Une brève explication des types de concours d'équitation classique.

Aussi: Concours complet. Sauteurs. Chasseur. Équitation.

Calcul du pointage, classes de saut. Endurance. Attelage. Polo. Horseball

Article sur le dopage des chevaux en compétitions équestres.



Dressage:

Les classes de dressage permettent au cavalier de démontrer sa faciliter à exécuter une série de mouvements, de simples à complexes, en obtenant du cheval une réponse souple et efficace à ses demandes, en rendant ces demandes presque invisibles.

Windedge, Juin 1998: Salut au juge«« Chaque reprise commence
et se termine par un salut au juge
.

Un lecteur, placé en B, peut lire les éléments de la reprise.

»»
À la discrétion des concurrents des
épreuves de base, un lecteur peut être
appelé à lire les éléments de la reprise.



Les performances se font en solo, dans une carrière, ou manège. Aux niveaux de base, la carrière mesure 20 X 40 mètres. Aux niveaux plus avancés, elle mesure 20 X 60 mètres. Dans chaque classe, les cavaliers exécutent la même routine. Les points sont comptés suivant la qualité d'exécution de chacun des mouvements et selon la difficulté du mouvement. Les actions des cavaliers doivent être très discrètes, sinon imperceptibles et le cheval doit répondre avec naturel et démontrer la précision de son dressage par son habileté à exécuter le mouvement demandé.

Diagramme du manège de dressage 20 X 60 mètres
Description du manège des épreuves de base

Excusez mon commentaire, mais du point de vue spectacle, c'est une épreuve pour puristes et esthètes. Je comparerais aux anciennes épreuves techniques de patinage artistique où seuls les habitués pouvaient saisir les mouvements exécutés. Avec les chevaux, on peut au moins les trouver beaux et avec un petit peu d'expérience, voir les différences entre les différents participants. Certains mouvements en haut niveau sont spectaculaires. Mais dans les épreuves de base, c'en est souvent ennuyeux à regarder, les cavaliers répétant les uns après les autres des figures plutôt simples. Mais, et je dis bien mais, c'est une des épreuves les plus difficiles à bien exécuter et certainement une des plus satisfaisante pour les cavaliers car l'obtention d'un bon mouvement, même simple, est le résultat d'une harmonie pas très évidente à obtenir. Au niveau Grand Prix, ou olympique, ces épreuves offrent le maximum de communion entre l'Homme et le cheval, dans un spectacle de pure beauté.


Depuis quelques années, il existe en dressage des épreuves de Kür et de Pas de Deux (chorégraphie simultanée de deux cavaliers). En Kür, les cavaliers exécutent une performance accompagnés par une musique de leur choix. Ils doivent obligatoirement exécuter les mouvements prescrits par leur niveau mais dans une chorégraphie de leur choix. Cette épreuve déclassera probablement un jour la compétition classique, juste à cause du spectacle plus varié qu'elle offre. Du moins, pour la télévision, c'est elle qui permettra la popularisation de ce sport.

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Concours complet

Avec le nom de "complet", vous vous doutez sûrement que c'est une épreuve qui n'est pas simple. Elle est triple!

Le concours commence avec une épreuve de dressage, où le travail se fait dans le calme, avec un cheval dont l'impulsion se transmet de façon plus verticale que dans des épreuves d'obstacles.

Je triche un peu, cette photo provient du même concours 
de dressage que mes images de dressage...
Cette photo provient elle aussi du concours hippique de Windedge qui n'offrait que du dressage...


Maureen Popiel 
sur Snow Boots. C.H. auto. 95. Les Pros.

La page couverture du Courrier Hippique, automne 1995.
Photo: Les Pros. Maureen Popiel sur Snow Boots, en plein cross! »»


La deuxième épreuve, le cross-country: Ouf!!! Le couple cavalier-cheval doit franchir un parcours d'obstacles naturels, en terrain naturel (champs, forêt, ruisseaux), dans le temps prévu pour l'épreuve. Si vous assistez à cette épreuve, on dirait tous les cavaliers en course car ils doivent souvent maintenir une vitesse de 400 mètres/minute et plus pour atteindre l'objectif. Ils sont pénalisés pour les refus (éliminés au 3e) et pour les secondes avant ou après le temps prévu.

Pour rendre celà très complexe, le parcours prend souvent près de 5 minutes à parcourir. Essayez de tenir un galop poussé pendant plus d'une minute et vous serez déjà essouflés. Après 5 minutes, le cavalier et le cheval sont au bord de l'épuisement. Le cheval doit d'ailleurs subir un examen vétérinaire avant de passer au stadium.

Typique d'une épreuve de cross, ce saut dans l'eau! La photo est tirée du CD-ROM "LE CHEVAL", de la collection Paroles d'Images »»


La troisième épreuve, le stadium, termine la compétition. C'est une épreuve de saut d'obstacle équivalente à celle que l'on fait dans cette seule épreuve, les sauts étant tout de même moins élevés pour un niveau comparable. Cependant, le cheval a encore en tête sa course de cross au galop ouvert alors que le stadium demande un cheval plus regroupé afin de mieux sauter les obstacles. Les obstacles naturels ne tombent pas alors que les barres du stadium sont parfois fragiles et plus hautes. Le cheval doit faire attention et le fait de le regrouper, de rassembler son énergie pour effectuer une poussée plus en hauteur permet de réduire le nombre de fautes.


Monsieur Georges Fauré et quelques-uns de ses élèves examinant un des sauts du parcours dessiné par Yves Landry à Napierville.

Le concours complet s'appelle en anglais 3-Day Event. Le concours de haut niveau se déroule sur trois jours, à chaque épreuve sa journée. Très souvent on le fait sur deux jours, dressage et stadium la première journée et cross-country la deuxième. La cavalier ayant le moins de points de pénalité remporte l'épreuve.


Une autre difficulté du parcours de Napierville...


D'un point de vue historique, le concours complet est une épreuve militaire. Les militaires formés en manège classique, élèves de dressage, devaient être capables de mener leurs chevaux au combat. Les champs de bataille étant des terrains très inégaux, ils devaient franchir facilement les fossés, les clôtures, les tranchées, les arbres tombés en forêt et autres difficultés du genre plutôt explosif. Lorsqu'on se questionne sur cette discipline, il faut s'en rappeller les origines qui la font se rapprocher des sports extrêmes. Très spectaculaire le cross, mais les spectateurs ne peuvent en voir qu'une partie à cause de l'étendue du parcours. De même pour les caméras de la télévision!


Le concours de saut d'obstacle.

Mon épreuve favorite et celle que l'on voit le plus à la télévision. Elle consiste à franchir un parcours d'obstacles non-fixes, de hauteur et de largeur variables, sans les faire tomber. Dans les classes de Table A, en cas d'égalité on détermine le gagnant par un barrage (jump-off).

Le barrage utilise une partie du parcours initial plus 1 ou 2 obstacles et doit se négocier le plus rapidement possible, toujours sans tomber. En épreuves de barème C, c'est la course au plus rapide et les fautes sont calculées en temps ajouté, soit 5 secondes par obstacle renversé (dans ce cas, un obstacle est un effort sautant). Les classes professionnelles demandent des efforts sautant allant de 4'3" à 6' (entre 1,15m et 1,90m) et de largeur équivalente et parfois plus large, en particulier pour la "rivière", variant de 10 à 14 pieds.

Les obstacles sont des sauts simples (un obstacle à franchir) ou des combinaisons (enchaînement de 2 ou 3 sauts rapprochés de moins de 3 foulées). S'il y a un refus de sauter, le cavalier est pénalisé de 3 points. Au deuxième refus, on ajoute 6 autres points. Le troisième est une élimination de la classe. Si un refus se fait entre deux obstacles d'une combinaison (elles sont toujours numérotées A-B-C), le cavalier doit reprendre la combinaison au complet.

Si un obstacle est renversé, la pénalité est de 4 fautes et s'accumule à chaque obstacle.

Aux niveaux provinciaux, nationaux et internationaux, le parcours est mesuré afin de fixer un temps limite pour le franchir. Le cavalier qui dépasse le temps accordé pour effectuer le parcours est pénalisé de 1/4 de faute par seconde supplémentaire. S'il prend vraiment trop de temps, il peut dépasser le temps maximum et être éliminé. Une chute entraîne également une élimination immédiate. En épreuve de barrage, le cavalier dépassant la limite de temps est pénalisé d' 1 faute par seconde. Pour le classement final, tous les cavaliers ayant participé au barrage seront mieux classés que ceux qui ne l'ont pas fait même s'ils sont éliminés du barrage.




Épreuves Chasseur

Ces épreuves font partie de la division sauteur. Un juge doit déterminer quel cheval a effectué son parcours de la façon la plus naturelle et la plus facile possible. Il juge la régularité de l'approche, la façon de sauter et un petit peu la beauté de l'ensemble. Le parcours est composé d'une dizaine d'obstacles de couleur "naturelle", beaucoup de vert et de brun, supposés représenter des obstacles que le cheval rencontrerait sur un parcours en forêt genre chasse-à-courre. Le gagnant est déterminé selon ce que le juge a décidé de se souvenir de bon et de mauvais des 30 ou 40 chevaux qu'il voit parfois dans une seule et unique classe. Une bonne performance est parfois reléguée hors-position à cause de la notation subjective. Chaque juge a ses normes, malgré tous les efforts des fédérations à standardiser la notation... et voit ce qu'il veut voir. Ces épreuves servent d'initiation à la compétition pour le cavalier et le cheval débutants mais certains en font leur objectif réel de compétition et pour ceux-là, le prix du cheval a beaucoup d'importance car la seule conformation et aptitude naturelle d'un cheval fait gagner plusieurs points.

Équitation

Les épreuves d'équitation sont tout aussi subjectives que celles des chasseurs. Sauf que cette fois, le juge essaie d'évaluer les qualités du cavalier à guider, contrôler et accompagner son cheval. Quelque part, ça ressemble beaucoup aux classes de chasse sauf qu' en théorie la beauté du cheval ne devrait pas influencer. Il doit cependant être présenté de façon impeccable, tout comme le cavalier. Avis aux cavaliers: les gants sont très bien vus et peuvent définitivement faire la différence entre un gagnant et un perdant (selon ce que j'ai appris dans une clinique de juge...). C'est aussi une épreuve d'initiation à la compétition pour les débutants, comme les classes de chasse et là aussi certains cavaliers n'ont que ces classes en vue.



Pointages chez les sauteurs:

-Par seconde au-dessus du temps alloué, table A: 1/4 de points.
-Par seconde au-dessus du temps alloué, barrage table A: 1 point.
-1ère désobéissance (refus): 3 points
-Obstacle renversé: 4 points.
-Faute de pied à la rivière: 4 points.
-Obstacle renversé, classe Table C: 5 points.
-2e désobéissance: 6 points supplémentaires.
-Désobéissance et renversement d'obstacle: 10 secondes rajoutées au temps
et fautes de désobéissance selon 1ère, 2e ou 3e faute.
-3e désobéissance: Élimination.
-Chute du cavalier ou du cheval: Élimination.
-Erreur de parcours: Élimination.

Un obstacle est considéré renversé lorsque l'élément supérieur est tombé. Il faut modifier la hauteur de l'obstacle pour être pénalisé. Sur le refus qui démolit l'obstacle, le chronomètre s'arrête au sifflet du juge et reprend au même sifflet lorsque l'obstacle est remonté. Le cavalier reçoit les points de pénalité prévus, la pénalité de temps et le cumul du temps, assurément rallongé, mesuré par les chronométreurs.



L'ENDURANCE
Je n'ai pas encore découvert cette épreuve en concours mais depuis mon arrivée sur Internet, plusieurs correspondants m'ont fait savoir que ça existait. Et il existe une équipe canadienne d'endurance!

Le petit peu que j'en sais, les concurrents doivent parcourir une longue distance le plus vite possible. Cette distance est souvent de 50 ou 100 km. Des contrôles vétérinaires au long du parcours assurent le bien-être des chevaux. J'espère que leurs selles sont bien rembourrées!


L'ATTELAGE
Assis derrière un ou plusieurs chevaux qu'il faut diriger, la vue n'est pas la même. Le contrôle d'un cheval attelé est vraiment différent. Imaginez maintenant en contrôler 8!

Le marathon d'attelage contient 3 classes, c'est un peu le complet de l'attelage. La première épreuve est "les cônes" qui consiste à évaluer la maniabilité du cheval et son calme à passer entre un parcours de cônes. Les cônes sont semblables à ceux utilisés en construction mais il sont surmontés d'une balle de tennis. Il ne faut pas frôler les cônes surtout quand il n'y a pas grand jeu. La voiture la plus large est mesurée de roues à roues et environs 4 pouces (10 cm) sont ajoutés. C'est ce qui donne la largeur entre les cônes. Ensuite, une épreuve de plaisance. Les allures, le calme, la soumission, l'ensemble driver-cheval-harnachement-voiture sont jugés. Après, c'est le cross-contry du buggy qui commence. Vitesse, endurance, obstacle... C'est dans ça le trip intense... Dérapage du buggy, galop et bien des frousses. Les buggies sont équipés de freins à disques aux 4 roues qui se contrôlent avec deux pédaliers. Ce sont des 4 roues (voiture) mais aussi des 2 roues (cart).

Cette description m'a été envoyée par Karine, de la région de Bromont.

LE POLO
Vous connaissez ce sport de riches. Deux équipes s'affrontent en quatre périodes de jeu. Il faut frapper sur la petite balle pour l'envoyer dans le but adverse.

LE HORSEBALL
Ça c'est pour faire plaisir à un de mes lecteurs européens qui croit que c'est le sport de l'avenir au niveau international... Je n'en avais jamais entendu parler avant cette année et je n'en ai encore jamais vu à la télé. Il y a sûrement un certain spectacle là-dedans. Voici une description de ce sport équestre:

Le Horseball est un sport collectif mixte né en France il y a une vingtaine d'années, mais qui prend sa source dans les steppes de l'Asie Centrale, la baudruche ayant été remplacée par une balle de football junior entourée de sangles. Le jeux consiste à faire un minimum de trois passes et à tirer dans un cerceau.

Très différent de l'équitation classique, par son style et son ambiance, savoureux mélange du rugby et du basket à cheval, il eut un peu de mal à se faire reconnaître.

C'est le côté spectaculaire, voir presque folklorique, qui le rend très attrayant et qui fait qu'il attire un public de plus en plus important. En outre, son aspect innovant entraîne des vocations nouvelles.

Sa reconnaissance récente est due principalement à l'aspect ludique de l'activité qui fait redécouvrir l'équitation sous un nouveau jour en inhibant la peur et certains aspects rébarbatifs de l'apprentissage de la monte à cheval.

De plus en plus de centres équestres ouvrent leurs portes à cette activité qui permet aux cavaliers(es) débutants(es) de s'amuser. Ceux-ci ensuite pour se perfectionner prennent des cours de dressage afin de pouvoir évoluer.

Pas mal!


DOPAGE
Dans la foulée du Tour de France 1998, cet article est paru dans le journal "La Presse" le vendredi 24 juillet 1998. Je crois qu'il reflète effectivement un malaise très présent en compétitions équestres.

Dopage: les chevaux pas mieux lotis que les cyclistes

CHRISTIANE ORY, Associated Press, BERNE

Les chevaux de compétition ne sont pas vraiment mieux lotis que les cyclistes. Certaines formes de dopage sont devenues pratique presque courante dans les concours internationaux en particulier, dénonce un professeur de médecine vétérinaire de l'Université de Berne.

Pour Urs Schatzmann, directeur de la clinique équine de la faculté de médecine vétérinaire de l'Université de Berne, le dopage est devenu un problème dans le sport équestre aussi. Dans les compétitions internationales surtout, certains chevaux reçoivent des médicaments administrés par des spécialistes qui savent exactement ce qu'on peut détecter ou non lors des contrôles.

Peu de tests.
De plus, dans les compétitions internationales, seuls 15 % environ des concurrents sont testés. En concours nationaux ou régionaux, deux ou trois participants sont contrôlés chaque semaine, indique le professeur du «Tierspital» dans un entretien à l'Associated Press.

Selon le Pr Schatzmann, on administre surtout des substances anti-inflammatoires et des analgésiques. La plupart des chevaux de compétition, les sauteurs, les chevaux de military et de concours complet, les chevaux de dressage, ont rapidement des problèmes articulaires, des dommages qui empirent avec les années et I'entraînement très poussé qu'ils subissent depuis leur jeune âge.

«On les drogue afin qu'ils ne sentent plus la douleur et ne diminuent pas leurs performances.» Le danger des analgésiques et des anti-inflammatoires, c'est justement de permettre au cheval qui souffre d'aller au-delà de sa résistance organique et physique, explique un vétérinaire ayant requis I'anonymat. L'animal ne sent plus la douleur, mais la cause du mal n'est pas éliminée.

Déchirure musculaire
La déchirure musculaire ou ligamentaire par exemple s'étend et empire, provoquant souvent des dégâts irrémédiables. C'est le même problème avec les chevaux qui souffrent d'arthrose ou d'arthrite, ou pour les inflammations internes, celle du myocarde par exemple. Avec les anti-inflammatoires, la douleur passe provisoirement, mais les dégâts sont multipliés.

Cette forme de dopage permet de garder un cheval performant a haut niveau de compétition plus longtemps. Étant donné la valeur marchande des chevaux de compétition, la prolongation de la carrière d'un crack est extrêmement rentable. Le prix des saillies d'un étalon champion à la retraite ou celui des poulains issus d'une jument de valeur intemationale, monte vertigineusement.

Un jeune cheval dont 1e père ou la mère ont obtenu de très bons résultats en compétition peut largement dépasser les 400 000 francs français (100 000 $C ). De plus, la valeur de reproduction doit rester intacte. Les reproducteurs doivent être en bonne santé, donc il faut masquer les problèmes articulaires, ajoute le professeur.

D'autres substances sont utilisées afin d'augmenter les performances. Pour les concours internationaux, chaque cheval reçoit des mixtures énergétiques et des cocktails de vitamines. Or, souligne Urs Schatzmann, pour les chevaux en compétition, toute substance autre que celles entrant dans le fourrage courant est interdite.

Saut et dressage
«Si vous mettez du Vicks dans les naseaux de votre cheval enrhumé, vous êtes déjà en infraction», dit-il. I1 n'est cependant pas rare qu'un propriétaire demande à un vétérinaire une célèbre liqueur, très puissant fortifiant à base d'arsenic, que l'on prescrit aux animaux convalescents ou en état de déficience. Sans parler de la caféine ou du chocolat qui contiennent des substances excitantes.

Le dopage est aujourd'hui plus courant dans les disciplines du saut et du dressage que dans les courses de trot ou de galop, désormais sévèrement contrôlées grâce au PMU, ajoute Schatzmann.



Voilà pour le résumé. Si vous avez des questions plus spécifiques, écrivez-moi. Si je n'ai pas les réponses, j'essaierai de vous les trouver.

Écrivez-moi également si vous trouvez que je dis des énormités dans ces descriptions mais rappelez-vous que les opinions sont très personnelles et ne représentent pas toujours celles de la majorité. Elles n'engagent en rien les fédérations sportives dont je suis membre non plus que je représente celles-çi dans les pages de ce site.

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