10- 11: [6]Accueil > [7]Numéros > [8]48-49 > Le corps, le rythme et 12- l'esthétique(...) -- 17- 18:Le corps, le rythme et l'esthétique sociale chez André Leroi-Gourhan 19- -- 28- L'oeuvre d'André Leroi-Gourhan est traversée par une anthropologie du 29: rythme. Celle-ci ne part pas d'une socialité constituée, de rythmes 30- dits « sociaux », mais inscrit au contraire l'analyse de la rythmicité -- 35- corporéité et socialité, entre affect et symbole, qui est ici au coeur 36: d'une approche du rythme comme « insertion dans l'existence ». 37- -- 56- De la corporéité aux rythmes 57: Du rythme comme « insertion affective » : rythme et valeurs 58- Leroi-Gourhan et Lévi-Strauss : -- 77- 78: Le rythme serait-il rétif à toute forme de pensée ? On a pu souligner 79: la polysémie de la notion de rythme, les apories des démarches qui 80- visent à lui assigner une origine, ou encore l'existence d'un 81: « panrythmisme » spontané prompt à déceler du rythme en toutes choses 82- (Sauvanet & Wunenburger 1996). Dans l'anthropologie, l'archéologie et -- 90- 91: Alexandra Bidet, « Le corps, le rythme et l'esthétique sociale chez 92- André Leroi-Gourhan », Techniques & Culture [En ligne], 48-49 | 2007,