désespéré, il faisait tous les jours les noces dans la maison (3) de cette rue Na Hrazi, qu'il appelle le Barrage de l'Eternité, dans laquelle s'inscrit son œuvre, d'absolue jeunesse. "Voilà, et nous, on était assis là, sur le Barrage de l'Eternité, on buvait de la bière et on aimait tant l'éternité que de joie on riait aux éclats..."