Chabal viré, c'est le rugby qu'on assassine
Evidemment, on ne va pas dire le contraire. Pour l'avoir écrit il y a quelques mois déjà, la polémique fit rage. N'empêche. Sébastien Chabal n'est plus le joueur qu'il était il y...
Mots clés : football, ligue 1, paris, Salvatore Sirigu
Rédaction Sport24.com(Sport24.com) Mis à jour | publié Vous venez de retrouver vos coéquipiers après la trêve internationale. Comment gérez-vous cette situation ?
Salvatore Sirigu : C'est vrai que c'est difficile de préparer un match après dix jours d'absence. Physiquement, cela demande beaucoup d'énergie entre les voyages, les entraînements avec la sélection, et les matches. Nous nous devons d'utiliser au mieux les quelques jours que nous avons pour retrouver la sérénité et la concentration nécessaires pour le match à venir.
Justement vous allez affronter Ajaccio dont le gardien n'est autre que Guillermo Ochoa. Il est fantasque et très démonstratif. Que pensez-vous de lui ?
Salvatore Sirigu : Je l'ai vu jouer en équipe nationale. C'est vrai qu'il est très explosif. Il est beau à voir jouer.
Face à Ajaccio, la défense va encore bouger avec l'absence de Diego Lugano. Mais vous récupérez Mamadou Sakho. L'équilibre du PSG est bouleversé régulièrement. Cette situation ne vous pose-t-elle pas problème ?
Salvatore Sirigu : Depuis le début du championnat, nous changeons beaucoup de joueurs en défense. Ce n'était pas si facile que cela. Les joueurs doivent aussi se connaître. Il y a pas mal de nouveaux joueurs, des blessés. Je pense que cela ira beaucoup mieux.
Et votre intégration dans cette équipe, comment s'est-elle déroulée ?
Salvatore Sirigu : Il faut toujours être bien concentré. Je me suis très bien intégré à l'équipe. J'espère que cela restera positif jusqu'à la fin de la saison. C'est un bilan positif pour le moment. L'équipe a bien joué jusque-là. Il faut donner au quotidien. Et les résultats sont bons. Il reste pas mal de choses à faire encore.
Comment gérez-vous la pression de la concurrence de Nicolas Douchez ?
Salvatore Sirigu : C'est normal d'avoir une concurrence à l'intérieur d'une équipe. Je ne suis pas intouchable. C'est le groupe qui donne la force d'avancer.
Quelle différence faites-vous avec le championnat italien ?
Salvatore Sirigu : C'est difficile de comparer les deux championnats. Il y a une évolution continue. Les joueurs bougent beaucoup d'un pays à l'autre. La grosse différence avec l'Italie est un équilibre plus important en tête de la ligue 1. Il n'y a pas d'équipe qui tue le championnat. Cette année, cela change en Italie. La Juventus et Naples peuvent concurrencer les équipes de Milan.
Propos recueillis par François Berland
À la une
Evidemment, on ne va pas dire le contraire. Pour l'avoir écrit il y a quelques mois déjà, la polémique fit rage. N'empêche. Sébastien Chabal n'est plus le joueur qu'il était il y...
Non retenue dans le quatuor bleu qui affronte la Slovaquie ce week-end en Fed Cup à Bratislava, Aravane Rezaï a voulu faire ses valises. Avant de se raviser. Mais elle a laissé...
Deuxième de l'étape de la Volvo Ocean Race qui est arrivée à Sanya en Chine, derrière l'intouchable Telefonica, Groupama fait une belle opération au classement général...
VIDÉO - À mi-parcours du mercato d'hiver, Cyrille Haddouche, du Figaro, et Cédric Callier, de Sport24.com, constatent qu'un marché à deux vitesses s'est instauré en L1, entre le PSG et les autres clubs, aux moyens plus limités...
Par Olivia Derreumaux, Cyrille Haddouche, ...Jerez n'est pas le plus accessibles des circuits, mais il est censé offrir à cette époque de l'année des conditions météorologiques relativement clémentes. Pour la première...