à l’échelle mondiale), mais les 90% restants, on doit les produire comment selon vous? BRIE: il ne me semble pas que le Brésil, géant d’amérique du sud, renonce aux agrocarburants. Même si maintenant ce pays compte développer fortement l’énergie hydraulique en construisant des barrages. Qui eux aussi sont critiqués (et certainement criticables), du point de vue social et environnemental (notammant émissions de carbone et de méthane). Alors, encore une fois, quelle solution est la meilleure, pour ma part je ne le sais pas, j’aimerais bien lire une analyse globale prospective de l’évolution de l’offre et la demande énergétique mondiale, pour mieux comprendre et me faire mon idée. Car dire à longueur de journée que toutes les énergies sont néfastes et qu’il suffit d’en consommer moins, cela ne nous fera pas beaucoup avancer. 25. Lebutatoutprix dit : Vendredi 12 novembre 2010 à 15:44 Il est vraiment difficile d’avoir une idée collective dans ce monde : Démocratie oblige parfois! Mais reconnaissons tout de même que les Agrocarburants representent une des solutions aux changements climatiques. Aussi petite soit telle elle reste tout de même une solution ! Reconnaissons cela. 26. Lebutatoutprix dit : Vendredi 12 novembre 2010 à 15:52 Surtout ne me demander pas a quel prix! Car a toute chose il y a toujours un prix à payer. 27. touchepasamaterre dit : Vendredi 12 novembre 2010 à 17:15 c’est n’importe quoi les agrocarburants !!!!!!!! 28. vieuxscnock dit : Samedi 13 novembre 2010 à 1:12 Le seul qui fasse preuve de bon sens là-dedans est le dénommé BOB. Relisez ses commentaires… Sinon……. tout le monde parle de réduire la consommation……..Je suis tout à fait d’accord: Pour réduire la consommation il y a une méthode simple: Cessons de suivre la mode du natalisme galopant ! Faisons un peu la grève de la procréation. Vous verrez, la courbe des besoins descendra très vite. Et la qualité de l’air n’en sera que meilleure! 29. vieuxscnock dit : Samedi 13 novembre 2010 à 1:19 Dans ces forums, personne n’évoque jamais, ou presque jamais, le problème de la surpopulation de la planète… C’est un sujet TABOU, ou quoi ? C’est pourtant une des principales causes de la dégradation de l’environnement. NOUS SOMMES DES TERMITES !!! Quand la planète sera complètement bouffée…elle s’écroulera comme une charpente vérolée ! Et c’est de ça que notre trop nombreuse descendance crèvera ! 30. Lb93 dit : Samedi 13 novembre 2010 à 12:38 “La bombe humaine, c’est toi, elle t’apartient… La bombe humaine, enfanté du monde elle en sera la fin !…” Agrocarburant = Nécrocarburant… 31. Ar Men dit : Samedi 13 novembre 2010 à 18:38 Mais enfin, que faut-il faire, on n’y comprend plus rien! D’un côté on nous dit qu’il faut arrêter avec l’essence et le diesel, et utiliser justement ces nouveaux carburants et maintenant qu’au contraire ils sont encore pires! On finit par y perdre son latin. 32. vieuxschnock dit : Dimanche 14 novembre 2010 à 10:26 à AR MEN Ben là aussi y en a qui vont te répondre stupidement que t’as qu’à rouler à velo….en cette saison c’est génial…..ou qu’y faut pas prendre ta bagnole même quand tu peux pas faire autrement…par exemple en zone rurale, ou si ton boulot est à l’autre bout de la planète et qu’y a pas de train ni même de bus à moins de 5 km de chez toi…. Y en a qui rêvent, tu sais…ils ont pas encore atterri…. 33. maboulle dit : Dimanche 14 novembre 2010 à 10:34 “y’a trop de monde sur terre…” 20% de la population consomme 80% des énergies consommées sur la terre et ou qu’elles sont ces populations? En OCCIDENT principalement, c’est NOUS nous qui avons un taux de fécondité de moins de 2 enfants ( ça ne remplace mm pas les décès) par femme, nous qui sommes responsables de l’état de dégradation de la terre si il y a trop de monde? AAAhh ce vieux mythe du Malthusianisme (avec des relents nauséabonds) qui reprend du poil de la bete. Ce n’est pas en afrique ni en asie, leur consommation et donc leur impact sur la terre est dérisoir non seulement il faut réduire notre conso de 10% mais aller bcp + loin moins de bien plus de liens nous ne reviendrons pas à la bougie ai’j besoin de tout ce fatras qui encombre mes armoires et ma vie? d’une voiture dont je me sert moins de 1% du temps? d’une machine à laver par appartement?…. ouvrons les yeux faire en sorte que les besoins de tous le monde soit satisfait et sur taxer le mésusage,arreter de fabriquer des machines dont l’obsolescence s’accélère fabriquer des machines que l’on peut réparer, supprimer la pub… 34. non a la pollution dit : Dimanche 14 novembre 2010 à 14:27 nous sommes dans un monde oui qui est surpleuples .mes la chasse au etre humain n est pas encore ouverte .alors commencons par palier au plus urgent la planete , notre belle planete a besoin de nous mes comme nous sommes qu une minoriter a ce soucier de toutes cette pollution . mes battons nous comme meme. mon souhait le plus cher c est qu ils arrete de pensee a l economie et qui ouvre les yeux un matin il sera trop tard et la ont va pouvoirs pleurer …. messieurs vous qui etes les hommes de loi qu est ce qui vous interresse a part le fric ouvrer les yeux il y a urgence nous sommes tous dans le meme bateau et je dirai meme que notre belle planete bleu merite que l on si interresse l eau c est la vie et la terre c est notre mere protegons notre mere qui a encore de belle choses a nous montreé 35. bob dit : Mardi 16 novembre 2010 à 19:21 Je connais quelques fractions de pourcent de la population mondiale qui consomme à peu près 0% des énergies consommées sur terre. En effet, ils se déplacent en vélo ou à pied, font la cuisine au charbon ou au bois de feu, s’éclairent à la lampe à huile ou avec des torches de résine, cultivent leurs champs à la houe, les défrichent à la hache, transportent tous les produits à dos d’homme (et aussi et surtout de femmes). Ils ont juste quelques habits usagés dont nous n’avons plus voulu et un peu de vaisselle en plastique dont la production et le transport ont dû consommé un peu d’énergie, peut-être aussi quelques produits alimentaires, surtout du sel. Au moment où je vous vois en train d’imaginer un monde idéal, faut-il souhaiter à ces gens qu’ils continuent à vivre ainsi? Ne faut-il pas souhaiter qu’ils en consomment un peu plus, eux, de l’énergie? A quelle valeur alors s’établira la consommation énergétique mondiale? A quelle valeur s’établira-t-elle quand ces gens seront deux fois plus nombreux qu’ajourd’hui, dans 25 ou 30 ans? Par rapport à la consommation actuelle? Sera-ce 10% de moins, 50%? Et cette énergie, d’où va-t-on la puiser si vous me dites que toutes les sources d’énergie ou presque sont à rejeter? Si on opte pour du 100% renouvelable et acceptable par Greenpeace, est-ce faisable techniquement, économiquement? A l’issue de cette réflexion approfondie, vous me direz s’il faut totalement exclure et diaboliser les bio et agrocarburants, et se borner à des raccourcis tellement faciles du style “agrocarburants = nécrocarburants”, ou encore “c’est n’importe quoi les agrocarburants “…. 36. G dit : Mercredi 17 novembre 2010 à 9:19 « c’est n’importe quoi bob » ou « bob = Vive l’industrie » devrait suffire comme raccourci ! 37. geva dit : Jeudi 18 novembre 2010 à 13:49 Notre société nous aide pas a voir des choses de plusieurs angles, et cela est necessaire pour changer les choses dans le positif. Il n’y a pas du simple noir et blanc, et c’est à nous de développer nos opinions et perspectives. @G : c’est dommage de prend le position de “eu contre nous” sans même prendre les points positifs du message de Bob. C’est bien le cas qu’on à pas un solution magique pour produire d’énergie sans impacte sur l’environment. La solaire photovoltaïque par exemple, consomme plus d’énergie pour produire les panneaux que il va probablement produire dans leur vie. Je ne veut certainement pas dire que je suis pour cette idée de utiliser les agrocarburants comme manière bête de atteindre les objectifs de demain. Par contre si vous êtes si contre l’idée des agrocarburants, pour quoi vous êtes pas en train de pousser pour que tout le monde devient végétarien? L’agriculture pour l’élevage du bétail est une problème non durable que on accept sans question par-ce que on est habituer à manger la viande… similaire de cette idée d’être habituer au pétrole! Juste une petit rappel pour tout le monde qui répond à ce message de Greenpeace avec “halte au agrocarburants”. Ne perdez pas le point du sujet, qui n’est pas de dire que cette solution est le diable. Si c’est fait dans une manière durable et responsable, les agrocarburants peuvent bien participer a fournir nos besoins d’énergies. Le point de l’article est que ça ne devra pas être fait dans une manière non durable, court terme, et grand échelle qui est ques-ce qui êtes en train d’être proposer. 38. Lebutatoutprix dit : Lundi 22 novembre 2010 à 10:11 Il serait plus importation de reconnaitre que les Agrocarburants sont tout de même une source de solution au problème climatique! si rien comme solution n’avait été posé vous vous seriez plein! maintenant que quelque chose est proposé vous vous pleiniez toujours, retenez qu’il y a toujours un prix à payer pour toute chose. En fin que voulez vous? 39. bob dit : Mardi 23 novembre 2010 à 13:33 G, je constate que votre argumentaire est tout aussi raccourci que votre pseudo! Pas très convaincant donc. 40. bob dit : Jeudi 25 novembre 2010 à 10:03 G, il n’est pas question de dire “Vive l’industrie” ou “A mort l’industrie”; L’industrie existe et existera, il faut la réguler. Les commentaires sont automatiquement fermés au bout de 60 jours. * Nos actualités + Énergie - Climat + OGM + Océans + Forêts + Accueil + Faire un don + Recevoir notre newsletter * À voir + La campagne Forêts * Archives + o CAPTION: janvier 2012 L Ma Me J V S D « déc 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 * Découvrir + Qui sommes-nous + Transparence financière + Nos actualités + Recevoir la newsletter + Recrutement + Agenda * S'informer + Dérèglement climatique + Nucléaire + Organisme génétiquement modifié + Déforestation + Océans * Se mobiliser + Faire un don + Agir en ligne + Nous rejoindre + Bénévolat + Legs, assurance-vie * Sur le web + Facebook + Twitter + Dailymotion + Flickr * + Greenpeace dans le monde © GREENPEACE 2011 * Mentions légales * Copyright * Accueil * Nous contacter * Presse #Toutes les actualités de Greenpeace France Greenpeace Greenpeace France [Sélectionner un site________________] Go * Nous contacter • * Newsletter • * Accès presse _______________________________ Submit * Accueil * Toutes les actualités * Par campagne : * Climat et Énergies * Nucléaire * OGM * Océans * Forêts Forêts | le 9 avril 2010 L’Ademe confirme que les agrocarburants sont une aberration pour le climat L’Ademe publiait hier une étude analysant le cycle de vie des agrocarburants de première génération. Les industriels de la filière (éthanoliers, agrodiesel) ont réagi de manière triomphaliste, en ne gardant que ce qui les arrange… Une étude non exhaustive… Contrairement à l’engagement pris lors du Grenelle de l’environnement de réaliser une étude « exhaustive et contradictoire », le document publié aujourd’hui par l’Ademe n’est pas complet. Il ne prend pas en compte l’élément essentiel de l’impact social, environnemental et climatique de la culture des matières premières agricoles nécessaires : le changement d’affectation du sol. Quand une forêt tropicale est détruite pour planter de l’huile de palme, du soja, quel est l’impact sur la biodiversité, pour les populations locales et au final, pour le climat ? Quand on décide de passer d’une culture céréalière vivrière ou du moins à destination alimentaire à une culture énergétique, quelles conséquences pour la sécurité alimentaire ? Ces lacunes fondamentales ont été reconnues par l’Ademe qui appelle d’ailleurs à… de nouvelles études complémentaires. … qui prouve tout de même l’aberration que sont les agro carburants pour le climat ! L’étude donne cependant des indications partielles sur l’impact de ce changement d’affectation des sols sur le bilan climatique des agro carburants (émissions de gaz à effet de serre comparées aux émissions des carburants fossiles), sur certaines filières comme l’huile de palme et le soja. Pour ces filières, la prise en compte du changement d’affectation des sols (donc le bilan exhaustif du cycle de production) rend la culture énergétique très largement plus émettrice que le carburant classique (fossile) qu’il est censé remplacer! En conclusion, la lecture attentive de l’étude de l’Ademe confirme ce que disent les ONG environnementales et de développement depuis des années : le cycle de production des agro carburants conclut à un bilan gaz à effet de serre très largement négatif, en plus des aberrations environnementales (érosion de la biodiversité), sociales (insécurité alimentaire des populations du sud) et économiques (subventions publiques) bien connues et déjà imputables à cette industrie. Partagez cet article : Facebook IFRAME: http://api.tweetmeme.com/button.js?url=http%3A%2F%2Fforets.greenpeace.f r%2Flademe-confirme-que-les-agrocarburants-sont-une-aberration-pour-le- climat&style=compact Ou envoyez ce lien par e-mail : http://forets.greenpeac 10 avis pour “L’Ademe confirme que les agrocarburants sont une aberration pour le climat” 1. dagsit-bleu dit : Vendredi 9 avril 2010 à 11:18 une bonne chose qu’il y ai un rapport sur les agrocarburants. Il en faudrait aussi sur les biogaz. Tout çà dégage du co2 (comme toute combustion en dégage) et ne sont donc pas une bonne solution. 2. Abraracoutrix dit : Samedi 10 avril 2010 à 17:52 Cette affaire d’agrocarburant n’est que de la poudre aux yeux pour citoyens-gogo. Tout est dans les mains des grands groupes pétro-financiers qui peuvent ainsi faire croire qu’ils se preoccupent de l’environnement (ça c’est pour le peuple) et s’en mettent plein les poches (ça c’est pour le cac 40). Il faut impérativement que les peuples africains ou sud-américains (puisque c’est là que se situent les projets de “culture” des agro-carburants se révoltent, se debarrassent de leurs dirigeants vereux, et prennet en main leur destin. Total, Elf, Esso, BP, Exon etc..etc, oust, dehors… 3. Bernard dit : Samedi 10 avril 2010 à 23:23 Abraracoutrix, prends garde de ne pas incriminer ton voisin! Il doit pouvoir bouffer lui aussi, et ses recul et sensibilisation vis à vis de l’avenir de la planète, sont sans doute moins éclairés que les tiens. Ainsi, en retour, peut-être pourrait-il alors, avec la même véhémence, nous “conseiller” de nous débarrasser aussi de nos dirigeants pas plus propres… Et accessoirement , il pourrait nous demander de regarder prioritairement dans notre assiette, bien garnie de cochonneries. Un petit ménage devant notre porte, et une bonne période d’éducation auprès de nos compatriotes est prioritaire; lorsque nous cesserons d’être les premiers demandeurs sur de tels segments de marchés ( agro-alimentaire, carburant, textiles, bois précieux, … ) les choses commenceront à s’améliorer “naturellement”. J’en profite pour recommander “Solutions locales pour un désordre global” film docu de Coline Sereau, qui évoque entre autres , rapidement , ce sujet des bio-carburants. 4. Dominique dit : Dimanche 11 avril 2010 à 22:48 Soit 1, 2 ou 3 milliards d’habitants, ils ne veulent pas tous visiter Louxor ou les Maldives, ils habitent à quelques km de leur lieu de travail et les mégapoles n’ont pas encore été inventées. Les dirigeants ne prennent pas un avion particulier à 115 000€ pour une réunion sur un désastre de la misère à Haïti. Tout va bien. A quoi donc ont servi des nouvelles technologies non maîtrisées ces 50 dernières années ? 5. Quentin le nain 16 ans dans le jardin dit : Jeudi 15 avril 2010 à 21:54 Bernard, le peuple africain ou sud américain ne voit pas l’argent du pétrole (en l’occurrence biocarburant) donc leur conseiller de se révolter est légitime et largement plus que nous même si on devrait peut être leur montrer l’exemple. 6. Jon dit : Vendredi 16 avril 2010 à 20:43 Ne pas oublier que développer une filière d’agrocarburant permet à un pays de diminuer sa dépendance au pétrole. Primordial dans un contexte géopolitique instable et de rarification de la ressource. 7. Quentin le nain 16 ans dans le jardin dit : Vendredi 16 avril 2010 à 21:34 Ben non Jon car c’est les mêmes groupes pétrolier derrière” 8. Faust dit : Samedi 17 avril 2010 à 8:53 Exact. Quentin a raison. Et en plus, se pose le problème de gagner des terres pour les agro-carburants sur la forêt (donc déforestation et émissions massives de gaz à effet de serre) ou de les gagner sur les terres agricoles produisant des denrées alimentaires, fragilisant encore la situation des populations les plus pauvres et qui souffrent de mal-nutrition, voire de famine. Bref, c’est tout sauf une bonne idée, ces nécro-carburants… 9. Badaboom dit : Vendredi 7 mai 2010 à 9:13 Super la mentalité, on détruit l’agriculture médiatiquement, on assèche l’agriculture française, la production de produit alimentaire ne nourrit pas les agriculteurs, travaillez plus pour gagner moins, produire plus pour gagner moins, tout ceci pour améliorer le quotidien du consommateur et de l’industrie agro alimentaire. Les agro carburant ne sont la que pour redonner un espoir à l’agriculture car si personne ne veut payer ses aliments au prix réel de production, l’agriculture arrêtera de produire, quand on tire sur la ficelle, un jour elle pète. Qui a le plus intérêt que les agro carburant ne voient jamais le jour ? les compagnies pétrolières, dire que si l’agriculture produit des agro carburant, il n’y aura plus de céréales pour nourir le peuple, il serait temps de se reveiller, les agro carburant existent depuis les années 80 dans vos réservoirs donc arrêter. Tout ce que je vois et j’en suis bien triste que greenpeace suit à la lettre les recommandations de l’industrie. Produire du bio carburant car à la base c’est son nom, toute production d’énergie consomme de l’énergie, on parle du carburant pour alimenter les tracteurs mais on oublie aussi que les pétroliers eux aussi alimentent bien leur moteur pour produire et pomper le mazout. Et remplacer par quoi, le carburant qui alimente les voitures ? à l’hydrogène ? la aussi il faut produire plus d’énergie pour fabriquer cette pile. La seul solution serait de bannir la voiture mais dans le monde d’aujourd’hui c’est impossible. Faire des voitures électriques demanderaient la construction de plusieurs centaines de nouvelle centrale nucléaire, rien que pour ça. Encore une fois on crash sur les agriculteurs, la minorité, bien désolant tout ça. vous inquietez pas demain, les céréales seront synthètiques , avec tous les aromes, colorant, on mangera tout sauf du naturel . 10. loveinapparel dit : Vendredi 3 décembre 2010 à 12:47 Puma shoes online buy (Retail and Wholesale New Puma Shoes Online.) Top NFL Player Jerseys nfl jerseys wholesale Men’s sunglasses and polarized sunglasses oakley sunglasses. Puma shoes online buy, nfl jerseys wholesale, oakley sunglasses, Gucci Shoes Manufacturer, Juicy Lady Handbag Sale Les commentaires sont automatiquement fermés au bout de 60 jours. * Nos actualités + Énergie - Climat + OGM + Océans + Forêts + Accueil + Faire un don + Recevoir notre newsletter * À voir + La campagne Forêts * Archives + o CAPTION: janvier 2012 L Ma Me J V S D « déc 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 * Découvrir + Qui sommes-nous + Transparence financière + Nos actualités + Recevoir la newsletter + Recrutement + Agenda * S'informer + Dérèglement climatique + Nucléaire + Organisme génétiquement modifié + Déforestation + Océans * Se mobiliser + Faire un don + Agir en ligne + Nous rejoindre + Bénévolat + Legs, assurance-vie * Sur le web + Facebook + Twitter + Dailymotion + Flickr * + Greenpeace dans le monde © GREENPEACE 2011 * Mentions légales * Copyright * Accueil * Nous contacter * Presse #Toutes les actualités de Greenpeace France Greenpeace Greenpeace France [Sélectionner un site________________] Go * Nous contacter • * Newsletter • * Accès presse _______________________________ Submit * Accueil * Toutes les actualités * Par campagne : * Climat et Énergies * Nucléaire * OGM * Océans * Forêts Energie / Climat, Forêts | le 7 juillet 2008 Greenpeace demande aux députés européens de voter contre le développement des agrocarburants Strasbourg, le 7 Juillet 2008 – Greenpeace et les Amis de la terre demandent aux parlementaires européens de se prononcer contre la proposition d’accroître l’utilisation des agrocarburants qui sera débattue ce soir par le Commission environnement. Le développement des agrocarburants menace les hommes, les ressources alimentaires et la biodiversité dans les pays du sud et ne contribue quasiment pas à la lutte contre les changements climatiques. La proposition de rendre obligatoire dans les transports 10% d’énergies renouvelables qui soient pour la plupart issues de la biomasse doit par conséquent être abandonnée. Selon de récentes études : - Les agrocarburants sont le principal moteur de la crise de la faim acutelle. En ayant entraîné une hausse de 75% des prix depuis 2002, ils ont conduit à la pauvreté ou à la faim 100 millions de personnes. - Le développement des cultures de palmiers à huile et de soja est l’une des premières causes de la déforestation en Indonésie, en Malaisie et en Amérique du Sud. « Les agrocarburants sont une mauvaise solution face aux changements climatiques, déclare Frank Thies, chargé de campagne énergies renouvelables pour Greenpeace. La biomasse peut être utilisée de façon durable dans la production de chaleur ou d’énergie, mais pas pour les transports ! Si le Parlement veut vraiment réduire les émissions issues du secteur des transports, il ne doit pas tomber dans le piège des agrocarburants, mais plutôt faire pression pour obtenir des voitures énergétiquement plus efficaces et de meilleurs réseaux de transport en commun. » Partagez cet article : Facebook IFRAME: http://api.tweetmeme.com/button.js?url=http%3A%2F%2Fforets.greenpeace.f r%2Fgreenpeace-demande-aux-deputes-europeens-de-voter-contre-le-develop pement-des-agrocarburants&style=compact Ou envoyez ce lien par e-mail : http://forets.greenpeac 5 avis pour “Greenpeace demande aux députés européens de voter contre le développement des agrocarburants” 1. jean-philippe dit : Lundi 7 juillet 2008 à 23:57 Le but des agrocarburants est de lutter contre la futur penurie de petrole, et rien que ca. Il faut donc esperer que les Scientifique et industriel pourront mettre au point le plus vite possible la 2em genration qui devrait utiliser les residu et non des plantes vivirieres, pour devenir des vrais biocarburant. 2. catherine dit : Mardi 8 juillet 2008 à 11:26 l’humanité à su se developper sans être un polueur en puissance depuis plusieurs siecles, c’est toujours l’appât du gain qui nous tiens, si nous devons nous en remettre aux transports en communs déjà existants c’est un grand oui car cela est tout a fait réalisable, il s’agira ensuite d’une autre question : est-ce que l’homme pourra réapprendre la dépendance de mobilité ? 3. Vincent dit : Mercredi 16 juillet 2008 à 11:10 les transports en communs dans certains endroits sont quand même inexistants… pour aller de Largentière (07) à Remiremont (88) par transports en communs il faut quand même pas être pressé. L’agrocarburant est quand même une belle fumisterie surement voulue par le lobby Total-Shell-Renault-Mercedes… 4. géantvert dit : Samedi 23 août 2008 à 16:35 Seule une vraie politique d’efficacité énergétique, de recherche et développement renforcée (massivement) sur les biocarburants de seconde génération et sur les énergies renouvelables nous permettra de réduire nos émissions de gaz à effet de serre. C’est aussi le seul moyen de tendre vers un système économique moins prédateur et laissant moins de gens sur le carreau : un développement soutenable… Etant donné les besoins en production alimentaire de la planète, et la nécessité de protéger la forêt primaire pour de multiples raisons, les agrocarburants actuels ne constituent pas une réponse mais au contraire, ne font qu’aggraver une situation déjà bien fragile. 5. PENELOPE dit : Mercredi 27 août 2008 à 16:50 A mon humble avis, les biocarburants sont plus destructeurs que les energies fossiles. En effet, l’utilisation des espaces agricoles pour cette culture restreint d’autant l’agriculture alimentaire, d’où une rencherissement des matières premières nécessaires à l’alimentation. Apparamment tous les consortiums industriels y trouvent leur compte et n’ont que faire de la famine induite par leurs pratiques. Il est urgent de rechercher d’autres sources d’énergie pour notre monde en plein essor, et privilégier les énergies renouvelables telles que les éoliennes, le solaire, et l’aquatique. Mais… nos élus le veulent-ils vraiement? Cela les priverait de la manne des taxes substentielles prelevées sur le carburant fossile. Il faudrait les faire errer 40 ans dans le désert pour les faire changer … Les commentaires sont automatiquement fermés au bout de 60 jours. * Nos actualités + Énergie - Climat + OGM + Océans + Forêts + Accueil + Faire un don + Recevoir notre newsletter * Archives + o CAPTION: janvier 2012 L Ma Me J V S D « déc 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 * Découvrir + Qui sommes-nous + Transparence financière + Nos actualités + Recevoir la newsletter + Recrutement + Agenda * S'informer + Dérèglement climatique + Nucléaire + Organisme génétiquement modifié + Déforestation + Océans * Se mobiliser + Faire un don + Agir en ligne + Nous rejoindre + Bénévolat + Legs, assurance-vie * Sur le web + Facebook + Twitter + Dailymotion + Flickr * + Greenpeace dans le monde © GREENPEACE 2011 * Mentions légales * Copyright * Accueil * Nous contacter * Presse #Toutes les actualités de Greenpeace France Greenpeace Greenpeace France [Sélectionner un site________________] Go * Nous contacter • * Newsletter • * Accès presse _______________________________ Submit * Accueil * Toutes les actualités * Par campagne : * Climat et Énergies * Nucléaire * OGM * Océans * Forêts Energie / Climat | le 2 octobre 2010 L’addiction au pétrole fige nos sociétés : Greenpeace dit NON! Ce samedi 2 octobre, à travers toute la France, des militants de Greenpeace se sont réunis lors de “pétrole mob”, s’enduisant d’une mélasse semblable à du pétrole, pour symboliser la dépendance totale de nos sociétés au “tout pétrole” et protester contre les projets d’extraction des pétroles ” non conventionnels” partout dans le monde. photo © Nicolas Chauveau / Greenpeace De Paris à Toulouse en passant par Angers, Nancy, Marseille et une demi-douzaine d’autres villes, les militants se sont rassemblés pour lancer un cri d’alerte sur la répétition des accidents en matière d’industries pétrolières. Sur les grandes places des centres villes, les militants sont figés dans des gestes de la vie quotidienne, un journal, un portable, un balai ou un globe terrestre à la main, montrant comment notre société est aujourd’hui figée par son usage du pétrole, dont nous sommes malheureusement tous dépendants dans notre vie quotidienne. [EMBED] Contre les mensonges sur la marée noire et les projets de forages les plus fous : il y a urgence ! Nous ne connaissons pas encore les conséquences réelles de la catastrophe du golfe du Mexique et des 779 millions de litres de pétroles déversés. Le gouvernement des USA et le groupe BP ont tenté de cacher la réalité, mais le groupe de chercheurs indépendants embarqués depuis dix jours à bord de l’Arctic Sunrise, a indiqué cette semaine avoir identifié sur une surface de 500 km et par 1000 mètres de profondeur des traces de pétrole brut mélangée à du gaz… Arrêter la quête du pétrole à tout prix ! Greenpeace est mobilisée depuis longtemps contre l’exploitation des sables bitumineux en Alberta (Canada) par des groupes comme Total, Shell, Exxon ou BP qui défigurent une région entière, et produisent le pétrole le plus cher et le plus sale de la planète. Les projets de pétroles non conventionnels nous conduisent droit dans le mur, vers un emballement climatique irréversible. Il nous faut dès aujourd’hui repenser notre modèle énergétique et planifier notre sortie du pétrole. Pour cela, il faut d’abord stopper la fuite en avant vers ces “nouveaux pétroles”. En savoir plus sur le dossier et la campagne Pétroles Partagez cet article : Facebook IFRAME: http://api.tweetmeme.com/button.js?url=http%3A%2F%2Fenergie-climat.gree npeace.fr%2Fladdiction-au-petrole-fige-nos-societes-greenpeace-dit-non& style=compact Ou envoyez ce lien par e-mail : http://energie-climat.g 21 avis pour “L’addiction au pétrole fige nos sociétés : Greenpeace dit NON!” 1. xavier le renaissant dit : Dimanche 3 octobre 2010 à 2:40 je n’ai rien à rajouter! tout a été dit 2. ninia dit : Dimanche 3 octobre 2010 à 8:13 Mais qu’est ce qui pourrait remplacer le pétrole ? Il y un autre carburant pour les voitures ? Je suis contre l’utilisation massive du pétrole mais je ne vois pas comment s’en passer … 3. dolecologie dit : Dimanche 3 octobre 2010 à 10:24 Ma chère Ninia, t’es en plein dedans : comment faisait-on avant la voiture ? personne ne se suicidait, chacun avait des solutions à sa mesure. Nous avons (comme toi) perdu le sens de la mesure. 4. November dit : Dimanche 3 octobre 2010 à 15:18 Dolecologie, oui, retournons vite vivre dans les bois ! Il n’empêche que lorsque tu feras un infarctus tu seras content qu’une ambulance te conduise rapidement à l’hôpital. 5. lludov dit : Dimanche 3 octobre 2010 à 16:08 Et paf ! November ramène sa fraise de monsieur le pessimiste ! Et toi tu saurais content d’habiter en bretagne et de te réveiller en te disant tiens je vais aller pécher sur la plage et te dire aprés ah mais non zut il y a une marée noire ! Quand je pense que les stations service dans le sud sont à sec super il y aura moins de pollution ! 6. November dit : Dimanche 3 octobre 2010 à 16:12 Ce n’est pas du pessimisme c’est du réalisme (ce dont vous manquez souvent chez Greenpeace). Je suis de ton avis, il faut réduire notre consommation de pétrole, mais de là à supprimer les voitures … 7. Jonathan Palais dit : Dimanche 3 octobre 2010 à 17:33 Salut November, salut Dolecologie, Ce que Greenpeace dénonce, ce n’est pas la voiture, mais notre inertie. Je suis d’accord avec toi November sur le fait qu’on ne peut pas se passer des voitures du jour au lendemain. Je suis d’accord avec toi Dolecologie sur le fait que notre mode de vie reposant sur la voiture n’est pas le seul possible. Je crois qu’il faut envisager les choses dans la perspective d’une transition… et donc sortir de notre inertie ! Le covoiturage me semble particulièrement intéressant : il permet de continuer d’utiliser la voiture, autour de laquelle tout est organisé, mais en réduit le nombre. Donc : réduction des émissions de GES, de la consommation de pétrole, du bruit, des embouteillages… et de l’individualisme ! 8. Cyril dit : Dimanche 3 octobre 2010 à 17:38 Attention de ne pas être hors sujet, je ne vois pas de message de Greenpeace qui dit de tout arrêter du jour au lendemain. Le sujet est sur les méthodes d’extraction à risque et polluantes comme les sables bitumineux ou en eau profonde en arctique. Il est pour moi question de réaliser notre dépendance, à tous, au pétrole pour ensuite trouver les solutions alternatives et le courage d’en sortir Progressivement, au moins au niveau des énergies. Cela peut prendre quelques années, voir dizaines d’années…le tout est de s’y préparer. 9. PAAP dit : Lundi 4 octobre 2010 à 8:04 Les perspectives sont en effet de “glisser” progressivement vers des énergies et une consommation raisonnée, c est à dire viable à long terme pour l humanité et notre unique et seule planète. Quand l enfant casse son jouet, il peut envisager en avoir un autre………..si nous détruisons notre espace de vie, en trouver un autre sera très compliqué….. 10. BIOman dit : Lundi 4 octobre 2010 à 10:19 Merci à Cyril et PAAP d’avoir ramené le débat sur le sujet qui nous intéresse. Je ne connais personne chez GP qui demande le retour à la bougie, à la caverne, … mais juste de la raison … 11. lulu dit : Lundi 4 octobre 2010 à 16:44 je trouve que ce que les activistes de GREENPEACE ont mise en place est tres sympa voici une actions qui changent du banale…On dirait presque du théâtre!! Les photos sont trés bien prises…mais une questions me tente enormément… QUEST CE QUI VA REMPLACER LE PETROLE QUI EST MAINTENANT PRESENT DANS TOUS NOTRE ENVIRRONEMENT? mais si ils ont une idée a cette question c’est tres bien pour eux. 12. Nadia56 dit : Lundi 4 octobre 2010 à 22:24 Et bien pour les plastiques il y aura les plastiques verts, pour le transport des moteurs électrique alimenter par les énergies renouvelables à la place du pétrole, pour les pesticides et engrais chimiques on s’en passera grâce à l’agriculture biologique. Bref on est très loin d’un retour aux moyen-âge comme disent certains, ce sera aussi une société plus économe en ressource et en énergie, sans doute plus solidaire et moins consommatrice, avec des valeurs plus humaines et moins matérialistes. 13. PAAP dit : Mardi 5 octobre 2010 à 8:15 La question essentielle (pour moi…): a t on vraiment le choix de réorienter nos modes de consommation et de vie? L impact de l activité humaine (exponentielle) engendre des bouleversements dont les effets sont déjà vécus au quotidien par beaucoup d humains sur terre. Ce n est malheureusement pas un mauvais scénario de science fiction…si nous ne réagissons pas, nos enfants prendront leurs responsabilités…les mêmes que nous sommes à priori incapables de prendre( tout au moins à grande échelle). Agissons au quotidien et informons nous sur la réalité, ce n est pas un débat d idée, c est du bon sens! 14. pragmatique dit : Mardi 5 octobre 2010 à 8:17 “Et bien pour les plastiques il y aura les plastiques verts, pour le transport des moteurs électrique alimenter par les énergies renouvelables à la place du pétrole, pour les pesticides et engrais chimiques on s’en passera grâce à l’agriculture biologique. Bref on est très loin d’un retour aux moyen-âge comme disent certains, ce sera aussi une société plus économe en ressource et en énergie, sans doute plus solidaire et moins consommatrice, avec des valeurs plus humaines et moins matérialistes” Beau discour démagogue, sinon vous avez des chiffres ou des ordres de grandeurs réalistes à avancer? 15. vendredi sam dit : Mardi 5 octobre 2010 à 15:12 Parce que vous croyez dur comme fer que le monde va continuer de roucouler comme aujourd’hui et pour des siècles à venir. Quel manque de vision sans aucun doute. Dés à present le monde sature et les sociétés deviennent fragiles, capricieuses et destructices. Le surnombre est toujours le réel problème mais les solutions sont déjà dans les dossiers noirs et interdits. Soyez patient. Je préssent comme un grand boulversement dans les décades à venir et cela au détriment de notre éspèce. C’est evident puisque l’humain dans son ensemble est un idiot bète assoifé de plaisirs immédiats et sans lendemain. Elisez bien Strauss-kan en 2012 de façon à ce que cela ne change rien. LE MONDE AVANCE CAR PERSONNE NE S’Y OPPOSE ! 16. Erben dit : Vendredi 8 octobre 2010 à 9:02 “QUEST CE QUI VA REMPLACER LE PETROLE QUI EST MAINTENANT PRESENT DANS TOUS NOTRE ENVIRRONEMENT?” Ce qui peut les remplacer, c’est l’huile de mollet et le biocarburant ou biogaz. Attention ! SECONDE GENERATION ! ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit ! Il n’est pas question de concurrencer l’agriculture qui nous nourrit ! Je parle des biocombustibles fabriqués à partir de nos déchets, et croyez moi il y en a (Chaque année, entre 118 et 138 millions de tonnes de biodéchets sont produits dans l’UE, dixit http://www.europarl.europa.eu/fr/pressroom/content/20100705IPR77803 ). Si la Commission Européenne se débrouille bien, et si nous la soutenons, le tri sélectif des biodéchets (ceux avec lesquels on fait du compost) pourrait bientôt être rendu obligatoire. Et déjà dans plusieurs villes on voit apparaître des centrales de méthanisation. Et oui, le méthane peut faire tourner nos voitures. Mais pourquoi diable veut-on aller chercher du pétrole si loin, reconsituer le climat du Carbonifère par la même occasion et provoquer des marées noires, alors que nos déchets vont en décharge ??? Des solutions existent. Mais tout nous tombe dans le bec, on oublie le plus important pour se concentrer notre petit confort. Vive le pétrole ! 17. pragmatique dit : Vendredi 8 octobre 2010 à 13:56 Le méthane est, si je me souviens bien, un gaz à effet de serre également. 18. pierrecolo dit : Samedi 9 octobre 2010 à 20:32 très bien dit Erben, Pragmatoche: le méthane: justement ont l’utilise en énergie au lieu que ce gaz ce libère naturellement par décomposition (ont le récupère, mais cela demande de l’huile de coude) et de la volonté de faire bien. Super cette action médiatique, vraiement mes petits dons servent pour une bonne cause. Et pour ceux qui voient NOIRE: Il y a plein d’autre energies pour remplacer le pétrole (sauf transport pour humain pressé et boulimique!!) D’abord le solaire photo. thermique et à concentration (miroir, etcsz) l’ éolien, les micros central sur rivière, les barages, les usines marémotrice (petite sinon bonjours l’envasement) la géothermie en format XXL comme vers Colmar (mais avec une vrai volonté, sans trainer des pieds, je dit cela car il ont mis 10 ans pour aboutir à quelque chose qui marche et j’espère qui fera des petits) mais EDF était derrière ce type de forage, donc …. la méthanisation. ET SURTOUT LA SOBRIETE, LA RECUPE, ET LE PARTAGE; 19. fred79 dit : Mardi 12 octobre 2010 à 15:13 tous sa c est 1 histoire de fric comme toujours ! au BRESIL sa fait 20ans que certains roulent avec des moteurs a eau ! dans les DEUX SEVRES il y a des agriculteurs qui se fabriquent eux meme leurs energies ( melange de colza tournesol ect ) donc leurs tracteurs fonctionnent sans pollués sauf que toutes les grosses tetes ( polititiens , deputés , senateurs ect ) ne veulent pas de sa et leurs interdisent de roulez pour la bonne raison que le petrole est taxé mais aussi vis a vis des pays du moyen orient et que tous le monde que nos polititiens de gauche , de droite , et les centristes on beaucoup d avanges en nature avec ces pays la 20. dolecologie dit : Vendredi 15 octobre 2010 à 14:00 A ceux qui m’ont répondu : il faut lire jusqu’au bout, surtout quand il y a 3 lignes. Le sens de la mesure, ça n’a jamais été retourner vivre dans les bois ! Allez faire un tour sur http://www.dolecologie.com , Vous y trouverez toutes les dernières innovations et solutions alternatives (sauf la voiture électrique qui est une fuite en avant dans la voie de l’individualisme forcené). A remarquer que l’ambulance ne s’inscrit pas dans cette démarche individualiste qu’on nous impose, elle fait partie des exceptions à protéger (+ pompiers, …). Mais ça fait du bien de débattre, bonne journée à tous. 21. Gvtiijtl dit : Samedi 6 novembre 2010 à 20:23 comment5, family guy xxx hentai videos free, http://pulse.yahoo.com/_FE6ERULXNHWOQSQXNDD4UNJFGA/blog/articles/20 2308 family guy xxx hentai videos free, 20058, sreaming gay videos, http://pulse.yahoo.com/_PBBMGSLHDAMLKTI3BKN3NGD45A/blog/articles/20 7781 sreaming gay videos, >:))), Les commentaires sont automatiquement fermés au bout de 60 jours. * Nos actualités + Énergie - Climat + OGM + Océans + Forêts + Accueil + Faire un don + Recevoir notre newsletter * À voir + Des solutions pour le climat + Contre le lobbying climatique + Le nucléaire en France + Il y a un an, Deepwater Horizon... + Rejoignez les Petrol Addict + Le dossier [R]évolution énergétique + La campagne Energie/Climat * Archives + o CAPTION: janvier 2012 L Ma Me J V S D « déc 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 * Découvrir + Qui sommes-nous + Transparence financière + Nos actualités + Recevoir la newsletter + Recrutement + Agenda * S'informer + Dérèglement climatique + Nucléaire + Organisme génétiquement modifié + Déforestation + Océans * Se mobiliser + Faire un don + Agir en ligne + Nous rejoindre + Bénévolat + Legs, assurance-vie * Sur le web + Facebook + Twitter + Dailymotion + Flickr * + Greenpeace dans le monde © GREENPEACE 2011 * Mentions légales * Copyright * Accueil * Nous contacter * Presse #Toutes les actualités de Greenpeace France Greenpeace Greenpeace France [Sélectionner un site________________] Go * Nous contacter • * Newsletter • * Accès presse _______________________________ Submit * Accueil * Toutes les actualités * Par campagne : * Climat et Énergies * Nucléaire * OGM * Océans * Forêts Energie / Climat | le 13 août 2010 Incendies de forêts, canicule, risque nucléaire : Greenpeace Russie mobilisée Ce sont 6 permanents et 14 bénévoles de Greenpeace Russie qui sont déployés sur le terrain pour observer au plus près l’évolution des incendies dévastateurs qui ravagent le pays. L’équipe, postée dans une des zones les plus touchées, à l’Ouest de Moscou, permet à Greenpeace Russie d’obtenir des informations non-censurées et de témoigner de l’ampleur réelle des dégâts et des dangers. Le site internet « Forest Forum » de Greenpeace est aujourd’hui l’un des seuls à diffuser des informations fiables sur la situation. Il est pris d’assaut à la fois par de nombreux citoyens russes et par des journalistes du monde entier, tandis qu’il n’est plus étonnant de voir les médias russes se servir des données de Greenpeace autant que des informations officielles. Le site a d’ailleurs été victime de son succès, au point de saturer le lundi 9 août, sans que l’on soit encore certains de savoir si le crash avait un caractère intentionnel ou non. Il faut dire que les informations de terrain récoltées par Greenpeace contredisent souvent le discours rassurant des autorités russes et posent de très sérieuses questions, à la fois sur les causes des incendies et sur les dangers qui existent toujours. Les flammes s’étendent dans des zones touchées par Tchernobyl : risque radioactif ! Greenpeace avait annoncé ce risque bien avant que les autorités russes ne soient prêtes à l’accepter : le 10 août, l’organisation avait publié une carte des incendies, qui indiquait très clairement la présence de 20 feux sur des territoires contaminés. Dans la seule région de Byansk, particulièrement touchée par l’explosion de 1986, pas moins de trois foyers d’incendie avaient été détectés. Aujourd’hui, les flammes continuent de se rapprocher dangereusement de la centrale de Sarov, à 500 kilomètres à l’est de Moscou, faisant peser une nouvelle menace de catastrophe nucléaire. Ce nouveau danger vient rappeler une fois de plus la vulnérabilité des installations nucléaires aux phénomènes climatiques. La réforme du code forestier en cause dans la propagation des incendies En 2009, Greenpeace avait dénoncé la décision de Vladimir Poutine, alors Président, de réformer le code forestier. Cette décision avait en effet conduit à la suppression du système d’alerte précoce pour les feux de forêts et au licenciement de 70 000 gardes forestiers, dont la tâche de prévention des incendies a été réattribuée à seulement 12 000 agents forestiers. On imagine facilement combien la situation aurait pu être différente si de tels moyens étaient encore en place. Le mépris des risques liés à la protection des forêts a donc permis aux incendies de se propager rapidement, sans rencontrer d’obstacle. Le rôle déterminant des changements climatiques Les autorités russes, comme bon nombre de gouvernements, ont toujours refusé de prendre de véritables mesures contre les changements climatiques. Pourtant, des études ont prouvé que les changements climatiques sont au moins partiellement responsables des températures anormalement hautes et de la sécheresse que la Russie a connu cette année. Si certes des épisodes climatiques extrêmes (canicules, sécheresse, etc.) ont toujours existé, leur multiplication et leur montée en intensité sont certains indicateurs des changements climatiques. Les évènements qui se déroulent aujourd’hui en Russie s’inscrivent donc en droite ligne avec les prévisions des experts si rien n’est fait pour parer aux changements climatiques. Partagez cet article : Facebook IFRAME: http://api.tweetmeme.com/button.js?url=http%3A%2F%2Fenergie-climat.gree npeace.fr%2Fincendies-de-forets-canicule-risque-nucleaire-greenpeace-ru ssie-mobilisee&style=compact Ou envoyez ce lien par e-mail : http://energie-climat.g 13 avis pour “Incendies de forêts, canicule, risque nucléaire : Greenpeace Russie mobilisée” 1. marsupilami dit : Vendredi 13 août 2010 à 16:25 Il est bien de souligner l’irresponsabilité de tous les intervenants dans cette histoire mais je pense que l’heure est à l’action de façon urgente. Je connais l’imagination et le sérieux des internautes. Est-ce que quelqu’un a des solutions pour éteindre cet incendie ? Est-ce qu’il est prévu d’informer localement les humains des risques qu’ils prennent en restant sur place ? Quelles précautions devrons nous prendre si les nuages toxiques viennent jusqu’à nous ? Dors et déjà est-ce que les produits de consommation courante sont sortis des circuits commerciaux ? 2. lludov dit : Vendredi 13 août 2010 à 17:32 La russie paye les erreurs de son gouvernement en matière de gestion forestière mais selon les scientifiques de la crirad , le risque que des poussiéres radioactives soient soulevées et dispersées dans les airs est limité . Enfin pour l’instant car il y’ a d’autres centrales nucléaires qui restent menacées par les flammes . 3. Jojo dit : Vendredi 13 août 2010 à 21:06 Dans quel pays nous dira ton la vérite, ils font tellement erreurs sur erreurs qu’ils ne les voient plus, aveuglés par l’argent et le pouvoir absolu Ils sont prêts a n’importent sauce jusqu’à la pire tuer et la nature endosse tuer la nature égal tuer l’humanité 4. pelican dit : Vendredi 13 août 2010 à 22:05 le seul moyen a ma connaissance aujourd’hui est d’envoyer un maximun de canadair,trackers et helico sur place et mettre un maximum de retardant autour où les flamme ne sont pas encore arrivées de plus des moyens humain leur seraient la bienvenue car ils sont desormait impuissant avec leur seul camions face un de tel flamme et je les comprend etant moi même pompier de plus la russie à oubliée un autre gros détail dans l’histoire car les marais ont étés asséchés pour le biocarburant , bilan de l’opération plus de barriere naturel…. merci encore une fois à l’humain qui agit et reflechi après… 5. citoyendumonde06 dit : Samedi 14 août 2010 à 7:02 Un site de météo en ligne ( météocity.com) annonce que les for^^ets de Tcherno ont déjà brulé !!! on est a plus 800.000 Hectares !!!!! contrairement au 100.000 ou 200.000 annoncés !!! Le plus inquiétant : le feu attaque un autre site nucléaire !!!! Soyons vigilants afin de demander aux pouvoirs publics de faire le nécessaire afin aussi de contrer des intérets soit-disant supérieurs qui nous déconnectent tous , de la réalité de protéger l’environnement . 6. Regor85 dit : Samedi 14 août 2010 à 9:22 Il serait nécessaire de diffuser à la population menacée par les feux de forêts ” la protection se prévoit longtemps avant “. De simples mesures pourraient , peut-être ! , éviter que la tempête de feu , puissante mais rapide ( 15′ max) ne pénètre le bâtiment .Un débroussaillage autour , bien entretenu permet de limiter ses effets et une réserve d’eau en bidons métal est fort utile. Un vieil officier des s-Pompiers , ayant combattu ces feux durant 33 ans dans le Sud de la France. http://sites.google.com/site/protectionmaisonfeuforet 7. msallam jacques dit : Dimanche 15 août 2010 à 14:40 le bilan,non termine de cet été,montre que les risques encourus sont de plus en plus grands pour les populations situés auprès de centrales nucléaires (ou centres nuclèaires) il serait utile que cesse la course à la “commercialisation” des centrales “epr” surtout pour des pays qui subissent ,et il y en a de plus en plus, des excès climatiques ,il faut que cesse aussi le fonctionnement des centrales “trop vieillissantes” ,car de les faire perdurer multiplie le risque de catastrophes.il il faut que tous les gouvernements de la planete se tournent vers des investissements favorisant,et de façon exponentielle, les energies renouvenables avec leur cortege de recherches pour améliorer leurs performances . il est indispensable ,de plus d’avoir dans tous les pays dits méditerranéens,une politique de la foret qui favorisent les “feuillus ” pour reconquerir les sols et mettre fins aux sols acides qui favorisent les incendies. conclusion ,1/arreter progressivement le nucléaire-gerer les déchets sur place. 2/promouvoir les energies photovoltaique,eolienes etcetera en aidant les de façon significative les particuliers et autres entreprises favorables à cette initiative . 3 /propouvoir les feuillus et donc la bonne gerance des sols ,non seulement dans les forets actuelles ,mais reconquerir des espaces dégradés et susceptibles d’engendrer des catastrophes dites naturelles 4 former une nouvelle génération d’emplois ecologiques dans ces domaines. 8. msallam jacques dit : Dimanche 15 août 2010 à 14:52 ameliorer nos forets par reconquete des sols avec “feuillus”–former des “forestirers” se méfier du tout nucleaire pour des pays à risques de plus en plus nombreux (rechauffement climatique) investir dans les energies renouvelableset aider plus ceux qui veulent faire dans ces domaines 9. PAAP dit : Lundi 16 août 2010 à 16:45 Quand je lis que l Iran développe le nucléaire, la Pologne qui a un grand projet de lancement de centrales nucléaires à l horizon 2020….sont ils tous devenus fous!? La France parmi les “petites” nations à proner pour raisons commerciales le “tout nucléaire”, je crois, oui, qu on a perdu la raison la plus élémentaire et le respect des nouveaux arrivants…nos enfants…triste époque! 10. BOB 14 dit : Lundi 16 août 2010 à 20:45 J’ai regardé le journal sur la 2 ce soir, ils disaient qu’en ce moment c’est quelques 250 000 hectares de forêts qui sont en train de brûler. Cela représente déja une sacrée superficie ! En plus les pilotes des bombardiers d’eau avouent que les feux sont incontrolables. Ceci va t-il avoir un nouvel impact climatique ? Ne va t-on pas assiter à un effet boule-de-neige ? 11. Nino dit : Mercredi 18 août 2010 à 21:00 PAAP, la France une “petite” nation ? Je ne crois pas non. 12. PAAP dit : Jeudi 19 août 2010 à 17:23 “petite” par ses choix…quoi que pour le reste “petite” aussi….ce n est malheureusement plus le siècle des lumières…. 13. marsupilami dit : Jeudi 26 août 2010 à 0:31 Eh oui ! Tout est petit en ce moment en France, des politiques aux consciences. Les commentaires sont automatiquement fermés au bout de 60 jours. * Nos actualités + Énergie - Climat + OGM + Océans + Forêts + Accueil + Faire un don + Recevoir notre newsletter * À voir + Des solutions pour le climat + Contre le lobbying climatique + Le nucléaire en France + Il y a un an, Deepwater Horizon... + Rejoignez les Petrol Addict + Le dossier [R]évolution énergétique + La campagne Energie/Climat * Archives + o CAPTION: janvier 2012 L Ma Me J V S D « déc 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 * Découvrir + Qui sommes-nous + Transparence financière + Nos actualités + Recevoir la newsletter + Recrutement + Agenda * S'informer + Dérèglement climatique + Nucléaire + Organisme génétiquement modifié + Déforestation + Océans * Se mobiliser + Faire un don + Agir en ligne + Nous rejoindre + Bénévolat + Legs, assurance-vie * Sur le web + Facebook + Twitter + Dailymotion + Flickr * + Greenpeace dans le monde © GREENPEACE 2011 * Mentions légales * Copyright * Accueil * Nous contacter * Presse #Toutes les actualités de Greenpeace France Greenpeace Greenpeace France [Sélectionner un site________________] Go * Nous contacter • * Newsletter • * Accès presse _______________________________ Submit * Accueil * Toutes les actualités * Par campagne : * Climat et Énergies * Nucléaire * OGM * Océans * Forêts [campagne-foret.jpg] L'article que vous cherchez n'existe pas Nos derniers articles : Le 30 novembre 2011 Brésil : le nouveau code forestier pourrait condamner l’Amazonie Le 7 novembre 2011 Futur volé par l’exploitation forestière en République démocratique du Congo Le 19 octobre 2011 Eye of the Tiger : expédition bloquée par Sinar Mas Le 5 octobre 2011 Déforestation : Mattel retrouve la raison Le 30 septembre 2011 Eye of the Tiger : voyage en Indonésie * Nos actualités + Énergie - Climat + OGM + Océans + Forêts + Accueil + Faire un don + Recevoir notre newsletter * À voir + La campagne Forêts * Archives + o CAPTION: janvier 2012 L Ma Me J V S D « déc 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 * Découvrir + Qui sommes-nous + Transparence financière + Nos actualités + Recevoir la newsletter + Recrutement + Agenda * S'informer + Dérèglement climatique + Nucléaire + Organisme génétiquement modifié + Déforestation + Océans * Se mobiliser + Faire un don + Agir en ligne + Nous rejoindre + Bénévolat + Legs, assurance-vie * Sur le web + Facebook + Twitter + Dailymotion + Flickr * + Greenpeace dans le monde © GREENPEACE 2011 * Mentions légales * Copyright * Accueil * Nous contacter * Presse