Aperçu historique :


1130-60:

* ce qui ferme un passage, barrière, porte 

(Couronnement Louis, éd. E. Langlois, 436 dans T.-L. : Si come il vindrent, hurtent par lor otrage A la grant porte, qui n'esteit mie basse : Seignor baron, dist l'apostoiles sages, Ici endreit guarderez cest barnage [lire barrage?]), attest. isolée; 1835, Ac.

1363 

*droit de passage 

**(Ordinat. reg. Franc., t. 4, p. 729 dans DU CANGE : oudit lieu de la chancie ledit Barraige soit cueillis, levés et exploittiés sur les passans); 

1915 

*tir de barrage: « tir destiné à barrer le passage à une troupe » 

(P. BOURGET, Le Sens de la mort, p. 195); 2. 

1669 

*barrière qui ferme une rivière 

1815

(Ord., tit. XXVII, Art. 42 d'apr. BAUDR. Pêches qui résume le contenu de cette ordonnance et précise ,,une décision du ministre des finances du 5 janvier 1815 au Recueil des Règlements forestiers autorise les préfets à ordonner la suppression des barrages établis sur la Loire``); 

 

1842 

(HUGO, Le Rhin, p. 433 : Et là, debout sur ce magnifique barrage naturel qui clôt la Mer Egée, fermant aux Turcs la sortie de l'Archipel).

         En ce qui concerne notre travail, notre choix s’est porté sur trois thèmes «  sens » du  mot « barrage » qui sont les suivant :