d’instructions pour ne pas voyager inutilement rédigé par Robert Boyle en 1666 et traduit en francais en 1715 ? En tout état de cause, il suit des logiques semblables, observer, questionner, rendre compte. En dépit parfois du barrage linguistique (il regrette de ne pas savoir l’irlandais pour parler sans intermédiaire aux plus humbles), il ordonne, avec le concours de « relais » qui le recommandent auprès de « témoins avertis », ses observations en trois temps: le tableau d’un lieu précis donne le cadre;