vibrante, echo cannibal, voix proche, crescendo sec et rapide, et apogée puissante, chant hurlant, l'ambiance n'a jamais été aussi chargé, dense, courant magmatique, des guitares qui reprennent à l'unisson la mélodie du piano, le barrage de guitare fout une claque mémorable. Intro chancelante, un peu à la Rob Zombie, avalanche de guitare, une basse bien grondante, le chant prend le pas sur le reste, voix détachée, claire, transparente, saturé sur le pont, en symbiose -- post-industrielle à cheval entre deux titres, grincements hérétiques, mise au point rythmique, basse piquante, batterie efficace, nette, synthé post-nucléaire, sirène d'alarme, chant haché, violenté, hachuré, refrain terrifiant, barrage de guitares, de puissance, d'un chant encore plus engagé, le groove mis en place au début, revient, lancinant, toujours plus pénétrant, dommages collatéraux, l'emphasie devient prédominante, "Seamless" se donne à fond, se rompt sur un -- l'opression, les accords assailant du refrain sont torturés, violentés, épicés, courbés, les manches des instruments ploient, délivrent l'audition. "Fall" et "Reach and touch" réservent également des surprises, puissance extrême, barrage de guitare, rythme à l'emporte-pièce, passage sournois, chant engagé, au registre diversifié, basse plombé. Alternant les morceaux au groove délicat, subtil, tel que "Seamless", "Effigy 23", "Shutdown" aux morceaux d'une