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La Nuit D'octobre Lyrics by Gainsbourg Serge
Je me suis fait faire 3 millions de Jocondes sur
Gainsbourg et son GainsboroughOnt pris le ferry-boatDe leur lit par
Gainsbourg et son GainsboroughOnt pris le ferry-boatDe leur lit par
Adieu crature,Je m'en vais dans la natureEt ne m'en veuille
Adieu créature,Je m'en vais dans la natureEt ne m'en veuille
Marilou se fait des aeroplanes,En repliant des depliants d'agence de
Ah MelodyTu m'en auras fait faire des conneriesHue hue et
Combien j'ai connu, d'inconnues,Toutes de roses dévétues,Combien de ces fleurs
Allons enfant de la patrieLe jour de gloire est arivéContre
Aux enfants de la chanceQui n'ont jamais connu les transesDes
Bad news from the star, bad news from the star,
Baille baille Samantha,Je suis à cran, tu es accroc,Samantha je
Ca c'est l'histoireDe Melody NelsonQu'à part moi-même personneN'a jamais pris
Bana basadi balalo,Dialecte bantouBana basadi balalo,Trois petits zoulous,Bana b
Black tromboneMonotoneLe tromboneC'est joliTourbillonneGramophoneEt baîllonneMon
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Honte à toi qui la première m'a appris la trahison,Et d'horreur et de colère m'a fait perdre la raison,Et d'horreur et de colère m'a fait perdre la raison.Honte à toi femme à l'oeil sombre, dont les funestes amours,Ont enseveli dans l'ombre mon printemps et mes beaux jours,Ont enseveli dans l'ombre mon printemps et mes beaux jours.C'est ta voix, c'est ton sourire, c'est ton regard corrupteur,Qui m'ont appris à maudire jusqu'au semblant du bonheur,Qui m'ont appris à maudire jusqu'au semblant du bonheur.C'est ta jeunesse, c'est tes charmes qui m'ont fait desespérer,Et si je doute des larmes c'est que je t'ai vu pleurer,Et si je doute des larmes c'est que je t'ai vu pleurer.Honte à toi, j'étais encore, aussi simple qu'un enfant,Comme une fleur à l'aurore mon coeur s'ouvrait en t'aimant,Comme une fleur à l'aurore mon coeur s'ouvrait en t'aimant.Certes ce coeur sans défense, pu sans peine être abusé,Mais lui laisser l'innocence etait encore plus aisé,Mais lui laisser l'innocence etait encore plus aisé.Honte à toi, qui fut la mer de mes premieres douleurs,Et tu fis de ma paupiere jaillir la source des pleurs,Et tu fis de ma paupiere jaillir la source des pleurs.Elle coule sois en sûr et rien ne la tarira,Elle sort d'une blessure qui jamais ne guerira,Elle sort d'une blessure qui jamais ne guerira.Mais dans cette source amere, du moins je me laverais,Et j'y laisserai j'espere ton souvenir aborré,Et j'y laisserai j'espere ton souvenir aborré,Et j'y laisserai j'espere ton souvenir aborré.
Honte à toi qui la première m'a appris la trahison,Et d'horreur et de colère m'a fait perdre la raison,Et d'horreur et de colère m'a fait perdre la raison.Honte à toi femme à l'oeil sombre, dont les funestes amours,Ont enseveli dans l'ombre mon printemps et mes beaux jours,Ont enseveli dans l'ombre mon printemps et mes beaux jours.C'est ta voix, c'est ton sourire, c'est ton regard corrupteur,Qui m'ont appris à maudire jusqu'au semblant du bonheur,Qui m'ont appris à maudire jusqu'au semblant du bonheur.C'est ta jeunesse, c'est tes charmes qui m'ont fait desespérer,Et si je doute des larmes c'est que je t'ai vu pleurer,Et si je doute des larmes c'est que je t'ai vu pleurer.Honte à toi, j'étais encore, aussi simple qu'un enfant,Comme une fleur à l'aurore mon coeur s'ouvrait en t'aimant,Comme une fleur à l'aurore mon coeur s'ouvrait en t'aimant.Certes ce coeur sans défense, pu sans peine être abusé,Mais lui laisser l'innocence etait encore plus aisé,Mais lui laisser l'innocence etait encore plus aisé.Honte à toi, qui fut la mer de mes premieres douleurs,Et tu fis de ma paupiere jaillir la source des pleurs,Et tu fis de ma paupiere jaillir la source des pleurs.Elle coule sois en sûr et rien ne la tarira,Elle sort d'une blessure qui jamais ne guerira,Elle sort d'une blessure qui jamais ne guerira.Mais dans cette source amere, du moins je me laverais,Et j'y laisserai j'espere ton souvenir aborré,Et j'y laisserai j'espere ton souvenir aborré,Et j'y laisserai j'espere ton souvenir aborré.
 
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