Projet Plurital : Résultats de l'extraction Francais - sens3

Ci-dessous les extractions de contexte environnant le mot recherché sur 1 ligne avant, 1 ligne après.


Barack Obama veut pouvoir contrôler les réseaux informatiques


pouvoirs étendus. Si la loi est votée, elle donnera à Barack Obama le pouvoir de désigner des réseaux privés comme des infrastructures et systèmes


nom d'une urgence en matière de cybersécurité ou de sécurité nationale. Le président aurait donc théoriquement le pouvoir de couper Internet.


1/ transformer internet en extranets aux US 2/ se donner le pouvoir de couper ces extranets d'internet (décentralisé par définition) Il manque la partie pour pouvoir les couper : www.spamhaus.org/... «Le pouvoir se lance dans une reprise en main des collectivités locales»


Pour le Parti communiste, «c'est une régression démocratique sans précédent qui est annoncée. C'est la France des décrets et des préfets que veut le président (...). Il affirme vouloir en finir avec "l'empilement des structures" mais agit en fait pour éloigner la pratique du pouvoir des populations. Il dit permettre ainsi un fonctionnement "à moindre coût": c'est une aberration. La part des élus départementaux et régionaux dans le budget des collectivités est de seulement 0,04%!» Jean-Michel Baylet, président du Parti radical de gauche, parle d'«une réforme anachronique et néfaste. Alors que tous nos voisins européens avancent chaque jour vers une organisation institutionnelle plus décentralisée, le pouvoir se lance dans une opération de recentralisation et de reprise en main des collectivités locales (...) Le choix de mener de front la réforme administrative, la réforme fiscale, la réforme des compétences et la réforme électorale est une manière de verrouiller le débat parlementaire.»


[0101598227-le-pouvoir-se-lance-dans-une-reprise-en-main-des-collectivites-locales] [?ord=12345] Citoyens prenez le pouvoir


L'organisation interne n'est pas grand chose en regard des objectifs d'un parti politique. Certaines personnes comme Daniel Douet défendent que le MoDem doit être une arme de prise de pouvoir et que pour ce faire être organisé et structuré comme une entreprise ou une armée, faisant souvent référence au passé : le PS restructuré mis au service de Mitterrand ou le RPR outil d'accession au pouvoir de Chirac.


1. Le jeudi 10 septembre 2009, 13:54 par Serge En 1924 Léon Trotsky était le chef de l'armée rouge, il aurait trés bien pu utiliser celle-ci pour contrer Staline et prendre le pouvoir. Pour faire la même chose ! ! ! le socialisme dans un seul pays (qui plus est arriéré) Si vous pensez qu'il faut utiliser les mêmes méthodes que les autres, alors changez tout de suite de camp, votre leader s'appelle : Sarko ou Ségo. Citoyens, prenez le pouvoir et cessez de vous inventer des peoples, et des liders maximo. Serge UN pouvoir À SUBVERTIR


En effet, une partie de la gauche s'efforce habituellement de mobiliser la population pour accéder au pouvoir, en misant sur l'insatisfaction. La gauche lutte contre le capitalisme, le néolibéralisme, la mondialisation et même, à l'extrême-gauche, contre la social-démocratie. Elle élabore des manifestes et des plans destinés à changer la société. Malheureusement, on croit à tort que changer rime toujours avec améliorer. Lorsque la gauche prend le pouvoir, elle gouverne le plus souvent comme le centre ou la droite; dans le pire des cas, elle provoque un désastre. Pourtant, elle prétend comprendre les problèmes et en détenir la solution. Ces contradictions soulèvent plusieurs questions.


N'est-il pas préférable que la gauche demeure dans l'opposition? À la tête des organisations issues des grands mouvements sociaux : le syndicalisme, le mouvement écologique, le féminisme et les autres mouvements d'émancipation. Dans les lieux où se débattent les enjeux de l'économie, de la politique, de la science : la presse et les autres médias, l'université, etc. Surveiller les décideurs politiques, les critiquer, proposer à l'occasion des solutions de rechange, ces tâches sont-elles trop humbles? Pourquoi la gauche tient-elle obstinément à prendre le pouvoir? D'autre part, où se loge ce pouvoir qui serait à prendre? Dans l'État? Rien de moins évident. L'État national a certes la capacité d'user légitimement de la force en vue d'assurer l'ordre. Pour l'essentiel, il joue le rôle de gestionnaire d'un territoire et d'une population, dans le cadre d'un système économique et militaire d'envergure mondiale sur lequel il a peu de prise. En effet, ce système possède ses propres moyens de contrôle et de régulation des États nationaux et de leurs populations. Néanmoins, les États des pays riches ont la liberté de mettre en œuvre des programmes sociaux et d'offrir à leurs citoyens une assez vaste gamme de services. C'est à la gauche qu'il incombe de s'assurer que l'État exerce effectivement ses fonctions d'assistance, de protection et de redistribution car elles représentent un puissant instrument de justice et de progrès social. À cette fin, la gauche doit-elle s'encombrer de l'appareil d'État? Cet appareil fonctionne selon sa logique propre, il a tôt fait d'y assujettir ceux et celles qui détiennent apparemment le pouvoir.


Faudra-t-il compter de plus en plus sur une autre partie de la gauche : ces gens qui n'aiment pas la politique et n'aspirent pas au pouvoir, mais qui sont prêts à résister à l'invasion de la vie tout entière par la logique du marché et du management? Une logique dont les injonctions sont familières - rentabilité, performance, concurrence - et les effets délétères : la multiplication des inégalités, la délitescence des institutions, l'indifférence au bien commun. À cette partie de la gauche appartiennent des jeunes, des marginaux, des artistes qui veulent d'abord et avant tout hurler leur colère et manifester leur refus. Les initiatives qui heurtent la bonne conscience et mettent un peu de sable dans l'engrenage ne sont pas du temps perdu.


La résistance déborde aussi le cadre de ces organisations. Elle surgit un peu partout, dans les lieux de travail, les milieux scolaires, les Églises, parfois même dans les rangs des entrepreneurs et des managers. Le plus souvent, elle s'exprime par la parole et l'écriture qui permettent de rassembler dans une réflexion commune ceux et celles que le pouvoir s'efforce de diviser. Reste une gauche invisible et ignorée dont les actes subversifs s'inscrivent au cœur du quotidien, dans l'intimité : les hommes et les femmes qui fabriquent au jour le jour un petit peu d'humanité. Ce sont des pauvres; ils donnent de leur personne, donnent souvent même ce qu'ils n'ont pas : de l'attention, de l'amitié et de la fidélité. Ce sont des faibles qui n'ont jamais eu de pouvoir ou y ont renoncé. Pourtant, fabriquer de l'humanité, n'est-ce pas en permanence faire échec à l'ordre imposé? Que l'on croie ou non à la politique. Sur ces pauvres et ces faibles s'appuie l'espoir d'un monde meilleur, ce monde qui nous habite et nous échappe. Référence : Laurin, Nicole, "Un pouvoir à subvertir", Relations, décembre 2001 (673), p. 12-14. nationalisme petit-bourgeois. Il a abandonné tout programme pour la prise du pouvoir par la classe ouvrière, pour l'établissement d'un gouvernement ouvrier et paysan, et, bien entendu pour la création d'un


le FSLN pour "les erreurs graves commises au cours des années pendant lesquelles il a exercé le pouvoir",(7) comme l'oppression des minorités, le contrôle bureaucratique des organisations de masse, le


permanente, ont mené tout droit à la conclusion du 13ème Congrès, bien sandiniste : "La stratégie sandiniste de conquête du pouvoir était la seule voie possible dans un pays comme le Nicaragua". (11)


capitalisme, l'absence de toute démocratie ouvrière, et même l'arrivée au pouvoir du gouvernement Chamorro, le Nicaragua reste un Etat ouvrier. Pourquoi? Parce que les sandinistes contrôlent toujours l'armée, et que donc "le pouvoir révolutionnaire n'a pas été démantelé". (12) La généralisation à partir de l'expérience nicaraguayenne Peu de temps après que le FSLN a pris le pouvoir, le SUQI tenait son 11ème Congrès mondial. Si proche de l'événement, le SUQI a trouvé


Pendant les élection présidentielles de juillet 1989 - marquées comme d'habitude par une fraude massive au profit du parti au pouvoir - Cardenas a été battu par le candidat du PRI. Une minorité du PRT,


Tous ceux qui se sont soulevés contre Bandaranaike quand elle a été au pouvoir ont connu une répression sanglante. La "tactique"consistant à présenter un faux candidat n'était rien d'autre qu'un leurre pour


mener un combat pour qu'ils deviennent des instruments de la lutte pour la prise du pouvoir, les dirigeants du SUQI ont suivi la direction de Solidarnosc, qui, elle, appuyait la création d'une


tâche qui consistait à gagner les comités inter-usines à un programme d'action pour la conquête du pouvoir, et à utiliser le pouvoir pour résoudre la crise économique polonaise à travers la mise en œuvre


document programmatique n'était adopté qu'au CEI de 1987, deux ans après que Gorbatchev avait pris le pouvoir. Et parce qu'il se demandait si le Bonaparte soviétique ne pourrait pas


masses dans le processus de réforme. Ce n'est nullement la prise du pouvoir par les travailleurs. Quand il parle des "formes d'auto-organisation", le SUQI les conçoit comme des


seulement incapable d'avancer un programme d'action pour la révolution politique : il a carrément loué l'arrivée au pouvoir des forces de la contre-révolution sociale!


SUQI, a connu la persécution et la prison staliniennes. Il a été mondialement connu pour son refus de se plier devant le pouvoir bureaucratique, ce qui lui a donné aussi un grand prestige au sein de


autres révolutionnaires à diriger la classe ouvrière et ses alliés vers la prise de pouvoir ... c'est un obstacle pour renouer notre continuité politique avec Marx, Engels, Lénine et les quatre premiers


écrit dans Bilan et Perspectives (1906) : "Sous quelque drapeau politique que le prolétariat ait accédé au pouvoir, il sera obligé de prendre le chemin d'une politique socialiste ... La barrière entre le programme minimum et le programme maximum tombe dès que le prolétariat accède au pouvoir." (71) Pour Trotsky, il fallait que les masses corrigent leur propre parti,


"démocratique"plutôt que de lutter pour la démocratie ouvrière et le pouvoir des travailleurs. Une autre opposition - qui partageait plusieurs positions de la TCQI -


p. 33. Notre traduction 15 Pour notre critique, voir pouvoir Ouvrier 14, printemps 1989, p 32 16 International Internal Discussion Bulletin XVIII 6, septembre 1982,


38 Ibidem 39 Voir pouvoir Ouvrier 3, 1983, "Révolution et contre-révolution en Pologne"


45 "Quand le stalinisme s'écroule", supplément Inprecor, 7.12.89, p. 5 46 pouvoir Ouvrier 17, janvier 1990, pp 8-9 47 Inprecor 11.12.89, p. 7


71 L. Trotsky, 1905 (Paris, 1969), p. 452. 72 Quatrième Internationale 19, décembre 1985, pp 41-106. Voir pouvoir Ouvrier 8, décembre 1985, pour notre analyse