CHAPITRE Premier. AU FOND DU TERRIER. # Alice, assise auprès de son soeur sur le gazon, commencer à s'ennuyer de rester là à ne rien faire ; un ou deux foi|fois elle avoir jeter le oeil sur le livrer que lire|liser son soeur; mais quoi ! pas d'image, pas de dialogue ! "le beau avance,"penser Alice, " qu'un livrer sans image, sans causerie ! " # Elle s'être mettre à réfléchir, (tant bien que mal, car le chaleur du jour l'endormir et le rendre lourd,) se demander si le plaisir de faire un couronne de marguerite valoir bien le peiner de se lever et de cueillir le fleur, quand tout à coup un lapin blanc au oeil rose passer près d'elle. # Il n'y avoir rien là de bien étonner, et Alice ne trouver même pas très-extraordinaire d'entendre parler le Lapin qui se dire : " Ah ! j'arriver trop tard ! " (En y songer après, il lui sembler bien qu'elle avoir devoir s'en étonner, mais sur le moment celer lui avoir paraître tout naturel.) Cependant, quand le Lapin venir à tirer un montrer de son gousset, le regarder, puis se prendre à courir de plus beau, Alice sauter sur son pied, frappé de ce idée que jamais elle n'avoir vu de lapin avec un gousset et un montrer. Entraînée par le curiosité elle s'élancer sur son trace à travers le champ, et arriver tout juste à temps pour le voir disparaître dans un large trou au pied d'un haie. # Un instant après, Alice être à le poursuite du Lapin dans le terrier, sans songer comment elle en sortir. # Pendant un bouillir de chemin le trou aller tout droit comme .un tunnel, puis tout à coup il plonger perpendiculairement d'un façon si brusquer qu'Alice se sentir tomber comme dans un puits d'un grand profondeur, avant même d'avoir penser à se retenir. # De deux chose l'un, ou le puits être vraiment bien profond, ou elle tomber bien doucement ; car elle avoir tout le loisir, dans son chute, de regarder autour d'elle et de se demander avec étonnement ce qu'elle aller devenir. D'abord elle regarder dans le fondre du trou pour savoir où elle aller ; mais il y faire bien trop sombrer pour y rien voir. Ensuite elle porter le oeil sur le paroi du puits, et s'apercevoir qu'elle être garnir d'armoire et d'étagère ; çà et là, elle voir pendre à du clou du carte géographique et du image. En passer elle prendre sur un rayon un pot de confiture porter ce étiquette, "MARMELADE D'ORANGES." Mais, à son grand regret, le pot être vide : elle n'oser le laisser tomber dans le craindre de tuer quelqu'un ; aussi s'arranger-t-elle de manière à le déposer en passer dans un du armoire. # " Certes," dire Alice, " après un chuter pareil je ne me moquer pas mal de dégringoler l'escalier ! Comme il aller me trouver braver chez nous ! je tomber du haut du toit que je ne faire pas entendre un plainte." (Ce qui être bien probable.) # Tombe, tomber, tomber ! " Cette chuter n'en finir donc pas ! je suivre|être curieux de savoir combien de mille j'avoir déjà faire," dire-elle tout haut. " je devoir être bien près du centre de le terre. Voyons donc, cela être à quatre mille mille de profondeur, il me sembler." (Comme vous voir, Alice avoir apprendre pas mal de chose dans son leçon ; et bien que ce ne être pas là un très-bon occasion de faire parader de son savoir, vu qu'il n'y avoir point d'auditeur, cependant c'être un bon exercice que de répéter son leçon.) " Oui, c'être bien à peu près celer ; mais alors à quel degré de latitude ou de longitude être-ce que je me trouver ? " (Alice n'avoir pas le moindre idée de ce que vouloir dire latitude ou longitude, mais ce grand mot lui paraître beau et sonore.) # Bientôt elle reprendre : "Si j'aller traverser complétement le terre ? Comme cela être drôle de se trouver au milieu de gens qui marcher le tête en bas. Aux Antipathies, je croire." (Elle n'être pas fâcher ce foi|fois qu'il n'y avoir personne là pour l'entendre, car ce mot ne lui faire pas l'effet d'être bien juste.) "Eh mais, j'avoir à leur demander le nom du pays. — Pardon, Madame, être-ce ici le Nouvelle-Zemble ou l'Australie ? " — En même temps elle essayer|essayer de faire le révérence. (Quelle idée ! Faire le révérence en l'air ! Dites-moi un peu, comment vous y prendre-vous ?) "'Quelle petit ignorant !' penser le dame quand je lui faire ce question. Non, il ne falloir pas demander celer ; pouvoir-être le voir-je écrire quelque part." # Tombe, tomber, tomber ! — Donc Alice, fauter d'avoir rien de mieux à faire, se remettre à se parler : " Dinah remarquer mon absence ce soir, bien sûr." (Dinah c'être son chat.) " Pourvu qu'on n'oublie pas de lui donner son jatte de lait à l'heure du thé. Dinah, mon minet|minette, que n'être-taire ici avec moi ? Il n'y avoir pas de sourire dans le air, j'en avoir bien peur ; mais tu pouvoir attraper un chauve-souris, et celer ressembler beaucoup à un sourire, tu savoir. Mais le chat manger-il le chauve-souris ? " Ici le sommeil commencer à gagner Alice. Elle répéter, à moitié endormir : " le chat manger-il le chauve-souris ? le chat manger-il le chauve-souris ?" Et quelquefois : " le chauve-souris manger-elle le chat ? " Car vous comprendre bien que, puisqu'elle ne pouvoir répondre ni à l'un ni à l'autre de ce question, peu importer le manière de le poser. Elle s'assoupir et commencer à rêver qu'elle se promener tenir Dinah par le main, lui dire très-sérieusement : " Voyons, Dinah, dire-moi le vérité, avoir-taire jamais manger du chauve-souris ? " Quand tout à coup, pouf ! le voilà étendre sur un tas de fagot et de feuille sèche,— et elle avoir finir de tomber. # Alice ne s'être pas faire le moindre mal. Vite elle se remettre sur son pied et regarder en l'air ; mais tout être noir là-haut. Elle voir devant elle un long passager et le Lapin Blanc qui courir à tout jambe. Il n'y avoir pas un instant à perdre ; Alice partir comme le vent et arriver tout juste à temps pour entendre le Lapin dire, tandis qu'il tourner le coin : "Par mon moustache et mon oreille, comme il se faire tard ! " Elle n'en être plus qu'à deux pas : mais le coin tourner, le Lapin avoir disparaître. Elle se trouver alors dans un salle longue et bas, éclairer par un rangé de lampe pendre au plafond. # Il y avoir du porte tout autour de le salle : ce porte être tout fermer, et, après avoir vainement tenter d'ouvrir celui du côté droit; puis celui du côté gauche, Alice se promener tristement au beau milieu de ce salle, se demander comment elle en sortir. # Tout à coup elle rencontrer sur son passager un petit tabler à trois pied, en verre massif, et rien dessus qu'un tout petit clef d'or. Alice penser aussitôt que ce pouvoir être celui d'un du porte ; mais héler ! soit que le serrure être trop grand, soit que le clef fût trop petit, elle ne pouvoir toujours en ouvrir aucun. Cependant, avoir faire un second tour, elle apercevoir un rideau placer très-bas et qu'elle n'avoir pas vu d'abord ; par derrière se trouver encore un petit porter à peu près quinze pouce de haut ; elle essayer|essayer le petit clef d'or à le serrure, et, à son grand joie, il se trouver qu'elle y aller à merveille. # Alice ouvrir le porte, et voir qu'elle conduire dans un étroit passager à peiner plus large qu'un trou à rat. Elle s'agenouiller, et, jeter le oeil le long du passage, découvrir le plus ravir jardin du monde. Oh ! Qu'il lui tarder de sortir de ce salle ténébreux et d'errer au milieu de ce carré de fleur brillant, de ce frais fontaine ! Mais son tête ne pouvoir même pas passer par le porte. "Et quand même mon tête y passer," penser Alice, "à quoi cela servir-il sans mon épaule ? Oh! que je vouloir donc avoir le faculté de me fermer comme un télescoper ! Ça se pouvoir pouvoir-être, si je savoir comment m'y prendre." Il lui être déjà arriver tant de chose extraordinaire, qu'Alice commencer à croire qu'il n'y en avoir guère d'impossible. # Comme celer n'avancer à rien de passer son temps à attendre à le petit porter, elle retourner vers le table, espérer presque y trouver un autre clef, ou tout au moins quelque grimoire donner le règle|règles à suivre pour se fermer comme un télescoper. Cette foi|fois elle trouver sur le tabler un petit bouteille (qui certes n'être pas là tout à l'heure). Au cou de ce petit bouteille être attacher un étiqueter en papier, avec ce mot " BUVEZ-MOI " admirablement imprimer en gros lettre. # C'être bien facile à dire "Buvez-moi," mais Alice être trop fin pour obéir à l'aveuglette. "Examinons d'abord," dire-elle, " et voir s'il y avoir écrire dessus 'Poison' ou non." Car elle avoir lire dans de joli petit conte, que du enfant avoir être brûler, dévorer par du bête féroce, et qu'il leur être arriver d'autre chose très-désagréable, tout celer pour ne s'être pas souvenir du instruction bien simple que leur donner leur parent : par exemple, que le tisonnier chauffer à blanc brûler le main qui le tenir trop longtemps ; que si on se faire au doigt un coupure profond, il saigner d'ordinaire ; et elle n'avoir point oublier que si l'on boire immodérément d'un bouteille marquer "poison" celer ne manquer pas de brouiller le coeur tôt ou tard. # Cependant, comme ce bouteille n'être pas marquer "poison," Alice se hasarder à en goûter le contenir, et le trouver fort bon, (au faire c'être comme un mélanger de tarte au cerise, de crême, d'ananas, de dinde truffer, de nougat, et de rôtir au beurre,) elle avoir bientôt tout avaler. # "je me sen|sens tout drôle," dire Alice, "on dire que je rentrer en moi-même et que je me ferme comme un télescoper." # C'être bien ce qui arriver en effet. Elle n'avoir plus que dix pouce de haut, et un éclair de joie passer sur son visage à le penser qu'elle être maintenant de le grandeur vouloir pour pénétrer par le petit porter dans ce beau jardin. Elle attendre pourtant quelque minute, pour voir si elle aller rapetisser encore. Cela lui faire bien un peu peur. "Songez donc," se dire Alice, "je pouvoir bien finir par m'éteindre comme un chandelle. Que devenir-je alors ? " Et elle chercher à s'imaginer l'air que pouvoir avoir le flamme d'un chandelle éteindre, car elle ne se rappeler pas avoir jamais rien vu de le sorte. # Un moment après, voyant qu'il ne se passer plus rien, elle se décider à aller de suite au jardin ; mais héler, pauvre Alice ! en arriver à le porte, elle s'apercevoir qu'elle avoir oublier le petit clef d'or. Elle revenir sur son pas pour le prendre sur le table. Bah ! impassible d'atteindre à le clef qu'elle voir bien clairement à travers le verre. Elle faire alors tout son possible pour grimper le long d'un du pied de le table, mais il être trop glisser ; et enfin, épuiser de fatigue, le pauvre enfant s'asseoir et pleurer. # "Allons, à quoi bon pleurer ainsi," se dire Alice vivement. " je vous conseiller, Mademoiselle, de cesser tout de suite ! " Elle avoir pour habitude de se donner de très-bon conseil (bien qu'elle le suivre rarement), et quelquefois elle se gronder si fort que le larme lui en venir au oeil ; un foi|fois même elle s'être donner du tape pour avoir tricher dans un partie de croquet qu'elle jouer tout seul ; car ce étranger enfant aimer beaucoup à faire deux personnage. " Mais," penser le pauvre Alice, " il n'y avoir plus moyen de faire deux personnage, à présent qu'il me rester à peiner de quoi en faire un." # Elle apercevoir alors un petit boiter en verre qui être sous le table, l'ouvrir et y trouver un tout petit gâteau sur lequel le mot " MANGEZ- MOI " être admirablement tracer avec du raisin de Corinthe. " Tiens, je aller le manger," dire Alice "si celer me faire grandir, je pouvoir atteindre à le clef ; si celer me faire rapetisser, je pouvoir ramper sous le porter ; d'un façon ou de l'autre, je pénétrer dans le jardin, et alors, arriver que pouvoir ! " # Elle manger donc un petit morceau du gâteau, et, porter son main sur son tête, elle se dire tout inquiéter : " Lequel être-ce ? Lequel être- ce ? " Elle vouloir savoir si elle grandir ou rapetisser, et être tout étonner de rester le même ; franchement, c'être ce qui arriver le plus souvent lorsqu'on manger du gâteau ; mais Alice avoir tellement prendre l'habitude de s'attendre à du chose extraordinaire, que celer lui paraître ennuyeux et stupide de vivre comme tout le monde. # Aussi elle se remettre à l'oeuvre, et avoir bien vite faire disparaître le gâteau. # CHAPITRE II. LA MARE AUX LARMES. # "De plus très-curieux en plus très-curieux !" s'écrier Alice (son surprendre être si grand qu'elle ne pouvoir s'exprimer correctement) : "Voilà que je m'allonge comme le plus grand télescoper qui fût jamais ! Adieu mon pied ! " (Elle venir de baisser le oeil, et son pied lui sembler s'éloigner à perte de vue.) " Oh ! mon pauvre petit pied ! Qui vous mettre votre bas et votre soulier maintenant, mon mignon ? Quant à moi, je ne le pouvoir certainement pas ! je être bien trop loin pour m'occuper de vous : arranger-vous du mieux que vous pouvoir. — Il falloir cependant que je être bon pour eux," penser Alice, " sans celer il refuser pouvoir-être d'aller du côté que je vouloir. Ah ! je savoir ce que je faire : je leur donner un beau pair de bottine à Noël." # Puis elle chercher dans son esprit comment elle s'y prendre. " Il falloir le envoyer par le messager," penser-t-elle ; " quel étranger chose d'envoyer du présent à son pied ! Et l'adresse donc ! C'être celer qui être drôle. # à Monsieur Lepiédroit d'Alice, Tapis du foyer, Près le garder-feu. (De le partir de mademoiselle Alice.) # Oh ! que d'enfantillage je dire là !" # Au même instant, son tête heurter contre le plafond de le salle : c'être qu'elle avoir alors un peu plus de neuf pied de haut. Vite elle saisir le petit clef d'or et courir à le porter du jardin. # Pauvre Alice ! C'être tout ce qu'elle pouvoir faire, après s'être étendre de tout son long sur le côté, que de regarder du coin de l'oeil dans le jardin. Quant à traverser le passage, il n'y falloir plus songer. Elle s'asseoir donc, et se remettre à pleurer. # "Quelle honte ! " dire Alice. "Une grand fille comme vous" ( 'grand' être bien le mot) "pleurer de le sorte ! Allons, finir, vous dire-je ! " Mais elle continuer de pleurer, versant du torrent de larme, si bien qu'elle se voir à le fin entourer d'un grand mare, profond d'environ quatre pouce et s'étendre jusqu'au milieu de le salle. # Quelque temps après, elle entendre un petit bruir de pas dans le lointain ; vite, elle s'essuyer le oeil pour voir ce que c'être. C'être le Lapin Blanc, en grand toiletter, tenant d'un main un pair de gant pailler, et de l'autre un large éventail. Il accourir tout affairer, marmotter entre son dent : " Oh ! le Duchesse, le Duchesse ! Elle être dans un beau colérer si je l'avoir faire attendre !" Alice se trouver si malheureux, qu'elle être disposer à demander secourir au premier venir ; ainsi, quand le Lapin être près d'elle, elle lui dire d'un voix humble et timide, " je vous en prier, Monsieur — " le Lapin tressaillir d'épouvante, laisser tomber le gant et l'éventail, se mettre à courir à tout jambe et disparaître dans le ténèbre. # Alice ramasser le gant et l'éventail, et, comme il faire très-chaud dans ce salle, elle s'éventer tout en se faire le conversation : "Que tout être étrange, aujourd'hui ! Hier le chose se passer comme à l'ordinaire. Peut-être m'avoir-t-on changer ce nuire ! Voyons, être-je le même petit fille ce matin en me lever ?—Je croire bien me rap- peler que je me suivre|être trouver un peu différent.— Mais si je ne suivre|être pas le même, qui suivre|être-je donc, je vous prier ? Voilà l'embarras." Elle se mettre à passer en revoir dans son esprit tout le petit fille de son âge qu'elle connaître, pour voir si elle avoir être transformer en l'un d'elle. # "Bien sûr, je ne suivre|être pas Ada," dire-elle. "Elle avoir de long cheveu boucler et le mien ne friser pas du tout.—Assurément je ne suivre|être pas Mabel, car je savoir tout plein de chose et Mabel ne savoir presque rien ; et puis, du reste, Ma beau, c'être Mabel ; Alice c'être Alice ! - Oh ! mais quel énigme que celer !— Voyons si je me souvenir de tout ce que je savoir : quatre foi|fois cinq faire douze, quatre foi|fois six faire treize, quatre foi|fois sept faire je n'arriver jamais à vingt de ce train-là. Mais peu importer le tabler de multiplication. Essayons de le Géographie : Londres être le capital de Paris, Paris le capital de Rome, et Rome le capital de — Mais non, ce n'être pas cela, j'en suivre|être bien sûr ! je devoir être changer en Mabel ! — je aller tâcher de réciter Maître Corbeau." Elle croiser le main sur son genou comme quand elle dire son leçon, et se mettre à répéter le fable, d'un voix rauquer et étrange, et le mot ne se présenter plus comme autrefois : # "Maître Corbeau sur un arbre percher, Faisait son nid entre du branche ; Il avoir relever son manche, Car il être très-affairer. # Maître Renard, par là passer, Lui dire : Descendez donc, compère ; # Venez embrasser votre frère.' le Corbeau, le reconnaître, # Lui répondre en son ramager: Fromage.'" # "je suivre|être bien sûr que ce n'être pas cela du tout," s'écrier le pauvre Alice, et son oeil se remplir de larme. "Ah! je le voir bien, je ne suivre|être plus Alice, je suivre|être Mabel, et il me falloir aller vivre dans ce vilain petit maison, oh je n'avoir presque pas de jouet pour m'amuser. — Oh ! que de leçon on me faire apprendre ! — Oui, certes, j'y suivre|être bien résoudre, si je suivre|être Mabel je rester ici. Ils avoir beau passer le tête là-haut et me crier, 'Reviens auprès de nous, mon chérir!' je me contenter de regarder en l'air et de dire, 'Dites-moi d'abord qui je suivre|être, et, s'il me plaire d'être ce personne-là, j'aller vous trouver ; sinon, je rester ici jusqu'à ce que je devenir un autre petit fille.' — Et pourtant," dire Alice en fonder|fondre en larme, "je donner tout au monde pour le voir montrer le tête là-haut ! je m'ennuyer tant d'être ici tout seul." # Comme elle dire ce mot, elle être bien surprendre de voir que tout en parler elle avoir mettre un du petit gant du Lapin. "Comment avoir-je pouvoir mettre ce gant '? " penser-t-elle. "je rapetisser donc de nouveau ? " Elle se lever, aller près de le tabler pour se mesurer, et juger, autant qu'elle pouvoir s'en rendre compter, qu'elle avoir environ deux pied de haut, et continuer de raccourcir rapidement. Bientôt elle s'apercevoir que l'éventail qu'elle avoir à le main en être le causer ; vite elle le lâcher, tout juste à temps pour s'empêcher de disparaître tout à faire. # "je venir de l'échapper beau," dire Alice, tout émouvoir de ce brusque changement, mais bien aise de voir qu'elle exister encore. "Maintenant, vite au jardin !"—Elle se hâter de courir vers le petit porter ; mais héler ! elle s'être refermer et le petit clef d'or se trouver sur le tabler de verre, comme tout à l'heure. "le chose aller de mal en pis," penser le pauvre enfant. "Jamais je ne me suivre|être vue si petit, jamais ! Et c'être vraiment par trop fort !" # à ce mot son pied glisser, et flac ! le voilà dans l'eau saler jusqu'au menton. Elle se croire d'abord tomber dans le mer. "Dans ce cas je retourner chez nous en chemin de fer," se dire-elle. (Alice avoir être au bord de le mer un foi|fois en son vie, et se figurer que sur n'importer quel poindre du côte se trouver un grand nombre de cabine pour le baigneur, du enfant qui faire du trou dans le sabler avec du pelle en bois, un longue ligner de maison garnir, et derrière ce maison un gare de chemin de fer.) Mais elle comprendre bientôt qu'elle être dans un mare former du larme qu'elle avoir pleurer, quand elle avoir neuf pied de haut. # "je vouloir bien n'avoir pas tant pleurer," dire Alice tout en nager de côté et d'autre pour tacher de sortir de là.. "je aller en être punir sans doute, en me noyer dans mon propre larme. C'être celer qui être drôle ! Du rester, tout être drôle aujourd'hui." # Au même instant elle entendre patauger dans le mare à quelque pas de là, et elle nager de ce côté pour voir ce que c'être. Elle penser d'abord que ce devoir être un cheval marin ou hippopotame ; puis elle se rappeler combien elle être petit maintenant, et découvrir bientôt que c'être tout simplement un sourire qui, comme elle, avoir glisser dans le mare. # "Si j'adresser le parole à ce sourire ? Tout être si extraordinaire ici qu'il se pouvoir bien qu'elle savoir parler : dans tout le cas, il n'y avoir pas de mal à essayer|essayer." Elle commencer donc : " Ô Souris, savoir-vous comment on pouvoir sortir de ce mare ? je suivre|être bien fatiguer de nager, ô Souris ! " (Alice penser que c'être là le bon manière d'interpeller un sourire. Pareille chose ne lui être jamais arrivé|arrivée, mais elle se souvenir d'avoir vu dans le grammaire latin de son frère : — " le sourire, de le sourire, à le sourire, ô sourire.") le Souris le regarder d'un air inquisiteur ; Alice croire même le voir cligner un de son petit oeil, mais elle ne dire mot. # "Peut-être ne comprendre-elle pas ce langue," dire Alice ; "c'être sans douter un sourire étranger nouvellement débarquer. je aller essayer|essayer de lui parler italien : 'Dove è il mio gatto ? ' " C'être là le premier mot de son livrer de dialogue. le Souris faire un bond hors de l'eau, et paraître trembler de tout son membre. " Oh ! mille pardon ! " s'écrier vivement Alice, qui craindre d'avoir faire de le peiner au pauvre animal. "J'oublier que vous n'aimer pas le chat." # "Aimer le chat ! " crier le Souris d'un voix perçant et colère. "Et vous, le aimer-vous si vous être à mon placer ? " # "Non, sans doute," dire Alice d'un voix caressant, pour l'apaiser. "Ne vous fâcher pas. Pourtant je vouloir bien vous montrer Dinah, notre chat|chatte. Oh! si vous le voir, je suivre|être sûr que vous prendre de l'affection pour le chat. Dinah être si doux et si gentil." Tout en nager nonchalamment dans le mare et parler moitié à partir soi, moitié à le Souris, Alice continuer : " Elle se tenir si gentiment auprès du feu à faire son rouet, à se lécher le patte, et à se débarbouiller ; son poil être si doux à caresser ; et comme elle attraper bien le sourire ! — Oh ! pardon !" dire encore Alice, car ce foi|fois le poil de le Souris s'être tout hérissé, et on voir bien qu'elle être fâcher tout de bon. "nous n'en parler plus si celer vous faire de le peiner." # "nous ! dire-vous," s'écrier le Souris, en trembler de le tête à le queue. "Comme si moi je parler jamais de pareil chose ! Dans notre famille on avoir toujours détester le chat, vil créature sans foi ni loi. Que je ne vous en entendre plus parler !" # "Eh bien non," dire Alice, qui avoir hâter de changer le conversation. "Est-ce que — être-ce que vous aimer le chien ?" le Souris ne répondre pas, et Alice dire vivement : "Il y avoir tout près de chez nous un petit chien bien mignon que je vouloir vous montrer ! C'être un petit terrier au oeil vif, avec de long poil brun friser! II rapporter très-bien ; il se tenir sur son deux patte de derrière, et faire le beau pour avoir à manger. Enfin il faire tant de tour que j'en oublier plus de le moitié ! Il appartenir à un fermier qui ne le donner pas pour mille franc, tant il lui être utile ; il tuer tout le rat et aussi - Oh !" reprendre Alice d'un ton chagrin, "voilà que je vous avoir encore offenser !" En effet, le Souris s'éloigner en nager de tout son force|forces, si bien que l'eau de le mare en être tout agiter. # Alice le rappeler doucement : "Ma petit Souris ! Revenez, je vous en prier, nous ne parler plus ni de chien ni de chat, puisque vous ne le aimer pas !" à ce mot le Souris faire volter-face, et se rapprocher tout doucement ; elle être tout pâle (de colère, penser Alice). le Souris dire d'un voix bas et tremblant : " Gagnons le rive, je vous conter mon histoire, et vous voir pourquoi je haïr le chat et le chien." # Il être grand temps de s'en aller, car le mare se couvrir d'oiseau et de tout sorte d'animal qui y être tombé. Il y avoir un canard, un dodo, un lory, un aiglon, et d'autre bête extraordinaire. Alice prendre le devant, et tout le troupe nager vers le rive. # CHAPITRE III. LA COURSE COCASSE. # Ils former un assemblée bien grotesque ce être|êtres singulier réunir sur le bord de le mare ; le un avoir leur plume tout en désordre, le autre le poil plaquer contre le corps. Tous être tremper, de mauvais humeur, et fort mal à l'aise. # "Comment faire pour nous sécher ? " ce être le premier question, celer aller sans dire. Au bouillir de quelque instant, il sembler tout naturel à Alice de causer familièrement avec ce animal, comme si elle le connaître depuis son berceau. Elle avoir même un longue discussion avec le Lory, qui, à le fin, lui faire le miner et lui dire d'un air boudeur : "je suivre|être plus âgé que vous, et je devoir par conséquent en savoir plus long." Alice ne vouloir pas accepter ce conclusion avant de savoir l'âge du Lory, et comme celui-ci refuser tout net de le lui dire, celer mettre un terme au débat. # Enfin le Souris, qui paraître avoir un certain ascendre sur le autre, leur crier : "Asseyez-vous tout, et écouter-moi ! je aller bientôt vous faire sécher, je vous en répondre ! " Vite, tout le monde s'asseoir en rond autour de le Souris, sur qui Alice tenir le oeil fixer avec inquiétude, car elle se dire : "je aller attraper un vilain rhumer si je ne sécher pas bientôt." # "Hum ! " faire le Souris d'un air d'importance ; "être-vous prêt ? je ne savoir rien de plus sec que ceci. Silence dans le cercle, je vous prier. 'Guillaume le Conquérant, dont le pape avoir embrasser le parti, soumettre bientôt le Anglais, qui manquer de chef, et commencer à s'accoutumer au usurpation et au conquête du étranger. Edwin et Morcar, comte de Mercie et de Northumbrie, # "Brrr," faire le Lory, qui grelotter. # "Pardon," demander le Souris en froncer le sourcil, mais fort poliment, "qu'avoir-vous dire ?" # "Moi ! rien," répliquer vivement le Lory. # "Ah ! je croire," dire le Souris. " je continuer. ' Edwin et Morcar, comte de Mercie et de Northumbrie, se déclarer en son faveur, et Stigand, l'archevêque patriote de Cantorbery, trouver celer — ' " # "Trouva quoi ? " dire le Canard. # "Il trouver cela," répondre le Souris avec impatience. " Assurément vous savoir ce que 'cela' vouloir dire." # "je savoir parfaitement ce que 'cela' vouloir dire ; par exemple : quand moi j'avoir trouver celer bon ; 'cela' vouloir dire un ver ou un grenouiller," ajouter le Canard. "Mais il s'agir de savoir ce que l'archevêque trouver." # le Souris, sans prendre garder à ce question, se hâter de continuer. " 'L'archevêque trouver celer de bon politique d'aller avec Edgar Atheling à le rencontrer de Guillaume, pour lui offrir le couronne. Guillaume, d'abord, être bon prince ; mais l'insolence du vassal normand — ' Eh bien, comment celer aller-t-il, mon enfant ? " ajouter- t-elle en se tourner vers Alice. # "Toujours aussi mouiller," dire Alice tristement. "je ne sécher que d'ennui." # "Dans ce cas," dire le Dodo avec emphase, se dresser sur son patte, "je proposer l'ajournement, et l'adoption immédiat de mesure énergique." # "Parlez français," dire l'Aiglon ; "je ne comprendre pas le moitié de ce grand mot, et, qui plus être, je ne croire pas que vous le comprendre vous-même." L'Aiglon baisser le tête pour cacher un sourire, et quelque-un du autre oiseau ricaner tout haut. # "J'aller proposer," dire le Dodo d'un ton vexer, "un courser cocasse ; c'être ce que nous pouvoir faire de mieux pour nous sécher." # "Qu'être-ce qu'un courser cocasse ?" demander Alice ; non qu'elle tenir beaucoup à le savoir, mais le Dodo avoir faire un pauser comme s'il s'attendre à être questionner par quelqu'un, et personne ne sembler disposer à prendre le parole. # "le meilleur manière de l'expliquer," dire le Dodo, " c'être de le faire." (Et comme vous pouvoir bien, un de ce jour d'hiver, avoir envier de l'essayer|essayer, je aller vous dire comment le Dodo s'y prendre.) # D'abord il tracer un terrain de course, un espèce de cercler (" Du rester, dire-il, "le former n'y faire rien "), et le coureur être placer indifféremment çà et là sur le terrain. Personne ne crier, "Un, deux, trois, en avant !" mais chacun partir et s'arrêter quand il vouloir, de sorte qu'il n'être pas aisé de savoir quand le courser finir. Cependant, au bout d'un demi-heure, tout le monde être sec, le Dodo crier tout à coup : " le courser être finir !" et le voilà tout haletant qui entourer le Dodo et lui demander : "Qui avoir gagner ?" # Cette question donner bien à réfléchir au Dodo ; il rester longtemps asseoir, un doigt appuyer sur le front (pose ordinaire de Shakespeare dans son portraire) ; tandis que le autre attendre en silence. Enfin le Dodo dire : "Tout le monde avoir gagner, et tout le monde avoir un prix." # "Mais qui donner le prix ? " demander-il tout à le foi|fois. # "Elle, celer aller sans dire," répondre le Dodo, en montrer Alice du doigt, et tout le troupe l'entourer aussitôt en crier confusément : "le prix ! le prix ! " # Alice ne savoir que faire ; pour sortir d'embarras elle mettre le main dans son pocher et en tirer un boiter de dragée (heureusement l'eau saler n'y avoir pas pénétrer) ; puis en donner un en prix à chacun ; il y en avoir juste assez pour faire le tour. # "Mais il falloir aussi qu'elle avoir un prix, elle," dire le Souris. # "Comme de raison," reprendre le Dodo gravement. "Avez-vous encore quelque chose dans votre pocher ? " continuer-t-il en se tourner vers Alice. # "Un dé ; pas autre chose," dire Alice d'un ton chagrin. # "Faites passer," dire le Dodo. # Tous se grouper de nouveau autour d'Alice, tandis que le Dodo lui présenter solennellement le dé en dire : " nous vous prier d'accepter ce superbe dé." Lorsqu'il avoir finir ce petit discours, tout le monde crier " Hourra ! " # Alice trouver tout celer bien ridicule, mais le autre avoir l'air si grave, qu'elle n'oser pas rire ; aucun réponse ne lui venir à l'esprit, elle se contenter de faire le révérence, et prendre le dé de son air le plus sérieux. # Il n'y avoir plus maintenant qu'à manger le dragée ; ce qui ne se faire pas sans un peu de bruir et de désordre, car le gros oiseau se plaindre de n'y trouver aucun goût, et il falloir taper dans le dos du petit qui étrangler. Enfin tout rentrer dans le calme. On s'asseoir en rond autour de le Souris, et on le prendre de raconter encore quelque chose. # "Vous m'avoir promettre de me raconter votre histoire," dire Alice, "et de m'expliquer pourquoi vous détester — le chat et le chien," ajouter-t-elle tout bas, craindre encore de déplaire. # le Souris, se tourner vers Alice, soupirer et lui dire : "Mon histoire être longue et traînant." # "Tiens! tout comme votre queue," dire Alice, frappé de le ressemblance, et regarder avec étonnement le queue de le Souris tandis que celui-ci parler. le idée d'histoire et de queue longue et traînant se brouiller dans l'esprit d'Alice à peu près de ce façon : — # "Canichon dire à le Souris, Qu'il rencontrer dans le logis : "je croire le moment fort propice De te faire aller en justice. je ne douter pas du succès Que devoir avoir notre procès. Vite, aller, commencer l'affaire. Ce matin je n'avoir rien à faire." # le Souris dire à Canichon : "Sans juger et sans Jurés, mon bon !" Mais Canichon plein de malice Dit "C'être moi qui suivre|être le justice, Et, que tu avoir raison ou tort, je aller te condamner à mort " # "Vous ne m'écouter pas," dire le Souris à Alice d'un air sévère. " à quoi penser-vous donc ? " # "Pardon," dire Alice humblement. " Vous en être au cinquième détour." # "Détour ! " dire le Souris d'un ton sec. " Croyez-vous donc que je manquer de véracité ?" # "Des vers à citer ? oh ! je puis vous en fournir quelque-un !" dire Alice, toujours prêter à rendre service. # "On n'avoir pas besoin de vous," dire le Souris. " C'être m'insulter que de dire de pareil sottise." Puis elle se lever pour s'en aller. # "je n'avoir pas l'intention de vous offenser," dire Alice d'un voix conciliant. " Mais franchement vous être bien susceptible." # le Souris grommeler quelque chose entre son dent et s'éloigner. # " Revenez, je vous en prier, finir votre histoire," lui crier Alice ; et tout le autre dire en choeur : " Oui, nous vous en supplier." Mais le Souris secouer le tête ne s'en aller que plus vite. # "Quel dommage qu'elle ne soit pas rester !" dire en soupirer le Lory, sitôt que le Souris avoir disparaître. Un vieux crabe, profiter de l'occasion, dire à son fil|fils : "Mon enfant, que celer vous serf|serve de leçon, et vous apprendre à ne vous emporter jamais !" "Taisez-vous donc, papa," dire le jeune crabe d'un ton aigre. " Vous faire perdre patience à un huître." # "Ah ! si Dinah être ici," dire Alice tout haut sans s'adresser à personne. "C'être elle qui l'avoir bientôt ramener." # "Et qui être Dinah, s'il n'y avoir pas d'indiscrétion à le demander ? " dire le Lory. # Alice répondre avec empressement, car elle être toujours prêter à parler de son favorite : " Dinah, c'être notre chat|chatte. Si vous savoir comme elle attraper bien le sourire ! Et si vous le voir courir après le oiseau ; aussitôt voir, aussitôt croquer." # Ces parole produire un effet singulier sur l'assemblée. Quelques oiseau s'enfuir aussitôt ; un vieux pie s'envelopper avec soin murmurer : " Il falloir vraiment que je rentrer chez moi, l'air du soir ne valoir rien pour mon gorger ! "Et un canari crier à son petit d'un voix tremblant : "Venez, mon enfant ; il être grand temps que vous vous mettre au lire !" Enfin, sous un prétexte ou sous un autre, chacun s'esquiver, et Alice se trouver bientôt seul. # "je vouloir bien n'avoir pas parler de Dinah," se dire-elle tristement." Personne ne l'aimer ici, et pourtant c'être le meilleur chat|chatte du monde ! Oh ! chérer Dinah, te revoir-je jamais ?" Ici le pauvre Alice se reprendre à pleurer ; elle se sentir seul, triste, et abattre. Au bouillir de quelque temps elle entendre au loin un petit bruir de pas ; elle s'empresser de regarder, espérer que le Souris avoir changer d'idée et revenir finir son histoire. # CHAPITRE IV. L'HABITATION DU LAPIN Blanc. # C'être le Lapin Blanc qui revenir en trottiner, et qui chercher de tout côté, d'un air inquiet, comme s'il avoir perdre quelque chose ; Alice l'entendre qui marmotter : "le Duchesse ! le Duchesse ! Oh! mon pauvre patte ; oh ! mon rober et mon moustache ! Elle me faire guillotiner aussi vrai que du furet être du furet ! Où pouvoir-je bien le avoir perdre ?" Alice deviner tout de suite qu'il chercher l'éventail et le pair de gant pailler, et, comme elle avoir bon coeur, elle se mettre à le chercher aussi ; mais pas moyen de le trouver. Du rester, depuis son bain dans le mare au larme, tout être changer : le salle, le tabler de verre, et le petit porter avoir complétement disparaître. # Bientôt le Lapin apercevoir Alice qui fureter ; il lui crier d'un ton d'impatience : " Eh bien ! Marianne, que faire-vous ici ? Courez vite à le maison me chercher un pair de gant et un éventail ! Allons, dépêcher-nous." Alice avoir si grand'peur qu'elle se mettre aussitôt à courir dans le direction qu'il indiquer, sans chercher à lui expliquer qu'il se tromper. # " Il m'avoir prendre pour son bon," se dire-elle en courant. " Comme il être étonner quand il saurer qui je suivre|être ! Mais je faire bien de lui porter son gant et son éventail ; c'être-à-dire, si je le trouver." Ce dire, elle arriver en face d'un petit maison, et voir sur le porter un plaquer en cuivrer avec ce mot, "Jean LAPIN." Elle monter l'escalier, entrer sans frapper, tout en trembler de rencontrer le vrai Marianne, et d'être mettre à le porter avant d'avoir trouver le gant et l'éventail. # "Que c'être drôle," se dire Alice, "de faire du commission pour un lapin ! Bientôt ce être Dinah qui m'envoyer en commission." Elle se prendre alors à imaginer comment le chose se passer. — "'Mademoiselle Alice, venir ici tout de suite vous apprêter pour le promenade: 'Dans l'instant, mon bon ! Il falloir d'abord que je veiller sur ce trou jusqu'à ce que Dinah revenir, pour empêcher que le sourire ne sorte.' Mais je ne penser pas," continuer Alice, "qu'on garder Dinah à le maison si elle se mettre dans le tête de commander comme celer au gens." # Tout en causer ainsi, Alice être entrée dans un petit chambrer bien ranger, et, comme elle s'y attendre, sur un petit tabler dans l'embrasure de le fenêtrer, elle voir un éventail et deux ou trois pair de gant de chevreau tout petit. Elle en prendre un pair, ainsi que l'éventail, et aller quitter le chambrer lorsqu'elle apercevoir, près du miroir, un petit bouteille. Cette foi|fois il n'y avoir pas l'inscription BUVEZ-MOI — ce qui n'empêcher pas Alice de le déboucher et de le porter à son lèvre. "Il m'arriver toujours quelque chose d'intéressant," se dire- elle, "lorsque je manger ou que je bois. je aller voir un peu l'effet de ce bouteille. J'espère bien qu'elle me faire regrandir, car je suivre|être vraiment fatiguer de n'être qu'un petit nabot !" # C'être ce qui arriver en effet, et bien plus tôt qu'elle ne s'y attendre. Elle n'avoir pas boire le moitié de le bouteille, que son tête toucher au plafond et qu'elle être forcer de se baisser pour ne pas se casser le cou. Elle remettre bien vite le bouteille sur le tabler en se dire : " En voilà assez ; j'espérer ne pas grandir davantage. je ne puis déjà plus passer par le porte. Oh ! je vouloir bien n'avoir pas tant boire !" # Hélas ! il être trop tard ; elle grandir, grandir, et avoir bientôt à se mettre à genou sur le plancher. Mais un instant après, il n'y avoir même plus assez de placer pour rester dans ce position, et elle essayer|essayer de se tenir étendre par terre, un couder contre le porter et l'autre bras passé autour de son tête. Cependant, comme elle grandir toujours, elle être obligé, comme dernier ressourcer, de laisser pendre un de son bras par le fenêtrer et d'enfoncer un pied dans le cheminer en dire : "à présent c'être tout ce que je pouvoir faire, quoi qu'il arriver. Que aller-je devenir ?" # Heureusement pour Alice, le petit bouteille magique avoir alors produire tout son effet, et elle cesser de grandir. Cependant son position être bien gênant, et comme il ne sembler pas y avoir le moindre chance qu'elle pouvoir jamais sortir de ce chambre, il n'y avoir pas à s'étonner qu'elle se trouver bien malheureux. # "C'être bien plus agréable 'chez nous," penser le pauvre enfant. "Là du moins je ne passer pas mon temps à grandir et à rapetisser, et je n'être pas le domestique du lapin et du souris. je vouloir bien n'être jamais descendre dans ce terrier ; et pourtant c'être assez drôle ce manière de vivre ! je suivre|être curieux de savoir ce que c'être qui m'être arriver. Autrefois, quand je lire|liser du conte de fée, je m'imaginer que rien de tout celer ne pouvoir être, et maintenant me voilà en plein féerie. On devoir faire un livrer sur mon aventure ; il y avoir de quoi ! Quand je être grand j'en faire un, moi. — Mais je suivre|être déjà bien grand !" dire-elle tristement. "Dans tout le cas, il n'y avoir plus de placer ici pour grandir davantage." # "Mais alors," penser Alice, "ne être-je donc jamais plus vieux que je ne le suivre|être maintenant ? D'un côté celer avoir son avantage, ne jamais être un vieux femme Mais alors avoir toujours du leçon à apprendre ! Oh, je n'aimer pas celer du tout." # "Oh ! Alice, petit folle|fou," se répondre-elle. "Comment pouvoir-vous apprendre du leçon ici ? Il y avoir à peiner de le placer pour vous, et il n'y en avoir pas du tout pour votre livre de leçon." # Et elle continuer ainsi, faire tantôt le demande et tantôt le réponse, et établir sur ce sujet tout un conversation ; mais au bout de quelque instant elle entendre un voix au dehors, et s'arrêter pour écouter. # " Marianne ! Marianne !" crier le voix ; "aller chercher mon gant bien vite !" Puis Alice entendre du piétinement dans l'escalier. Elle savoir que c'être le Lapin qui le chercher ; elle trembler si fort qu'elle en ébranler le maison, oublier que maintenant elle être mille foi|fois plus grand que le Lapin, et n'avoir rien à craindre de lui. # le Lapin, arrivé à le porte, essayer|essayer de l'ouvrir ; mais, comme elle s'ouvrer|ouvrir en dedans et que le couder d'Alice être fortement appuyer contre le porte, le tentative être vain. Alice entendre le Lapin qui murmurer : " C'être bon, je aller faire le tour et j'entrer par le fenêtrer." # "je t'en défier !" penser Alice. Elle attendre un peu ; puis, quand elle croire que le Lapin être sous le fenêtrer, elle étendre le bras tout à coup pour le saisir ; elle ne prendre que du vent. Mais elle entendre un petit cri, puis le bruir|bruire d'un chuter et de vitre casser (ce qui lui faire penser que le Lapin être tomber sur le châssis de quelque serrer à concombre), # puis un voix colère, celui du Lapin : "Patrice ! Patrice ! où être-taire ?" Une voix qu'elle ne connaître pas répondre: "Me v'là„ not' maître ! J'bêchon le terre pour trouver du pomme !" # "Pour trouver du pomme !" dire le Lapin furieux. "Viens m'aider à me tirer d'ici." (Nouveau bruir de vitre casser.) # "Dis-moi un peu, Patrice, qu'être-ce qu'il y avoir là à le fenêtrer ?" # "Ça, not' maître, c'être un bras." # "Un bras, imbécile ! Qui avoir jamais vu un bras de ce dimension ? Ça boucher tout le fenêtrer." # "Bien sûr, not' maitre, mais c'être un bras tout de même." # "Dans tout le cas il n'avoir rien à faire ici. Enlève-moi cela bien vite." # Il se faire un long silence, et Alice n'entendre plus que du chuchotement de temps à autre, comme : "Maître, j'oser point." — "Fais ce que je te dire, capon !" Alice étendre le bras de nouveau comme pour agripper quelque chose ; ce foi|fois il y avoir deux petit cri et encore un bruir|bruire de vitre casser." Que de châssis il devoir y avoir là !" penser Alice. " je me demander ce qu'il aller faire à présent. Quant à me retirer par le fenêtrer, je le souhaiter de tout mon coeur, car je n'avoir pas le moindre envier de rester ici plus longtemps ! " # Il se faire quelque instant de silence. à le fin, Alice entendre un bruir|bruire de petit roue, puis le son d'un grand nombre de voix ; elle distinguer ce mot : "Où être l'autre écheler ? — je n'avoir point qu'à en apporter un ; c'être Jacques qui avoir l'autre. — Allons, Jacques, apporter ici, mon garçon ! — Dressez-le là au coin. — Non, attacher-le d'abord l'un au bout de l'autre. — Elles ne aller pas encore moitié assez haut. — Ça faire l'affaire ; ne être pas si difficile. — Tiens, Jacques, attraper ce bouillir de corder. — le toit porter-t-il bien ? — Attention à ce tuiler qui ne tenir pas. — Bon ! le voilà qui dégringoler. Gare le tête ! " (Il se faire un grand fracas.) "Qui avoir faire celer ? —Je croire bien que c'être Jacques. — Qui être-ce qui aller descendre par le cheminer ? — Pas moi, bien sûr ! Allez-y, vous. — Non pas, vraiment. — C'être à vous, Jacques, à descendre. — Hohé, Jacques, not' maitre dire qu'il falloir que tu descendre par le cheminer !" # "Ah !" se dire Alice, "c'être donc Jacques qui aller descendre. Il paraître qu'on mettre tout sur le dos de Jacques. je ne vouloir pas pour beaucoup être Jacques. Ce foyer être étroit certainement, mais je croire bien que je pouvoir tout de même lui lancer un coup de pied." # Elle retirer son pied aussi bas que possible, et ne bouger plus jusqu'à ce qu'elle entendre le bruir|bruire d'un petit animal (elle ne pouvoir deviner de quel espèce) qui gratter et chercher à descendre dans le cheminer, juste au-dessus d'elle; alors se dire : "Voilà Jacques sans doute," elle lancer un bon coup de pied, et attendre pour voir ce qui aller arriver. # le premier chose qu'elle entendre être un cri général de : "Tiens, voilà Jacques en l'air !" Puis le voix du Lapin, qui crier : " Attrapez-le, vous là-bas, près de le haie !" Puis un long silencer : ensuite un mélanger confus de voix : "Soutenez- lui le tête. — De l'eau-de-vie maintenant. — Ne le faire pas engouer. — Qu'être-ce donc, vieux camarader ? — Que t'être-il arriver ? Raconte-nous cela !" # Enfin un petit voix faible et flûter se faire entendre. ("C'être le voix de Jacques," penser Alice.) "je n'en savoir vraiment rien. Merci, c'être assez ; je me sen|sens mieux maintenant ; mais je suivre|être encore trop bouleverser pour vous conter le chose. Tout ce que je savoir, c'être que j'avoir être pousser comme par un ressortir, et que je suivre|être partir en l'air comme un fuser." # "Ça, c'être vrai, vieux camarader," dire le autre. # "Il falloir mettre le feu à le maison," dire le Lapin. Alors Alice crier de tout son force|forces : "Si vous oser faire cela, j'envoyer Dinah à votre poursuite." # Il se faire tout à coup un silencer de mort. "Que aller-il faire à présent ?" penser Alice. "S'il avoir un peu d'esprit, il enlever le toit." Quelques minute après, le aller et venir recommencer, et Alice entendre le Lapin, qui dire : "Une brouetter d'abord, cela suffire." # "Une brouetter de quoi ? penser Alice. Il ne lui rester bientôt plus de doute, car, un instant après, un grêle de petit caillou venir battre contre le fenêtrer, et quelque-un même l'atteindre au visage. "je aller bientôt mettre fin à cela," se dire-elle ; puis elle crier : " Vous faire bien de ne pas recommencer." Ce qui produire encore un profond silence. # Alice remarquer, avec quelque surprendre, qu'en tomber sur le plancher le caillou se changer en petit gâteau, et un brillant idée lui traverser l'esprit. " Si je manger un de ce gâteau," penser-t-elle," celer ne manquer pas de me faire ou grandir ou, rapetisser ; or, je ne puis plus grandir, c'être impossible, donc je rapetisser !" # Elle avaler un du gâteau, et s'apercevoir avec joie qu'elle diminuer rapidement. Aussitôt qu'elle être assez petit pour passer par le porte, elle s'échapper de le maison, et trouver tout un fouler d'oiseau et d'autre petit animal qui attendre dehors. le pauvre petit lézard, Jacques, être au milieu d'eux, soutenir par du cochon d'Inde, qui le faire boire à un bouteille. Tous se précipiter sur Alice aussitôt qu'elle paraître ; mais elle se mettre à, courir de tout son force|forces, et se trouver bientôt en sûreté dans un bois touffu. # "le premier chose que j'avoir à faire," dire Alice en errer çà et là dans le bois, "c'être de revenir à mon premier grandeur ; le second, de chercher un chemin qui me conduire dans ce ravissant jardin. C'être là, je croire, ce que j'avoir de mieux à faire !" # En effet c'être un plan de campagne excellent, très-simple et très-habilement combiner. Toute le difficulté être de savoir comment s'y prendre pour l'exécuter. Tandis qu'elle regarder en tapinois et avec précaution à travers le arbre, un petit aboiement sec, juste au-dessus de son tête, lui faire tout à coup lever le oeil. # Un jeune chien (qui lui paraître énorme) le regarder avec de grand oeil rond, et étendre légèrement le patter pour tâcher de le toucher. "Pauvre petit !" dire Alice d'un voix caressant et essayer|essayer de siffler. Elle avoir un peur terrible cependant, car elle penser qu'il pouvoir bien avoir faim, et que dans ce cas il être probable qu'il le manger, en dépit de tout son câlinerie. # Sans trop savoir ce qu'elle faire, elle ramasser un petit baguette et le présenter au petit chien qui bondir du quatre patte à, le foi|fois, aboyer de joie, et se jeter sur le bâton comme pour jouer avec. Alice passer de l'autre côté d'un gros chardon pour n'être pas fouler au pied. Sitôt qu'elle reparaître, le petit chien se précipiter de nouveau sur le bâton, et, dans son empressement de le saisir, butter et faire un cabrioler. Mais Alice, trouver que cela ressembler beaucoup à un partie qu'elle faire avec un cheval de charrette, et craindre à chaque instant d'être écraser par le chien, se remettre à tourner autour du chardon. Alors le petit chien faire un sérier de charge contre le bâton. Il avancer un peu chaque foi|fois, puis reculer bien loin en faire du aboiement rauque ; puis enfin il se coucher à un grand distancer de là, tout haleter, le langue pendant, et son grand oeil à moitié fermer. # Alice juger que le moment être venir de s'échapper. Elle prendre son courser aussitôt, et ne s'arrêter que lorsqu'elle se sentir fatiguer et hors d'haleine, et qu'elle n'entendre plus que faiblement dans le lointain lès aboiement du petit chien. # "C'être pourtant un bien joli petit chien," dire Alice, en s'appuyer sur un bouton d'or pour se reposer, et en s'éventer avec un du feuille de le planter. "je lui avoir volontiers enseigner tout plein de joli tour si – si j'avoir être assez grand pour celer ! Oh ! mais j'oublier que j'avoir encore à grandir ! Voyons. Comment faire ? je devoir sans douter boire ou manger quelque chose ; mais quoi ? Voilà le grand question." # En effet, le grand question être bien de savoir quoi ? Alice regarder tout autour d'elle le fleur et le brin d'herbe ; mais elle ne voir rien qui lui paraître bon à boire ou à manger dans le circonstance présent. Près d'elle pousser un large champignon, à peu près haut comme elle. Lorsqu'elle l'avoir examiner par-dessous, d'un côté et de l'autre, par-devant et par-derrière, l'idée lui venir qu'elle faire bien de regarder ce qu'il y avoir dessus. # Elle se dresser sur le pointer du pied, et, glisser le oeil par-dessus le bord du champignon, son regard rencontrer celui d'un gros chenille bleu asseoir au sommet, le bras croisé, fumer tranquillement un longue piper turque sans faire le moindre attention à elle ni à quoi que ce fût. # CHAPITRE V. CONSEILS D'UNE CHENILLE. # le Chenille et Alice se considérer un instant en silence. Enfin le Chenille sortir le houka de son bouche, et lui adresser le parole d'un voix endormir et traînant. # "Qui être-vous ?" dire le Chenille. # Ce n'être pas là un manière encourageant d'entamer le conversation. Alice répondre, un peu confus : " je - je le savoir à peiner moi-même quant à présent. je savoir bien ce que j'être en me lever ce matin, mais je croire avoir changer plusieurs foi|fois depuis." # "Qu'entendre-vous par là ?" dire le Chenille d'un ton sévère. "Expliquez-vous." # "je craindre bien de ne pouvoir pas m'expliquer," dire Alice, " car, voir-vous, je ne suivre|être plus moi-même." # "je ne voir pas du tout," répondre le Chenille. # "J'avoir bien peur de ne pouvoir pas dire le chose plus clairement," répliquer Alice fort poliment ; " car d'abord je n'y comprendre rien moi-même. Grandir et rapetisser si souvent en un seul jour, celer embrouiller un peu le idée." # "Pas du tout," dire le Chenille. # "Peut-être ne vous en être-vous pas encore apercevoir," dire Alice. " Mais quand vous devenir chrysalide, car c'être ce qui vous arriver, savoir-le bien, et ensuite papillon, je croire bien que vous vous sentir un peu drôle, qu'en dire- vous ?" # "Pas du tout," dire le Chenille. # "Vos sensation être pouvoir-être différent du mien," dire Alice. "Tout ce que je savoir, c'être que cela me sembler bien drôle à moi." # "à vous ! " dire le Chenille d'un ton de méprendre. "Qui être-vous ?" # Cette question le ramener au commencement de le conversation. Alice, un peu irriter du parler bref de le Chenille, se redresser de tout son hauteur et répondre bien gravement : "Il me sembler que vous devoir d'abord me dire qui vous être vous-même." # "Pourquoi ?" dire le Chenille. # C'être encore là un question bien embarrassant ; et comme Alice ne trouver pas de bon raison à donner, et que le Chenille avoir l'air de très-mauvais humeur, Alice lui tourner le dos et s'éloigner. # "Revenez," lui crier le Chenille. " J'avoir quelque chose d'important à vous dire !" # L'invitation être engageant assurément ; Alice revenir sur son pas. # "Ne vous emporter pas," dire le Chenille. # "Est-ce tout ?" dire Alice, chercher à retenir son colère. # "Non," répondre le Chenille. # Alice penser qu'elle faire tout aussi bien d'attendre, et qu'après tout le Chenille lui dire pouvoir-être quelque chose de bon à savoir. le Chenille continuer de fumer pendant quelque minute sans rien dire. Puis, retirer enfin le piper de son bouche, elle se croiser le bras et dire : "Ainsi vous vous figurer que vous être changer, hein ?" # "je le craindre bien," dire Alice. "je ne pouvoir plus me souvenir du chose comme autrefois,et je ne rester pas dix minute de suite de le même grandeur !" # "De quoi être-ce que vous ne pouvoir pas vous souvenir ? " dire le Chenille. # "J'avoir essayer|essayer de réciter le fable de Maître Corbeau, mais ce n'être plus le même chose," répondre Alice d'un ton chagrin. # "Récitez : Vous être vieux, Père Guillaume'" dire le Chenille. # Alice croiser le main et commencer: # "Vous être vieux, Père Guillaume. Vous avoir du cheveu tout gris .. . le tête en bas! Père Guillaume; à votre âge, c'être peu permettre ! # —Étant jeune, pour mon cervelle je craindre fort, mon cher enfant ; je n'en avoir plus un parcelle, J'en suivre|être bien certain maintenant. # —Vous être vieux, je vous l'avoir dire, Mais comment donc par ce porte, Vous, dont le tailler être comme un muid ! Cabriolez-vous de le sorte? # —Étant jeune, mon cher enfant, J'avoir chaque jointure bon ; je me frotter de ce onguent ; Si vous payer|payer je vous en donner. # —Vous être vieux, et vous manger le os comme de le bouilli ; Et jamais rien ne me laisser. Comment faire-vous, je vous prier? # —Étant jeune, je disputer Tous le jour avec votre mère ; C'être ainsi que je me suivre|être faire Un si puissant os maxillaire. # —Vous être vieux, par quel adresser Tenez-vous debout sur le nez Une anguille qui se redresser Droit comme un I quand vous siffler ? # —Cette question être trop sot ! Cessez de babiller ainsi, Ou je aller, du bout de mon botter, Vous envoyer bien loin d'ici." # # # # # # # # "Ce n'être pas cela," dire le Chenille. # "Pas tout à faire, je le craindre bien," dire Alice timidement. "Tous le mot ne être pas le même." # "C'être tout de travers d'un bouillir à l'autre," dire le Chenille d'un ton décider ; et il se faire un silencer de quelque minute. # le Chenille être le premier à reprendre le parole. # "De quel grandeur vouloir-vous être ? " demander-t-elle." # Oh! je ne suivre|être pas difficile, quant à le taille," reprendre vivement Alice. 'Mais vous comprendre bien qu'on n'aimer pas à en changer si souvent." # "je ne comprendre pas du tout," dire le Chenille. # Alice se taire ; elle n'avoir jamais de son vie être si souvent contredire, et elle sentir qu'elle aller perdre patience. # "Êtes-vous satisfaire maintenant ?" dire le Chenille. # "J'aimer bien à être un petit peu plus grand, si celer vous être égal," dire Alice. "Trois pouce de haut, c'être si peu !" # "C'être un très-beau taille," dire le Chenille en colère, se dresser de tout son hauteur. (Elle avoir tout juste trois pouce de haut.) # "Mais je n'y suivre|être pas habituer," répliquer Alice d'un ton piteux, et elle faire ce réflexion : "je vouloir bien que ce gens-là ne être pas si susceptible." # "Vous finir par vous y habituer," dire le Chenille. Elle remettre le piper à son bouche, et fumer de plus beau. # Cette foi|fois Alice attendre patiemment qu'elle se décider à parler. Au bouillir de deux ou trois minute le Chenille sortir le houka de son bouche, bâiller un ou deux foi|fois et se secouer ; puis elle descendre de dessus le champignon, glisser dans le gazon, et dire tout simplement en s'en aller "Un côté vous faire grandir, et l'autre vous faire rapetisser." # "Un côté de quoi, l'autre côté de quoi ?" penser Alice. # "Du champignon," dire le Chenille, comme si Alice avoir parler tout haut ; et un moment après le Chenille avoir disparaître. # Alice contempler le champignon d'un air pensif pendant un instant, essayer|essayer de deviner quel en être le côté ; et comme le champignon être tout rond, elle trouver le question fort embarrassant. Enfin elle étendre son bras tout autour, en le allonger autant que possible, et, de chaque main, enlever un petit partie du bord du champignon. # "Maintenant, lequel du deux ?" se dire-elle, et elle grignoter un peu du morceau de le main droit pour voir quel effet il produire. Presque aussitôt elle recevoir un coup violent sous le menton; il venir de frapper contre son pied. # Ce brusquer changement lui faire grand' peur, mais elle comprendre qu'il n'y avoir pas de temps à perdre, car elle diminuer rapidement. Elle se mettre donc bien vite à manger un peu de l'autre morceau. Son menton être si rapprocher de son pied qu'il y avoir à peiner assez de placer pour qu'elle pouvoir ouvrir le bouche. Elle y réussir enfin, et parvenir à avaler un partie du morceau de le main gauche. # "Voilà enfin mon tête libre," dire Alice d'un ton joyeux qui se changer bientôt en cri d'épouvante, quand elle s'apercevoir de l'absence de son épaule. Tout ce qu'elle pouvoir voir en regarder en bas, c'être un cou long à n'en plus finir qui sembler se dresser comme un tige, du milieu d'un océan de verdure s'étendre bien loin au-dessous d'elle. # "Qu'être-ce que c'être que tout ce verdure ?" dire Alice. " Et où donc être mon épaule ? Oh ! mon pauvre main ! Comment se faire-il que je ne puis vous voir ?" Tout en parler elle agiter le main, mais il n'en résulter qu'un petit mouvement au loin parmi le feuille vert. # Comme elle ne trouver pas le moyen de porter son main à son tête, elle tâcher de porter son tête à son main, et s'apercevoir avec joie que son cou se replier avec aisance de tout côté comme un serpent. Elle venir de réussir à le plier en un gracieux zigzag, et aller plonger parmi le feuille, qui être tout simplement le haut du arbre sous lequel elle avoir errer, quand un sifflement aigu le forcer de reculer promptement ; un gros pigeon venir de lui voler à le figurer, et lui donner de grand coup d'aile. # "Serpent" crier le Pigeon. # "je ne suivre|être pas un serpent," dire Alice, avec indignation. "Laissez-moi tranquille." # "Serpent ! je le répéter," dire le Pigeon, mais d'un ton plus doux ; puis il continuer avec un espèce de sanglot : "J'avoir essayer|essayer de tout le façon, rien ne sembler le satisfaire." # "je n'avoir pas le moindre idée de ce que vous vouloir dire," répondre Alice. # "J'avoir essayer|essayer du racine d'arbre ; j'avoir essayer|essayer du talus; j'avoir essayer|essayer du haie," continuer le Pigeon sans faire attention à elle. "Mais ce serpent ! il n'y avoir pas moyen de le satisfaire." # Alice être de plus en plus intriguer, mais elle penser que ce n'être pas le peiner de rien dire avant que le Pigeon avoir finir de parler. # "je n'avoir donc pas assez de mal à, couver mon oeuf," dire le Pigeon. "Il falloir encore que je guetter le serpent nuire et jour. je n'avoir pas fermer l'oeil depuis trois semaine !" # "je suivre|être fâcher que vous avoir être tourmenter," dire Alice, qui commencer à comprendre. # "Au moment où je venir de choisir l'arbre le plus haut de le forêt," continuer le Pigeon en élever le voix jusqu'à crier, — "au moment où je me figurer que j'aller en être enfin débarrasser, le voilà qui tomber du ciel en repli tortueux.' Oh! le vilain serpent !" # "Mais je ne suivre|être pas un serpent," dire Alice. "je suivre|être un - je suivre|être -" # "Eh bien ! qu'être-vous !" dire le Pigeon, "je voir que vous chercher à inventer quelque chose." # "je - je suivre|être un petit fille," répondre Alice avec quelque hésitation, car elle se rappeler combien de changement elle avoir éprouver ce jour-là. # "Voilà un histoire bien vraisemblable !" dire le Pigeon d'un air de profond méprendre. "J'avoir vu bien du petit fille dans mon temps, mais je n'en avoir jamais vu avec un cou comme celer. Non, non ; vous être un serpent ; il être inutile de le nier. Vous aller sans douter me dire que vous n'avoir jamais manger d'oeuf." # "Si faire, j'avoir manger du oeuf," dire Alice, qui ne savoir pas mentir ; "mais vous savoir que le petit fille manger du oeuf aussi bien que le serpent." # "je n'en croire rien," dire le Pigeon, "mais s'il en être ainsi, elle être un espèce de serpent ; c'être tout ce que j'avoir à vous dire." # Cette idée être si nouveau pour Alice qu'elle rester muet pendant un ou deux minute, ce qui donner au Pigeon le temps d'ajouter : "Vous chercher du oeuf, cela j'en suivre|être bien sûr, et alors que m'importer que vous être un petit fille ou un serpent ?" # "Cela m'importer beaucoup à moi," dire Alice vivement ; "mais je ne chercher pas d'oeuf justement, et quand même j'en chercher je ne vouloir pas du vôtre ; je ne le aimer pas croire|croître." # "Eh bien ! aller-vous-en alors," dire le Pigeon d'un ton boudeur en se remettre dans son nid. Alice se glisser parmi le arbre du mieux qu'elle pouvoir en se baisser, car son cou s'entortiller dans le branche, et à chaque instant il lui falloir s'arrêter et le désentortiller. Au bouillir de quelque temps, elle se rappeler qu'elle tenir encore dans son main le morceau de champignon, et elle se mettre à l'oeuvre avec grand soin, grignoter tantôt l'un, tantôt l'autre, et tantôt grandir, tantôt rapetisser, jusqu'à ce qu'enfin elle parvenir à se ramener à son grandeur naturel. # Il y avoir si longtemps qu'elle n'avoir être d'un tailler raisonnable que celer lui paraître d'abord tout drôle, mais elle finir par s'y accoutumer, et commencer à se parler à elle-même, comme d'habitude. "Allons, voilà maintenant le moitié de mon projet exécuter. Comme tout ce changement être embarrassant ! je ne suivre|être jamais sûr de ce que je aller devenir d'un minuter à l'autre. Toutefois, je suivre|être redevenir de le bon grandeur; il me rester maintenant à pénétrer dans ce magnifique jardin. Comment faire ?" En dire ce mot elle arriver tout à coup à un clairière, où se trouver un maison d'environ quatre pied de haut. "Quels que être le gens qui demeurer là," penser Alice, "il ne être pas raisonnable de se présenter à eux grand comme je suivre|être. Ils devenir foutre de frayeur." Elle se mettre de nouveau à grignoter le morceau qu'elle tenir dans son main droit, et ne s'aventurer pas près de le maison avant d'avoir réduire son tailler à neuf pouce. # CHAPITRE VI. PORC ET POIVRE. # Alice rester un ou deux minute à regarder à le porter ; elle se demander ce qu'il falloir faire, quand tout à coup un laquer en livrer sortir du bois en courant. (Elle le prendre pour un laquer à causer de son livrer ; sans cela, à n'en juger que par le figurer, elle l'avoir prendre pour un poisson.) Il frapper fortement avec son doigt à le porte. Elle être ouvert par un autre laquer en livrer qui avoir le face tout rond et de gros oeil comme un grenouiller. Alice remarquer que le deux laquer avoir le cheveu poudrer et tout friser. Elle se sentir piquer de curiosité, et, vouloir savoir ce que tout cela signifier, elle se glisser un peu en dehors du bois afin d'écouter. # le Laquais-Poisson prendre de dessous son bras un lettrer énorme, presque aussi grand que lui, et le présenter au Laquais-Grenouille en dire d'un ton solennel : "Pour Madame le Duchesse, un invitation de le Reine à un partie de croquet." le Laquais-Grenouille répéter sur le même ton solennel, en changer un peu l'ordre du mot : "De le partir de le Reine un invitation pour Madame le Duchesse à un partie de croquet ;" # puis tout deux se faire un profond salut et le boucle de leur chevelure s'entremêler. # Cela faire tellement rire Alice qu'elle avoir à rentrer bien vite dans le bois de peur d'être entendre ; et quand elle avancer le tête pour regarder de nouveau, le Laquais-Poisson être partir, et l'autre être asseoir par terre près de le route, regarder niaisement en l'air. # Alice s'approcher timidement de le porter et frapper. # "Cela ne servir à rien du tout de frapper," dire le Laquais, "et celer pour deux raison : premièrement, parce que je suivre|être du même côté de le porter que vous ; deuxièmement, parce qu'on faire là-dedans un tel bruir que personne ne pouvoir vous entendre." En effet, il se faire dans l'intérieur un bruir|bruire extraordinaire, du hurlement et du éternuement continuel, et de temps à autre un grand fracas comme si on briser de le vaisselle. # "Eh bien ! comment puis-je entrer, s'il vous plaire ?" demander Alice. # "Il y avoir quelque bon sen|sens à frapper à ce porte," continuer le Laquais sans l'écouter, "si nous avoir le porter entre nous deux. Par exemple, si vous être à l'intérieur vous pouvoir frapper et je pouvoir vous laisser sortir." Il regarder en l'air tout le temps qu'il parler, et Alice trouver cela très-impoli. "Mais pouvoir- être ne pouvoir-il pas s'en empêcher," dire-elle ; "il avoir le oeil presque sur le sommet de le tête. Dans tout le cas il pouvoir bien répondre à mon question. — Comment faire pour entrer ?" répéter-t-elle tout haut. # "je aller rester asseoir ici," dire le Laquais, "jusqu'à demain - # Au même instant le porter de le maison s'ouvrir, et un grand assiette voler tout droit dans le direction de le tête du Laquais ; elle lui effleurer le nez, et aller se briser contre un arbre derrière lui. # " - ou le jour suivant pouvoir-être," continuer le Laquais sur le même ton, tout comme si rien n'être arriver. # "Comment faire pour entrer ?" redemander Alice en élever le voix. # "Mais devoir-vous entrer ?" dire le Laquais. "C'être ce qu'il falloir se demander, n'être-ce pas ?" # Bien certainement, mais Alice trouver mauvais qu'on le lui dire. "C'être vraiment terrible," murmurer-t-elle, "de voir le manière dont ce gens-là discuter, il y avoir de quoi rendre fou." # le Laquais trouver l'occasion bon pour répéter son observation avec du variant. "je rester asseoir ici," dire-il, "l'un dans l'autre, pendant du jour et du jour ! " # "Mais que falloir-il que je faire ? " dire Alice. # "Tout ce que vous vouloir," dire le Laquais ; et il se mettre à siffler. # "Oh ! ce n'être pas le peiner de lui parler," dire Alice, désespéré ; "c'être un parfait idiot." Puis elle ouvrir le porter et entrer. # le porter donner sur un grand cuisiner qui être plein de fumer d'un bouillir à l'autre. le Duchesse être asseoir sur un tabouret à trois pied, au milieu de le cuisine, et dorloter un bébé ; le cuisinier|cuisinière, penché sur le feu, brasser quelque chose dans un grand chaudron qui paraître remplir de souper. # " Bien sûr, il y avoir trop de poivrer dans le souper," se dire Alice, tout empêcher par le éternuement. # Il y en avoir certainement trop dans l'air. le Duchesse elle-même éternuer de temps en temps, et quant au bébé il éternuer et hurler alternativement sans aucun interruption. le deux seul créature qui n'éternuer pas, être le cuisinier|cuisinière et un gros chat asseoir sur l'âtre et dont le boucher grimaçant être fendre d'un oreille à l'autre. # "Pourriez-vous m'apprendre," dire Alice un peu timidement, car elle ne savoir pas s'il être bien convenable qu'elle parler le premier, "pourquoi votre chat grimacer ainsi ?" # "C'être un Grimaçon," dire le Duchesse ; " voilà, pourquoi. — Porc !" # Elle prononcer ce dernier mot si fort et si subitement qu'Alice en frémir. Mais elle comprendre bientôt que celer s'adresser au bébé et non pas à elle ; elle reprendre donc courage et continuer : # "J'ignorer qu'il y avoir du chat de ce espèce. Au faire j'ignorer qu'un chat pouvoir grimacer." # "Ils le pouvoir tout," dire le Duchesse ;" et le plupart le faire." # "je n'en connaître pas un qui grimacer," dire Alice poliment, bien contenter d'être entrée en conversation. # "le faire être que vous ne savoir pas grand'chose," dire le Duchesse. # le ton sur lequel être faire ce observation ne plaire|pleuvoir pas du tout à Alice, et elle penser qu'il être bon de changer le conversation. Tandis qu'elle chercher un autre sujet, le cuisinier|cuisinière retirer de dessus le feu le chaudron plein de souper, et se mettre aussitôt à jeter tout ce qui lui tomber sous le main à le Duchesse et au bébé — le peller et le pincette|pincettes d'abord, à leur suite venir un pluie de casserole, d'assiette et de plat. le Duchesse n'y faire pas le moindre attention, même quand elle en être atteindre, et l'enfant hurler déjà si fort auparavant qu'il être impossible de savoir si le coup lui faire mal ou non. # "Oh ! je vous en prier, prendre garder à ce que vous faire," crier Alice, sauter çà et là et en proie à le terreur. "Oh ! son cher petit nez !" Une casserole d'un grandeur peu ordinaire venir de voler tout près du bébé, et avoir faillir lui emporter le nez. # "Si chacun s'occuper de son affaire," dire le Duchesse avec un grognement rauque, "le monde n'en aller que mieux." # "Ce qui ne être guère avantageux," dire Alice, enchanter qu'il se présenter un occasion de montrer un peu de son savoir. "Songez à ce que devenir le jour et le nuit; vous voir bien, le terre mettre vingt-quatre heure à faire son révolution." # "Ah ! vous parler de faire du révolution !" dire le Duchesse. "Qu'on lui couper le tête !" # Alice jeter un regard inquiet sur le cuisinier|cuisinière pour voir si elle aller obéir ; mais le cuisinier|cuisinière être tout occuper à brasser le souper et paraître ne pas écouter. Alice continuer donc : " Vingt-quatre heure, je croire, ou bien douze ? je penser - " # "Oh ! laisser-moi le paix," dire le Duchesse, "je n'avoir jamais pouvoir souffrir le chiffre." Et là-dessus elle recommencer à dorloter son enfant, lui chanter un espèce de chanson pour l'endormir et lui donner un fort secousse au bout de chaque vers, # "Grondez-moi ce vilain garçon ! Battez-le quand il éternuer; à vous taquiner, sans façon le mécher enfant s'évertuer." REFRAIN (que reprendre en choeur le cuisinier|cuisinière et le bébé). "Brou, Brou, Brou !" (bis.) # En chanter le second couplet de le chanson le Duchesse faire sauter le bébé et le secouer violemment, si bien que le pauvre petit être hurler au point qu'Alice pouvoir à peiner entendre ce mot : # "Oui, oui, je m'en aller le gronder, Et le battre, s'il éternuer; Car bientôt à savoir poivrer, je vouloir que l'enfant s'habituer." REFRAIN. "Brou, Brou, Brou!" (bis.) # "Tenez, vous pouvoir le dorloter si vous « vouloir !" dire le Duchesse à Alice : et à ce mot elle lui jeter le bébé. "Il falloir que j'ailler m'apprêter pour aller jouer au croquet avec le Reine." Et elle se précipiter hors de le chambre. le cuisinier|cuisinière lui lancer un poêler comme elle s'en aller, mais elle le manquer tout juste. # Alice avoir de le peiner à attraper le bébé. C'être un petit être d'un former étranger qui tenir son bras et son jambe étendre dans tout le direction ; "Tout comme un étoiler de mer," penser Alice. le pauvre petit créature ronfler comme un machiner à vapeur lorsqu'elle l'attraper, et ne cesser de se plier en deux, puis de s'étendre tout droit, de sorte qu'avec tout cela, pendant le premier instant, c'être tout ce qu'elle pouvoir faire que de le tenir. # Sitôt qu'elle avoir trouver le bon moyen de le bercer, (qui être d'en faire un espèce de noeud, et puis de le tenir fermement par l'oreille droit et le pied gauche afin de l'empêcher de se dénouer,) elle le porter dehors en plein air. "Si je n'emporter pas ce enfant avec moi," penser Alice, "il le tuer bien sûr un de ce jour. Ne être-ce pas un meurtre de l'abandonner ?" Elle dire ce dernier mot à haut voix, et le petit créature répondre en grogner (elle avoir cesser d'éternuer alors). "Ne grogner pas ainsi," dire Alice ; "ce n'être pas là du tout un bon manière de s'exprimer." # le bébé grogner de nouveau. Alice le regarder au visage avec inquiétude pour voir ce qu'il avoir. Sans contredire son nez être très-retrousser, et ressembler bien plutôt à un groin qu'à un vrai nez. Ses oeil aussi devenir très-petit pour un bébé. Enfin Alice ne trouver pas du tout de son goût l'aspect de ce petit être. " Mais pouvoir-être sangloter-il tout simplement," penser-t-elle, et elle regarder de nouveau le oeil du bébé pour voir s'il n'y avoir pas de larme. # "Si tu aller te changer en porc," dire Alice très-sérieusement, "je ne vouloir plus rien avoir à faire avec toi. Fais-y bien attention !" le pauvre petit créature sangloter de nouveau, ou grogner (il être impossible de savoir lequel du deux), et il continuer leur chemin un instant en silence. # Alice commencer à dire en elle-même, "Mais, que faire de ce créature quand je l'avoir porter à le maison ?" lorsqu'il grogner de nouveau si fort qu'elle regarder son figurer avec quelque inquiétude. Cette foi|fois il n'y avoir pas à s'y tromper, c'être un porc, ni plus ni moins, et elle comprendre qu'il être ridicule de le porter plus loin. # Elle déposer donc par terre le petit animal, et se sentir tout soulager de le voir trotter tranquillement vers le bois. "S'il avoir grandir," se dire-elle, "il être devenir un bien vilain enfant ; tandis qu'il faire un assez joli petit porc, il me sembler." Alors elle se mettre à penser à d'autre enfant qu'elle connaître et qui faire d'assez joli porc, si seulement on savoir le manière de s'y prendre pour le métamorphoser. Elle être en train de faire ce réflexion, lorsqu'elle tressaillir en voir tout à coup le Chat asseoir à quelque pas de là sur le brancher d'un arbre. # le Chat grimacer en apercevoir Alice. Elle trouver qu'il avoir l'air bon enfant, et cependant il avoir de très-longue griffe et un grand ranger de dent ; aussi comprendre-elle qu'il falloir le traiter avec respect. # " Grimaçon ! " commencer-t-elle un peu timidement, ne savoir pas du tout si ce familiarité lui être agréable ; toutefois il ne faire qu'allonger son grimacer. "Allons, il être content jusqu'à présent," penser Alice, et elle continuer : "Dites-moi, je vous prier, de quel côté falloir-il me diriger ? " # "Cela dépendre beaucoup de l'endroit où vous vouloir aller," dire le Chat. # "Cela m'être assez indifférent," dire Alice. # "Alors peu importer de quel côté vous aller," dire le Chat. # "Pourvu que j'arriver quelque part," ajouter Alice en explication. # "Cela ne pouvoir manquer, pourvu que vous marcher assez longtemps." # Alice comprendre que cela être incontestable ; elle essayer|essayer donc d'un autre question : "Quels être le gens qui demeurer par ici ?" # "De ce côté-ci," dire le Chat, décrire un cercler avec son patter droit, "demeurer un chapelier ; de ce côté-là," faire de même avec son patter gauche, "demeurer un lièvre. Allez voir celui que vous vouloir, tout deux être foutre" # "Mais je ne vouloir pas fréquenter du fou," faire observer Alice. # "Vous ne pouvoir pas vous en défendre, tout le monde être fou ici. je suivre|être fou, vous être folle|fou." # "Comment savoir-vous que je suivre|être folle|fou ?" dire Alice. # "Vous devoir l'être," dire le Chat, " sans celer vous ne être pas venir ici." # Alice penser que celer ne prouver rien. Toutefois elle continuer : "Et comment savoir-vous que vous être fou ?" # "D'abord," dire le Chat, "un chien n'être pas fou ; vous convenir de celer." # "je le supposer," dire Alice. # "Eh bien !" continuer le Chat, "un chien grogner quand il se fâcher, et remuer le queue lorsqu'il être content. Or, moi, je grogner quand je suivre|être content, et je remuer le queue quand je me fâcher. Donc je suivre|être fou." # "J'appeler cela faire le rouet, et non pas grogner," dire Alice. # "Appelez celer comme vous vouloir," dire le Chat. "Jouez-vous au croquet avec le Reine aujourd'hui ? " # "Cela me faire grand plaisir," dire Alice, "mais je n'avoir pas être inviter." # "Vous m'y voir," dire le Chat ; et il disparaître. # Alice ne être pas très-étonner, tant elle commencer à s'habituer au événement extraordinaire. Tandis qu'elle regarder encore l'endroit que le Chat venir de quitter, il reparaître tout à coup. # "à propos, qu'être devenir le bébé ? J'aller oublier de le demander." # "Il avoir être changer en porc," dire tranquillement Alice, comme si le Chat être revenir d'un manière naturel. # "je m'en douter," dire le Chat ; et il disparaître de nouveau. # Alice attendre quelque instant, espérer presque le revoir, mais il ne reparaître pas ; et un ou deux minute après, elle continuer son chemin dans le direction où on lui avoir dire que demeurer le Lièvre. "J'avoir déjà vu du chapelier," se dire-elle ; "le Lièvre être de beaucoup le plus intéresser." à ce mot elle lever le oeil, et voilà que le Chat être encore là asseoir sur un brancher d'arbre. # "M'avoir-vous dire porc, ou porter ? " demander le Chat. # "J'avoir dire porc," répéter Alice. "Ne vous amuser donc pas à paraître et à disparaître si subitement, vous faire tourner le téter au gens." # "C'être bon," dire le Chat, et ce foi|fois il s'évanouir tout doucement à commencer par le bouillir de le queue, et finir par son grimacer qui demeurer quelque temps après que le rester être disparaître. # "Certes," penser Alice, "j'avoir souvent vu un chat sans grimacer, mais un grimacer sans chat, je n'avoir jamais de mon vie rien vu de si drôle." # Elle ne faire pas beaucoup de chemin avant d'arriver devant le maison du Lièvre. Elle penser que ce devoir bien être là le maison, car le cheminer être en former d'oreille et le toit être couvrir de fourrure. le maison être si grand qu'elle n'oser s'approcher avant d'avoir grignoter encore un peu du morceau de champignon qu'elle avoir dans le main gauche, et d'avoir atteindre le tailler de deux pied environ ; et même alors elle avancer timidement en se dire : "Si après tout il être fou furieux! je vouloir presque avoir être faire visite au Chapelier plutôt que d'être venir ici." # CHAPITRE VII. UN THÉ DE FOUS. # IL y avoir un tabler servir sous un arbre devant le maison, et le Lièvre y prendre le thé avec le Chapelier. Un Loir profondément endormir être asseoir entre le deux autre qui s'en servir comme d'un coussin, le couder appuyer sur lui et causer par-dessus son téter. "Bien gêner pour le Loir," penser Alice. "Mais comme il être endormir je supposer que celer lui être égal." # Bien que le tabler être très-grand, il être tout trois serrer l'un contre l'autre à un du coin. "Il n'y avoir pas de placer ! Il n'y avoir pas de placer !" crier-il en voir Alice. "Il y avoir abondance de placer," dire Alice indigner, et elle s'asseoir dans un large fauteuil à. l'un du bout de le table. # "Prenez donc du vin," dire le Lièvre d'un ton engageant. # Alice regarder tout autour de le table, mais il n'y avoir que du thé. "je ne voir pas de vin," faire-elle observer. # "Il n'y en avoir pas," dire le Lièvre. # "En ce cas il n'être pas très-poli de votre partir de m'en offrir," dire Alice d'un ton fâché. # "Il n'être pas non plus très-poli de votre partir de vous mettre à tabler avant d'y être inviter," dire le Lièvre. # "J'ignorer que ce être votre table," dire Alice. "Il y avoir du couvert pour bien plus de trois convive." # "Vos cheveu avoir besoin d'être couper," dire le Chapelier. Il avoir considérer Alice pendant quelque temps avec beaucoup de curiosité, et ce être le premier parole qu'il lui adresser. # "Vous devoir apprendre à ne pas faire de remarque sur le gens ; c'être très-grossier," dire Alice d'un ton sévère. # à ce mot le Chapelier ouvrir de grand oeil ; mais il se contenter de dire : "Pourquoi un pie ressembler-t-elle à un pupitre ? " # "Bon nous aller nous amuser," penser Alice. "je suivre|être bien aise qu'il se mettre à demander du énigme. je croire pouvoir deviner cela," ajouter-t-elle tout haut. # "Voulez-vous dire que vous croire pouvoir trouver le réponse ?" dire le Lièvre. # "Précisément," répondre Alice. # "Alors vous devoir dire ce que vous vouloir dire," continuer le Lièvre. # "C'être ce que je faire," répliquer vivement Alice. "Du moins — je vouloir dire ce que je dire ; c'être le même chose, n'être-ce pas ?" # "Ce n'être pas du tout le même chose," dire le Chapelier. "Vous pouvoir alors dire tout aussi bien que : 'je voir ce que je manger,' être le même chose que : 'je manger ce que je voir.'" # "Vous pouvoir alors dire tout aussi bien," ajouter le Lièvre, "que : J'aimer ce qu'on me donner,' être le même chose que : On me donner ce que j'aimer.'" # "Vous pouvoir dire tout aussi bien," ajouter le Loir, qui paraître parler tout endormir, "que : je respirer quand je dormir,' être le même chose que : 'je dormir quand je respirer.'" # "C'être en effet tout un pour vous," dire le Chapelier. Sur ce, le conversation tomber et il se faire un silencer de quelque minute. Pendant ce temps, Alice repasser dans son esprit tout ce qu'elle savoir au sujet du pie et du pupitre ; ce qui n'être pas grand'chose. # le Chapelier rompre le silencer le premier. "Quel quantième du moi|mois sommer|être-nous ?" dire-il en se tourner vers Alice. Il avoir tirer son montrer de son pocher et le regarder d'un air inquiet, le secouer de. temps à autre et l'approcher de son oreille. # Alice réfléchir un instant et répondre : "le quatre." # "Elle être de“ deux jour en retard," dire le Chapelier avec un soupir. "je vous dire bien que le beurre ne valoir rien au mouvement'" ajouter-t-il en regarder le Lièvre avec colère. # "C'être tout ce qu'il y avoir de plus fin en beurre," dire le Lièvre humblement. # "Oui, mais il falloir qu'il y soit entrer du miette de pain," grommeler le Chapelier. " Vous n'avoir pas devoir vous servir du couteau au pain pour mettre le beurre." # le Lièvre prendre le montrer et le contempler tristement, puis le tremper dans son tasser, le contempler de nouveau, et pourtant ne trouver rien de mieux à faire que de répéter son premier observation : "C'être tout ce qu'il y avoir de plus fin en beurre." # Alice avoir regarder par-dessus son épauler avec curiosité : "Quelle singulier montrer !" dire-elle. "Elle marquer le quantième du moi|mois, et ne marquer pas l'heure qu'il être !" # "Et pourquoi marquer-elle l'heure ? " murmurer le Chapelier. "Votre montrer marquer-t-elle dans quel année vous être?" # "Non assurément!" répliquer Alice sans hésiter. "Mais c'être parce qu'elle rester à le même année pendant si longtemps." # "Tout comme le mien," dire le Chapelier. # Alice se trouver fort embarrasser. L'observation du Chapelier lui paraître n'avoir aucun sen|sens ; et cependant le phraser être parfaitement correct. "je ne vous comprendre pas bien," dire-elle, aussi poliment que possible. # "le Loir être rendormir," dire le Chapelier ; et il lui verser un peu de thé chaud sur le nez. # le Loir secouer le tête avec impatience, et dire, sans ouvrir le oeil : "Sans doute, sans doute, c'être justement ce que j'aller dire." # "Avez-vous deviner l'énigme ? " dire le Chapelier, se tourner de nouveau vers Alice. # "Non, j'y renoncer," répondre Alice ; "quel être le réponse ?" # "je n'en avoir pas le moindre idée," dire le Chapelier. # "Ni moi non plus," dire le Lièvre. # Alice soupirer; d'ennui. "Il me sembler que vous pouvoir mieux employer le temps," dire-elle, "et ne pas le gaspiller à proposer du énigme qui n'avoir point de réponse." # "Si vous connaître le Temps aussi bien que moi," dire le Chapelier, "vous ne parler pas de le gaspiller. On ne gaspiller pas quelqu'un." # "je ne vous comprendre pas," dire Alice. # "je le croire bien," répondre le Chapelier, en secouer le tête avec méprendre ; "je parier que vous n'avoir jamais parler au Temps." # "Cela se pouvoir bien," répliquer prudemment Alice, "mais je l'avoir souvent mal employer." # "Ah ! voilà donc pourquoi ! Il n'aimer pas cela," dire le Chapelier. "Mais si seulement vous savoir le ménager, il faire de le penduler tout ce que vous vouloir. Par exemple, supposer qu'il soit neuf heure du matin, l'heure de votre leçon, vous n'avoir qu'à dire tout bas un petit mot au Temps, et l'aiguille partir en un clin d'oeil pour marquer un heure et demi, l'heure du dîner." # ("je le vouloir bien," dire tout bas le Lièvre.) # "Cela être très-agréable, certainement," dire Alice d'un air pensif ; "mais alors - je n'avoir pas encore faim, comprendre donc." # "Peut-être pas d'abord," dire le Chapelier ; "mais vous pouvoir retenir l'aiguille à un heure et demi aussi longtemps que vous vouloir." # "Est-ce comme celer que vous faire, vous ?" demander Alice. # le Chapelier secouer tristement le tête. " Hélas ! non," répondre-il, "nous nous sommer|être quereller au moi|mois de mars dernier, un peu avant qu'il devenir fou." (Il montrer le Lièvre du bout de son cuiller.) "C'être à un grand concert donner par le Reine de Coeur, et j'avoir à chanter : # "Ah ! vous dire-je, mon soeur, Ce qui causer mon douleur !" # "Vous connaître pouvoir-être ce chanson ?" # "J'avoir entendre chanter quelque chose comme cela," dire Alice. # "Vous savoir le suite," dire le Chapelier ; et il continuer : # "C'être que j'avoir du dragée, # Et que je le avoir manger." # Ici le Loir se secouer et se mettre avoir chanter, tout en dormir : "Et que je le avoir manger, manger, manger, manger, manger," si longtemps, qu'il falloir le pincer pour le faire taire. # "Eh bien, j'avoir à peiner finir le premier couplet," dire le Chapelier, "que le Reine hurler : Ah ! c'être comme cela que vous tuer le temps ! Qu'on lui couper le tête ! '" # "Quelle cruauté !" s'écrier Alice. # "Et, depuis lors," continuer le Chapelier avec tristesse, "le Temps ne vouloir rien faire de ce que je lui demander. Il être toujours six heure maintenant." # Une brillant idée traverser l'esprit d'Alice. " Est-ce pour cela qu'il y avoir tant de tasse à thé ici ? " demander-t-elle. # "Oui, c'être cela," dire le Chapelier avec un soupir ; "il être toujours l'heure du thé, et nous n'avoir pas le temps de laver le vaisselle dans l'intervalle." # "Alors vous faire tout le tour de le table, je supposer ?" dire Alice. # "Justement," dire le Chapelier, "à mesurer que le tasse avoir servir." # "Mais, qu'arriver-t-il lorsque vous vous retrouver au commencement ?" se hasarder de dire Alice. # "Si nous changer de conversation," interrompre le Lièvre en bâiller ; "celui-ci commencer à me fatiguer. je proposer que le petit demoiselle nous conter un histoire." # "J'avoir bien peur de n'en pas savoir," dire Alice, que ce proposition alarmer un peu. # "Eh bien, le Loir aller nous en dire un," crier-il tout deux. "Allons, Loir, réveiller-vous !" et il le pincer du deux côté à le foi|fois. # le Loir ouvrir lentement le oeil. "je ne dormir pas," dire-il d'un voix faible et enrouer. "je n'avoir pas perdre un mot de ce que vous avoir dire, vous autre." # "Racontez-nous un histoire," dire le Lièvre. # "Ah ! Oui, je vous en prier," dire Alice d'un ton supplier. # "Et faire vite," ajouter le Chapelier, "sans celer vous aller vous rendormir avant de vous mettre en train." # "Il y avoir un foi|fois trois petit soeur," commencer bien vite le Loir, "qui s'appeler Elsie, Lacie, et Tillie, et elle vivre au fond d'un puits." # "De quoi vivre-elle ?" dire Alice, qui s'intéresser toujours au question de boire ou de manger. # "Elles vivre de mélasse," dire le Loir, après avoir réfléchir un instant. # "Ce n'être pas possible, comprendre donc," faire doucement observer Alice ; "cela le avoir rendre malade." # "Et en effet," dire le Loir, "elle être très-malade." # Alice chercher à se figurer un peu l'effet que produire sur elle un manière de vivre si extraordinaire, mais celer lui paraître trop embarrasser, et elle continuer : "Mais pourquoi vivre-elle au fond d'un puits ?" # "Prenez un peu plus de thé," dire le Lièvre à Alice avec empressement. "je n'en avoir pas prendre du tout," répondre Alice d'un air offenser. "je ne pouvoir donc pas en prendre un peu plus." # "Vous vouloir dire que vous ne pouvoir pas en prendre moins," dire le Chapelier. "Il être très-aisé de prendre un peu plus que pas du tout." # "On ne vous avoir pas demander votre avis, à vous," dire Alice. # "Ah ! qui être-ce qui se permettre de faire du observation ?" demander le Chapelier d'un air triomphant. # Alice ne savoir pas trop que répondre à celer. Aussi se servir-elle un peu de thé et un tartiner de pain et de beurrer ; puis elle se tourner du côté du Loir, et répéter son question. "Pourquoi vivre-elle au fond d'un puits ?" # le Loir réfléchir de nouveau pendant quelque instant et dire : " C'être un puits de mélasse." # "Il n'en exister pas !" se mettre à dire Alice d'un ton courroucer. Mais le Chapelier et le Lièvre faire "Chut ! Chut !" et le Loir faire observer d'un ton bourru : "Tâchez d'être polir, ou finir l'histoire vous-même." # "Non, continuer, je vous prier," dire Alice très-humblement. "je ne vous interrompre plus ; pouvoir-être en exister-t-il un." # "Un, vraiment !" dire le Loir avec indignation ; toutefois il vouloir bien continuer. "Donc, ce trois petit soeur, vous savoir qu'elle faire tout ce qu'elle pouvoir pour s'en tirer." # "Comment avoir-elle pouvoir s'en tirer ?" dire Alice, oublier tout à faire son promesse. # "C'être tout simple - " # "Il me falloir un tasser propre," interrompre le Chapelier. "Avançons tout d'un place." # Il avancer tout en parler, et le Loir le suivre ; le Lièvre prendre le placer du Loir, et Alice prendre, d'assez mauvais grâce, celui du Lièvre. le Chapelier être le seul qui gagner au changer ; Alice se trouver bien plus mal partager qu'auparavant, car le Lièvre venir de renverser le lait dans son assiette. # Alice, craindre d'offenser le Loir, reprendre avec circonspection : "Mais je ne comprendre pas ; comment avoir-elle pouvoir s'en tirer ?" # "C'être tout simple," dire le Chapelier. "Quand il y avoir de l'eau dans un puits, vous savoir bien comment on en tirer, n'être-ce pas ? Eh bien d'un puits de mélasse on tirer de le mélasse, et quand il y avoir du petit fille dans le mélasse on le tirer en même temps ; comprendre-vous, petit sot ?" # "Pas tout à faire," dire Alice, encore plus embarrasser par ce réponse. # # # # # # # # # "Alors vous faire bien de vous taire," dire le Chapelier. # Alice trouver ce grossièreté un peu trop fort ; elle se lever indigner et s'en aller. le Loir s'endormir à l'instant même, et le deux autre ne prendre pas garder à son départ, bien qu'elle regarder en arriérer deux ou trois foi|fois, espérer presque qu'il le rappeler. le dernier foi|fois qu'elle le vivre, il chercher à mettre le Loir dans le théier. # "à aucun prix je ne vouloir retourner auprès de ce gens-là," dire Alice, en chercher son chemin à travers le bois. "C'être le thé le plus ridicule auquel j'avoir assister de mon vie ! " # Comme elle dire cela, elle s'apercevoir qu'un du arbre avoir un porter par lequel on pouvoir pénétrer à l'intérieur. "Voilà qui être curieux," penser-t-elle. "Mais tout être curieux aujourd'hui. je croire que je faire bien d'entrer tout de suite." Elle entrer. # Elle se retrouver encore dans le longue salle tout près de le petit tabler de verre. "Cette foi|fois je m'y prendre mieux," se dire-elle, et elle commencer par saisir le petit clef d'or et par ouvrir le porter qui mener au jardin, et puis elle se mettre à grignoter le morceau de champignon qu'elle avoir mettre dans son pocher, jusqu'à ce qu'elle être réduire à environ deux pied de haut ; elle prendre alors le petit passager ; et enfin - elle se trouver dans le superbe jardin au milieu du brillant parterre et du frais fontaine. "Cette foi|fois je m'y prendre mieux," se dire-elle, et elle commencer par saisir le petit clef d'or et par ouvrir le porter qui mener au jardin, et puis elle se mettre à grignoter le morceau de champignon qu'elle avoir mettre dans son pocher, jusqu'à ce qu'elle être réduire à environ deux pied de haut ; elle prendre alors le petit passager ; et enfin - elle se trouver dans le superbe jardin au milieu du brillant parterre et du frais fontaine. # CHAPITRE VIII. LE CROQUET DE LA Reine. # Un grand rosier se trouver à l'entrée du jardin ; le rose qu'il porter être blanc, mais trois jardinier être en train de le peindre en rouge. Alice s'avancer pour le regarder, et, au moment où elle approcher, elle en entendre un qui dire : "Fais donc attention, Cinq, et ne m'éclabousser pas ainsi avec ton peinturer." # "Ce n'être pas de mon faute," dire Cinq d'un ton bourru, "c'être Sept qui m'avoir pousser le couder." # Là-dessus Sept lever le oeil et dire : "C'être cela, Cinq ! Jetez toujours le blâmer sur le autre !" # "Vous faire bien de vous taire, vous," dire Cinq. "J'avoir entendre le Reine dire pas plus tard que hier que vous mériter d'être décapiter !" # "Pourquoi donc celer ? dire celui qui avoir parler le premier. # "Cela ne vous regarder pas, Deux," dire Sept. # "Si faire, celer le regarder," dire Cinq ; "et je aller le lui dire. C'être pour avoir apporter à le cuisinier|cuisinière du oignon de tulipe au lieu d'oignon à manger." # Sept jeter là son pinceau et s'écrier : " De tout le injustice - " lorsque son regard tomber par hasard sur Alice, qui rester là à le regarder, et il se retenir tout à coup. le autre se retourner aussi, et tout faire un profond salut. # "Voudriez-vous avoir le bonté de me dire pourquoi vous peigner|peindre ce rose ?" demander Alice un peu timidement. # Cinq et Sept ne dire rien, mais regarder Deux. Deux commencer à voix bas : "le faire être, voir-vous, mademoiselle, qu'il devoir y avoir ici un rosier à fleur rouge, et nous en avoir mettre un à fleur blanc, par erreur. Si le Reine s'en apercevoir nous avoir tout le tête trancher, vous comprendre. Aussi, mademoiselle, vous voir que nous faire de notre mieux avant qu'elle venir pour — " à ce moment Cinq, qui avoir regarder tout le temps avec inquiétude de l'autre côté du jardin, s'écrier : "le Reine ! le Reine !" et le trois ouvrier se précipiter aussitôt le face contre terre. Il se faire un grand bruir de pas, et Alice se retourner, désireux de voir le Reine. # D'abord venir du soldat porter du pique ; il être tout faire comme le jardinier, long et plat, le main et le pied au coin ; ensuite venir le dix courtisan. Ceux-ci être tout parer de carreau de diamant et marcher deux à deux comme le soldat. Derrière eux venir le enfant de le Reine ; il y en avoir dix, et le petit chérubin gambader joyeusement, se tenir par le main deux à deux ; il être tout orner de coeur. Après eux venir le invité, du roi et du reine pour le plupart. Dans le nombre, Alice reconnaître le Lapin Blanc. Il avoir l'air émouvoir et agiter en parler, sourire à tout ce qu'on dire, et passer sans faire attention à elle. Suivait le Valet de Coeur, porter le couronne sur un coussin de velours ; et, fermer ce longue procession, LE ROI ET LA Reine DE COEUR. # Alice ne savoir pas au juste si elle devoir se prosterner comme le trois jardinier ; mais elle ne se rappeler pas avoir jamais entendre parler d'un pareil formalité. "Et d'ailleurs à quoi servir le procession," penser-t-elle, " si le gens avoir à se mettre le face contre terre de façon à ne pas le voir ?" Elle rester donc debout à son placer et attendre. # Quand le procession être arrivé|arrivée en face d'Alice, tout le monde s'arrêter pour le regarder, et le Reine dire sévèrement : "Qui être-ce ?" Elle s'adresser au Valet de Coeur, qui se contenter de saluer et de sourire pour tout réponse. # "idiot !" dire le Reine en rejeter le tête en arriérer avec impatience ; et, se tourner vers Alice; elle continuer : "Votre nom, petit ?" # "je me nommer Alice, s'il plaire à Votre Majesté," dire Alice fort poliment. Mais elle ajouter en elle-même : "Ces gens-là ne être, après tout, qu'un paquet de carte. Pourquoi en avoir-je peur ?" # "Et qui être celui-ci ?" dire le Reine, montrer du doigt le trois jardinier étendre autour du rosier. Car vous comprendre que, comme il avoir le face contre terre et que le dessin qu'il avoir sur le dos être le même que celui du autre carte du paquet, elle ne pouvoir savoir s'il être du jardinier, du soldat, du courtisan, ou bien trois de son propre enfant. # "Comment vouloir-vous que je le savoir ? Dit Alice avec un courage qui le surprendre elle-même." Cela n'être pas mon affairer à moi." # le Reine devenir pourprer de colérer ; et après l'avoir considérer un moment avec du oeil flamboyant comme celui d'un bête fauve, elle se mettre à crier : "Qu'on lui couper le tête !" # "Quelle idée !" dire Alice très-haut et d'un ton décider. le Reine se taire. # le Roi lui poser le main sur le bras, et lui dire timidement : "Considérez donc, mon chérer ami, que ce n'être qu'un enfant." # le Reine lui tourner le dos avec colère, et dire au Valet : "Retournez-le !" # Ce que faire le Valet très-soigneusement du bout du pied. # "Debout !" dire le Reine d'un voix fort et strident. le trois jardinier se relever à l'instant et se mettre à saluer le Roi, le Reine, le jeune prince, et tout le monde. # "Finissez !" crier le Reine. "Vous m'étourdir." Alors, se tourner vers le rosier, elle continuer : "Qu'être-ce que vous faire donc là ?" # "Avec le bon plaisir de Votre Majesté," dire Deux d'un ton très-humble, mettre un genou en terre, "nous tacher -" # "je le voir bien !" dire le Reine, qui avoir pendant ce temps examiner le rose. "Qu'on leur couper le tête !" Et le procession continuer son route, trois du soldat rester en arriérer pour exécuter le malheureux jardinier, qui courir se mettre sous le protection d'Alice. # "Vous ne être pas décapiter," dire Alice ; et elle le mettre dans un grand pot à fleur qui se trouver près de là. le trois soldat errer de côté et d'autre, pendant un ou deux minute, pour le chercher, puis s'en aller tranquillement rejoindre le autre. # "Leur avoir-t-on couper le tête ?" crier le Reine. # "Leurs tête n'y être plus, s'il plaire à Votre Majesté !" lui crier le soldat. # "C'être bien !" crier le Reine. "Savez-vous jouer au croquet ? " # le soldat ne souffler mot, et regarder Alice, car, évidemment, c'être à elle que s'adresser le question. # "Oui," crier Alice. # "Eh bien, venir !" hurler le Reine ; et Alice se joindre à le procession, fort curieux de savoir ce qui aller arriver. # "Il faire un bien beau temps aujourd'hui," dire un voix timide à côté d'elle. Elle marcher auprès du Lapin Blanc, qui le regarder d'un oeil inquiet. # "Bien beau," dire Alice. " Où être le Duchesse ?" # "Chut ! Chut !" dire vivement le Lapin à voix bas et en regarder avec inquiétude par-dessus son épauler. Puis il se lever sur le pointer pied, coller son boucher à l'oreille d'Alice et lui souffler : "Elle être condamner à mort." # "Pour quel raison ?" dire Alice. # "Avez-vous dire : 'quel dommage' ? " demander le Lapin. # "Non," dire Alice. "je ne penser pas du tout que ce soit dommage. J'avoir dire : `pour quel raison ? ' " # "Elle avoir donner du soufflet à le Reine," commencer le Lapin. (Alice faire entendre un petit éclat de rire.) "Oh, chut ! " dire tout bas le Lapin d'un ton effrayer|effrayer." le Reine aller nous entendre ! Elle être arrivé|arrivée un peu tard, voir-vous, et le Reine avoir dire - " # "à votre place !" crier le Reine d'un voix de tonnerre, et le gens se mettre à courir dans tout le direction, trébuchant le un contre le autre ; toutefois, au bout de quelque instant chacun être à son placer et le partie commencer. Alice n'avoir de son vie vu de jeu de croquet aussi curieux que celui-là. le terrain n'être que biller et siller ; du hérisson vivant servir de boule, et du flamant de maillet. le soldat, courber en deux, avoir à se tenir le tête et le pied sur le sol pour former du arche. # Ce qui embarrasser le plus Alice au commencement du jeu, ce être de manier le flamant ; elle parvenir bien à fourrer son corps assez commodément sous son bras, en laisser pendre le pied ; mais, le plus souvent, à peiner lui avoir- elle allonger le cou bien comme il falloir, et aller-elle frapper le hérisson avec le tête, que le flamant se relever en se tordre, et le regarder d'un air si ébahir qu'elle ne pouvoir s'empêcher d'éclater de rire ; et puis, quand elle lui avoir faire baisser le tête et aller recommencer, il être bien impatienter de voir que le hérisson s'être dérouler et s'en aller. En outre, il se trouver ordinairement un billon ou un sillon dans son chemin partout oh elle vouloir envoyer le hérisson, et comme le soldat courber en deux se relever sans cesser pour s'en aller d'un autre côté du terrain, Alice en venir bientôt à ce conclusion : que c'être là un jeu fort difficile, en vérité. # le joueur jouer tout à le foi|fois, sans attendre leur tour, se quereller tout le temps et se battre à qui avoir le hérisson. le Reine entrer bientôt dans un colérer furieux et se mettre à trépigner en crier : "Qu'on couper le tête à celui-ci !" ou bien : "Qu'on couper le tête à celui-là !" un foi|fois environ par minuter. # Alice commencer à se sentir très-mal à l'aise ; il être vrai qu'elle ne s'être pas disputer avec le Reine ; mais elle savoir que cela pouvoir lui arriver à, tout moment. "Et alors," penser-elle, "que devenir-je ? Ils aimer terriblement à couper le tête au gens ici. Ce qui m'étonner, c'être qu'il en rester encore de vivant." # Elle chercher autour d'elle quelque moyen de s'échapper, et se demander si elle pouvoir se retirer sans être vue ; lorsqu'elle apercevoir en l'air quelque chose d'étrange ; ce apparition l'intriguer beaucoup d'abord, mais, après l'avoir considérer quelque instant, elle découvrir que c'être un grimacer, et se dire en elle-même, "C'être le Grimaçon ; maintenant j'avoir à qui parler." # "Comment celer aller-t-il ?" dire le Chat, quand il y avoir assez de son boucher pour qu'il pouvoir parler. # Alice attendre que le oeil paraître, et lui faire alors un signer de tête amical. "il être inutile de lui parler," penser-elle, "avant que son oreille être venir, l'un d'elle tout au moins." Une minuter après, le tête se montrer tout entier, et alors Alice poser à terre son flamant et se mettre à raconter son partie de croquet, enchanter d'avoir quelqu'un qui l'écouter. le Chat trouver apparemment qu'il s'être assez mettre en vue ; car son tête être tout ce qu'on en apercevoir. # "Ils ne jouer pas du tout franc jeu," commencer Alice d'un ton de mécontentement," et il se quereller tout si fort, qu'on ne pouvoir pas s'entendre parler ; et puis on dire qu'il n'avoir aucun régler préciser ; du moins, s'il y avoir du règle|règles, personne ne le suivre. Ensuite vous n'avoir pas idée comme celer embrouiller que tout le instrument du jeu être vivant ; par exemple, voilà l'arche par lequel j'avoir à passer qui se promener là-bas à l'autre bouillir du jeu, et j'avoir faire croquet sur le hérisson de le Reine tout à l'heure, s'il ne s'être pas sauver en voir venir le mien !" # "Est-ce que vous aimer le Reine ?" dire le Chat à voix bas. # "Pas du tout," dire Alice. "Elle être si - " Au même instant elle apercevoir le Reine tout près derrière elle, qui écouter ; alors elle continuer : "si sûr de gagner, que ce n'être guère le peiner de finir le partie." # le Reine sourire et passer. # "Avec qui causer-vous donc là," dire le Roi, s'approcher d'Alice et regarder avec un extrême curiosité le tête du Chat. # "C'être un de mon ami, un Grimaçon," dire Alice : "permettre-moi de vous le présenter." # "Sa miner ne me plaire pas du tout," dire le Roi. "Pourtant il pouvoir me baiser le main, si celer lui faire plaisir." # "Non, grand merci," dire le Chat. # "Ne faire pas l'impertinent," dire le Roi, " et ne me regarder pas ainsi !" Il s'être mettre derrière Alice en dire ce mot. # "Un chat pouvoir bien regarder un roi," dire Alice. "J'avoir lire quelque chose comme celer dans un livre, mais je ne me rappeler pas où." # "Eh bien, il falloir le faire enlever," dire le Roi d'un ton très-décider ; et il crier à le Reine, qui passer en ce moment : " Mon ami, je désirer que vous faire enlever ce chat ! " # le Reine n'avoir qu'un seul manière de trancher le difficulté, petit ou grand. "Qu'on lui couper le tête!" dire-elle sans même se retourner. # "je aller moi-même chercher le bourreau," dire le Roi avec empressement ; et il s'en aller précipitamment. # Alice penser qu'elle faire bien de retourner voir où en être le partie, car elle entendre au loin le voix de le Reine qui crier de colère. Elle l'avoir déjà entendre condamner trois du joueur à avoir le tête couper, parce qu'il avoir laisser passer leur tour, et elle n'aimer pas du tout le tournure que prendre le chose ; car le jeu être si embrouiller qu'elle ne savoir jamais quand venir son tour. Elle aller à le rechercher de son hérisson. # Il être en train de se battre avec un autre hérisson ; ce qui paraître à Alice un excellent occasion de faire croquet de l'un sur l'autre. Il n'y avoir à cela qu'un difficulté, et c'être que son flamant avoir passé de l'autre côté du jardin, où Alice le voir qui faire de vain effort pour s'enlever et se percher sur un arbre. # Quand elle avoir rattraper et ramener le flamant, le batailler être terminer, et le deux hérisser avoir disparaître. "Mais celer ne faire pas grand'chose," penser Alice, "puisque, tout le arche avoir quitter ce côté de le pelouse." Elle remettre donc le flamant sous son bras pour qu'il ne lui échapper plus, et retourner causer un peu avec son ami. # Quand elle revenir auprès du Chat, elle être surprendre de trouver un grand fouler rassembler autour de lui. Une discussion avoir lieu entre le bourreau, le Roi, et le Reine, qui parler tout à le foi|fois, tandis que le autre ne souffler mot et sembler très-mal à l'aise. # Dès que paraître Alice, il en appeler à elle tout le trois pour qu'elle décider le question, et lui répéter leur raisonnement. Comme il parler tout à le foi|fois, elle avoir beaucoup de peiner à comprendre ce qu'il dire. # le raisonnement du bourreau être : qu'on ne pouvoir pas trancher un tête, à moins qu'il n'y avoir un corps d'où l'on pouvoir le couper ; que jamais il n'avoir avoir pareil chose à faire, et que ce n'être pas à son âge qu'il aller commencer. # le raisonnement du Roi être : que tout ce qui avoir un tête pouvoir être décapiter, et qu'il ne falloir pas dire du chose qui n'avoir pas de bon sen|sens. # le raisonnement de le Reine être : que si le question ne se décider pas en moins de rien, elle faire trancher le tête à tout le monde à le rond. (C'être ce dernier observation qui avoir donner à tout le compagnie l'air si grave et si inquiet.) # Alice ne trouver rien de mieux à dire que : "Il appartenir à le Duchesse ; c'être elle que vous faire bien de consulter à ce sujet." # "Elle être en prison," dire le Reine au bourreau. "Qu'on l'amener ici." Et le bourreau partir comme un trait. # le tête du Chat commencer à s'évanouir aussitôt que le bourreau être partir, et elle avoir complétement disparaître quand il revenir accompagner de le Duchesse ; de sorte que le Roi et le bourreau se mettre à courir de côté et d'autre comme du foutre pour trouver ce tête, tandis que le rester de le compagnie retourner au jeu. # CHAPITRE IX. Histoire DE LA FAUSSE-TORTUE. # "Vous ne saurer croire combien je suivre|être heureux de vous voir, mon bon vieux fille!" dire le Duchesse, passer amicalement son bras sous celui d'Alice, et elle s'éloigner ensemble. # Alice être bien contenter de le trouver de si bon humeur, et penser en elle-même que c'être pouvoir-être le poivrer qui l'avoir rendre si méchant, lorsqu'elle se rencontrer dans le cuisine. # "Quand je être Duchesse, moi," se dire-elle (d'un ton qui exprimer peu d'espérance cependant), "je n'avoir pas de poivrer dans mon cuisine, pas le moindre grain le souper pouvoir très-bien s'en passer. Ça pouvoir bien être le poivrer qui échauffer le biler du gens," continuer-t-elle, enchanter d'avoir faire ce découvert ; "cela pouvoir bien être le vinaigrer qui le aigrir ; le camomille qui le rendre amer ; et le sucrer d'orge et d'autre chose du même genre qui adoucir le caractère du enfant. je vouloir bien que tout le monde savoir celer ; on ne être pas si chiche de sucrerie, voir- vous." # Elle avoir alors complétement oublier le Duchesse, et tressaillir en entendre son voix tout près de son oreille. "Vous penser à quelque chose, mon chérer petit, et celer vous faire oublier de causer. je ne puis pas vous dire en ce moment quel être le moral de ce faire, mais je m'en souvenir tout à l'heure." # "Peut-être n'y en avoir-t-il pas," se hasarder de dire Alice. # "Bah, bah, mon enfant ! dire le Duchesse. "Il y avoir un moral à tout, si seulement on pouvoir le trouver." Et elle se serrer plus près d'Alice en parler. # Alice n'aimer pas trop qu'elle se tenir si près d'elle ; d'abord parce que le Duchesse être très-laid, et ensuite parce qu'elle être juste assez grand pour appuyer son menton sur l'épaule d'Alice, et c'être un menton très-désagréablement pointu. Pourtant elle ne vouloir pas être impoli, et elle supporter celer de son mieux. # "le partie aller un peu mieux maintenant," dire-elle, afin de soutenir le conversation. # "C'être vrai," dire le Duchesse ; "et le moral en être : Oh c'être l'amour, l'amour qui faire aller le monde à, le rond !'" # "Quelqu'un avoir dire," murmurer Alice, "que c'être quand chacun s'occuper de son affaire que le monde n'en aller que mieux." # "Eh bien ! Cela signifier presque le même chose," dire le Duchesse, qui enfoncer son petit menton pointu dans l'épaule d'Alice, en ajouter : "Et le moral en être : Un chien valoir mieux que deux gros rat.'" # "Comme elle aimer à trouver du moral partout !" penser Alice. # "je parier que vous vous demander pourquoi je ne passer pas mon bras autour de votre taille," dire le Duchesse après un pauser : "le raison en être que je ne me fier pas trop à votre flamant. Voulez-vous que j'essayer ?" # " Il pouvoir mordre," répondre Alice, qui ne se sentir pas le moindre envier de faire l'essai proposer. # "C'être bien vrai," dire le Duchesse ; "le flamant et le moutarder mordre tout le deux, et le moral en être : Qui se ressembler, s'assembler.'" # "Seulement le moutarder n'être pas un oiseau," répondre Alice. # "Vous avoir raison, comme toujours," dire le Duchesse ; "avec quel clarté vous présenter le chose !" # "C'être un minéral, je croire," dire Alice. # "Assurément," dire le Duchesse, qui sembler prêter à approuver tout ce que dire Alice ; "il y avoir un bon miner de moutarder près d'ici ; le moral en être qu'il falloir faire bon miner à tout le monde !" # "Oh ! je savoir," s'écrier Alice, qui n'avoir pas faire attention à ce dernier observation, "c'être un végétal ; cela n'en avoir pas l'air, mais c'en être un." # "je suivre|être tout à faire de votre avis," dire le Duchesse, "et le moral en être : 'Soyez ce que vous vouloir paraître ;' ou, si vous vouloir que je le dire plus simplement : 'Ne vous imaginer jamais de ne pas être autrement que ce qu'il pouvoir sembler au autre que ce que vous être ou avoir pouvoir être n'être pas autrement que ce que vous avoir être leur avoir paraître être autrement.'" # "Il me sembler que je comprendre mieux cela," dire Alice fort, poliment, "si je l'avoir par écrire : mais je ne pouvoir pas très-bien le suivre comme vous le dire." # "Cela n'être rien auprès de ce que je pouvoir dire si je vouloir," répondre le Duchesse d'un ton satisfaire. # "je vous en prier, ne vous donner pas peiner d'allonger davantage votre explication," dire Alice. # " Oh ! ne parler pas de mon peiner," dire le Duchesse ; "je vous faire cadeau de tout ce que j'avoir dire jusqu'à présent." # "Voilà un cadeau qui n'être pas cher !" penser Alice. "je suivre|être bien contenter qu'on ne faire pas de cadeau d'anniversaire comme celer !" Mais elle ne se hasarder pas à le dire tout haut. # "Encore à réfléchir ?" demander le Duchesse, avec un nouveau coup de son petit menton pointu. # "J'avoir bien le droit de réfléchir," dire Alice sèchement, car elle commencer à se sentir un peu ennuyer. # "à peu près le même droit," dire le Duchesse, "que le cocher de voler, et le mo—" # Mais ici, au grand étonnement d'Alice, le voix de le Duchesse s'éteindre au milieu de son mot favori, morale, et le bras qui être passé sous le sien commencer de trembler. Alice lever le oeil et voir le Reine en face d'elle, le bras croisé, sombrer et terrible comme un orage. # "Voilà un bien beau temps, Votre Majesté !" faire le Duchesse, d'un voix bas et tremblant. # "je vous en prévenir !" crier le Reine, trépigner tout le temps. "Hors d'ici, ou à bas le tête ! et celer en moins de rien ! Choisissez." # le Duchesse avoir bientôt faire son choix : elle disparaître en un clin d'oeil. # "Continuons notre partie," dire le Reine à, Alice ; et Alice, trop effrayer|effrayer pour souffler mot, le suivre lentement vers le pelouse. # le autre inviter, profiter de l'absence de le Reine, se reposer à l'ombre, mais sitôt qu'il le virer il se hâter de retourner au jeu, le Reine leur faire simplement observer qu'un instant de retard leur coûter le vie. # Tant que durer le partie, le Reine ne cesser de se quereller avec le autre joueur et de crier : "Qu'on couper le tête à celui-ci ! Qu'on couper le tête à celui-là !" Ceux qu'elle condamner être arrêter par le soldat qui, bien entendre, avoir à cesser de servir d'arche, de sorte qu'au bout d'un demi-heure environ, il ne rester plus d'arche, et tout le joueur, à l'exception du Roi, de le Reine, et d'Alice, être arrêter et condammés à avoir le tête trancher. # Alors le Reine cesser le jeu tout hors d'haleine, et dire à Alice : "Avez-vous vu le Fausse-Tortue ?" # "Non," dire Alice ; "je ne savoir même pas ce que c'être qu'un Fausse-Tortue." # "C'être ce dont on faire le souper à le Fausse-Tortue," dire le Reine. # "je n'en avoir jamais voir, et c'être le premier foi|fois que j'en entendre parler," dire Alice. # "Eh bien ! venir," dire le Reine, "et elle vous conter son histoire." # Comme elle s'en aller ensemble, Alice entendre le Roi dire à voix bas à tout le compagnie: "Vous être tout gracier." "Allons, voilà qui être heureux !" se dire-elle en elle-même, car elle être tout chagriner du grand nombre d'exécution que le Reine avoir ordonner. # Elles rencontrer bientôt un Griffon, étendre au soleil et dormir profondément. (Si vous ne savoir pas ce que c'être qu'un Griffon, regarder l'image.) "Debout ! paresseux," dire le Reine, "et mener ce petit demoiselle voir le Fausse-Tortue, et l'entendre raconter son histoire. Il falloir que je m'en retourner pour veiller à quelque exécuter que j'avoir ordonner ;" et elle partir laisser Alice seul avec le Griffon. le miner de ce animal ne plaire pas trop à Alice, mais, tout bien considérer, elle penser qu'elle ne courir pas plus de risque en rester auprès de lui, qu'en suivant ce Reine farouche. # le Griffon se lever et se frotter le oeil, puis il guetter le Reine jusqu'à ce qu'elle être disparaître ; et il se mettre à ricaner. "Quelle farcer !" dire le Griffon, moitié à partir soi, moitié à Alice. # "Quelle être le farce ?" demander Alice. # "Elle !" dire le Griffon. "C'être un idée qu'elle se faire ; jamais on n'exécuter personne, vous comprendre. Venez donc !" # "Tout le monde ici dire : 'Venez donc !'" penser Alice, en suivant lentement le Griffon. "Jamais de mon vie on ne m'avoir faire aller comme celer ; non, jamais !" # Ils ne faire pas beaucoup de chemin avant d'apercevoir dans l'éloignement le Fausse-Tortue asseoir, triste et solitaire, sur un petit récif, et, à mesurer qu'il approcher, Alice pouvoir l'entendre qui soupirer comme si son coeur aller se briser ; elle le plaindre sincèrement. "Quel être donc son chagrin ?" demander-t-elle au Griffon ; et le Griffon répondre, presque dans le même terme qu'auparavant : "C'être un idée qu'elle se faire ; elle n'avoir point de chagrin, vous comprendre. Venez donc !" # Ainsi il s'approcher de le Fausse-Tortue, qui le regarder avec de grand oeil plein de larme, mais ne dire rien. # "Cette petit demoiselle," dire le Griffon, "vouloir savoir votre histoire." # "je aller le lui raconter," dire le Fausse-Tortue, d'un ton grave et sourd : "Asseyez-vous tout deux, et ne dire pas un mot avant que j'avoir finir." # Ils s'asseoir donc, et pendant quelque minute, personne ne dire mot. Alice penser : "je ne voir pas comment elle pouvoir jamais finir si elle ne commencer pas." Mais elle attendre patiemment. # "Autrefois," dire enfin le Fausse-Tortue, "j'être un vrai Tortue." # Ces parole être suivre d'un long silencer interrompre seulement de temps à autre par ce exclamation du Griffon : " Hjckrrh !" et le soupir continuel de le Fausse-Tortue. Alice être sur le point de se lever et de dire : "Merci de votre histoire intéressant," mais elle ne pouvoir s'empêcher de penser qu'il devoir sûrement y en avoir encore à venir. Elle rester donc tranquille sans rien dire. # "Quand nous être petit," continuer le Fausse-Tortue d'un ton plus calme, quoiqu'elle laisser encore de temps à autre échapper un sanglot, "nous allier à l'école au fond de le mer. le maître|maîtresse être un vieux tortu ; nous l'appeler Chélonée." # "Et pourquoi l'appeler-vous Chélonée, si ce n'être pas son nom ?" # "Parce qu'on ne pouvoir s'empêcher de s'écrier en le voir : 'Quel long nez !'" dire le Fausse-Tortue d'un ton fâcher ; "vous être vraiment bien borner !" # "Vous devoir avoir honte de faire un question si simple !" ajouter le Griffon ; et puis tout deux garder le silence, le oeil fixer sur le pauvre Alice, qui se sentir prêter à rentrer sous terre. Enfin le Griffon dire à le Fausse-Tortue, "En avant, camarader ! Tachez d'en finir aujourd'hui !" et elle continuer en ce terme : # "Oui, nous allier à l'école dans le mer, bien que celer vous étonner." # "je n'avoir pas dire cela," interrompre Alice. # "Vous l'avoir dire," répondre le Fausse-Tortue. # "Taisez-vous donc," ajouter le Griffon, avant qu'Alice pouvoir reprendre le parole. le Fausse-Tortue continuer : # "nous recevoir le meilleur éducation possible ; au fait, nous allier tout le jour à l'école." # "Moi aussi, j'y avoir être tout le jour," dire Alice ; "il n'y avoir pas de quoi être si fier." # "Avec du 'en sus'" dire le Fausse-Tortue avec quelque inquiétude. # "Oui," dire Alice, " nous apprendre l'italien et le musique en savoir." # "Et le blanchissage ?" dire le Fausse-Tortue. # "Non, certainement !" dire Alice indigner. # "Ah ! Alors votre pension n'être pas vraiment du bon," dire le Fausse-Tortue comme soulager d'un grand poids. "Eh bien, à notre pension il y avoir au bas du prospectus : 'l'italien, le musique, et le blanchissage en savoir.'" # "Vous ne devoir pas en avoir grand besoin, puisque vous vivre au fond de le mer," dire Alice. # "je n'avoir pas le moyen de l'apprendre," dire en soupirer le Fausse-Tortue ; "je ne suivre que le cour|cours ordinaire." # "Qu'être-ce que c'être ?" demander Alice. # "à Luire et à Médire, celer aller sans dire," répondre le Fausse-Tortue ; "et puis le différent branche de l'Arithmétique : l'Ambition, le Distraction, l'Enjolification, et le Dérision." # "je n'avoir jamais entendre parler d'enjolification," se hasarder de dire Alice. "Qu'être-ce que c'être ?" # le Griffon lever le deux patte en l'air en signer d'étonnement. "Vous n'avoir jamais entendre parler d'enjolir ! " s'écrier-t-il. "Vous savoir ce que c'être que 'embellir,' je supposer ?" # "Oui," dire Alice, en hésiter : "celer vouloir dire – rendre — un chose — plus beau." # "Eh bien !" continuer le Griffon, "si vous ne savoir pas ce que c'être que 'enjolir' vous être vraiment niais." # Alice ne se sentir pas encourager à faire de nouveau question là-dessus, elle se tourner donc vers le Fausse-Tortue, et lui dire, "Qu'apprendre- vous encore ?" # "Eh bien, il y avoir le Grimoire," répondre le Fausse-Tortue en comptant sur son battoir ; "le Grimoire ancien et moderne, avec le Mérographie, et puis le Dédain ; le maître de Dédain être un vieux congre qui venir un foi|fois par semaine ; il nous enseigner à Dédaigner, à Esquiver et à Feindre à l'huître." # "Qu'être-ce que celer ?" dire Alice. # "Ah ! je ne pouvoir pas vous le montrer, moi," dire le Fausse-Tortue, "je suivre|être trop gêner, et le Griffon ne l'avoir jamais apprendre." # "je n'en avoir pas le temps," dire le Griffon, "mais j'avoir suivre le cour|cours du professeur de langue mourir ; c'être un vieux crabe, celui-là." # "je n'avoir jamais suivre son cour|cours," dire le Fausse-Tortue avec un soupir ; "il enseigner le Larcin et le Grève." # "C'être cela, c'être cela," dire le Griffon, en soupirer à son tour ; et ce deux créature se cacher le figurer dans leur patte. # "Combien d'heure de leçon avoir-vous par jour ?" dire Alice vivement, pour changer le conversation. # "Dix heure, le premier jour," dire le Fausse-Tortue ; "neuf heure, le second, et ainsi de suite." # "Quelle singulier méthode !" s'écrier Alice. # "C'être pour cela qu'on le appeler leçon," dire le Griffon, " parce que nous le laisser là peu à peu." # C'être là pour Alice un idée tout nouveau ; elle y réfléchir un peu avant de faire un autre observation. " Alors le onzième jour devoir être un jour de congé ?" # "Assurément," répondre le Fausse-Tortue. # "Et comment vous arranger-vous le douzième jour'?" s'empresser de demander Alice. # "En voilà assez sur le leçon," dire le Griffon intervenir d'un ton très-décider ; "parler-lui du jeu maintenant." # CHAPITRE X. LE QUADRILLE DE HOMARDS. # le Fausse-Tortue soupirer profondément et passer le dos d'un de son nageoire sur son oeil. Elle regarder Alice et s'efforcer de parler, mais le sanglot étouffer son voix pendant un ou deux minute. "On dire qu'elle avoir un os dans le gosier," dire le Griffon, et il se mettre à le secouer et à lui taper dans le dos. Enfin le Fausse-Tortue retrouver le voix, et, tandis que de gros larme couler le long de son joue, elle continuer : # "Peut-être n'avoir-vous pas beaucoup vivre au fond de le mer? "—(" Non," dire Alice)—" et pouvoir-être ne vous avoir-t-on jamais présenter à un homard ?' (Alice aller dire : "J'en avoir goûter un foi|fois —" mais elle se reprendre vivement, et dire : "Non, jamais.") "De sorte que vous ne pouvoir pas du tout vous figurer quel choser délicieux c'être qu'un quadriller de homard." # "Non, vraiment," dire Alice. "Qu'être-ce que c'être que ce danser-là ?" # "D'abord," dire le Griffon, "on se mettre en rang le long du bord de le mer # "On former deux rang," crier le Fausse-Tortue "du phoque, du tortu et du saumon, et ainsi de suite. Puis lorsqu'on avoir débarrasser le côte du gelée de mer -" # "Cela prendre ordinairement longtemps," dire le Griffon. # "- on avancer deux foi|fois -" # "Chacun avoir un homard pour danseur," crier le Griffon. # "Cela aller sans dire," dire le Fausse-Tortue. "Avancez deux foi|fois et balancer -" # "Changez de homard, et revenir dans le même ordre," continuer le Griffon. # "Et puis, vous comprendre," continuer le Fausse-Tortue, "vous jeter le -', # "le homard ! " crier le Griffon, en faire un bond en l'air. # "- aussi loin à le mer que vous le pouvoir —" # "Vous nager à leur poursuite ! !" crier le Griffon. # " - vous faire un cabrioler dans le mer ! ! !" crier le Fausse-Tortue, en cabrioler de tout côté comme un folle|fou. # "Changez encore de homard ! ! ! !" hurler le Griffon de tout son force|forces. # "- revenir à terre ; et — c'être là le premier figurer," dire le Fausse-Tortue, baisser tout à coup le voix ; et ce deux être|êtres, qui pendant tout ce temps avoir bondir de tout côté comme du fou, se rasseoir|rassir bien tristement et bien posément, puis regarder Alice. # "Cela devoir être un très-joli danser," dire timidement Alice. # "Voudriez-vous voir un peu comment cela se danser ?" dire le Fausse-Tortue. # "Cela me faire grand plaisir," dire Alice. # "Allons, essayer|essayer le premier figurer," dire le Fausse-Tortue au Griffon ; "nous pouvoir le faire sans homard, vous comprendre. Qui aller chanter ?" # "Oh chanter, vous," dire le Griffon ; "moi j'avoir oublier le parole." # Il se mettre donc à danser gravement tout autour d'Alice, lui marcher de temps à autre sur le pied quand il approcher trop près, et remuer leur patte de devant pour marquer le mesure, tandis que le Fausse-Tortue chanter très-lentement et très-tristement : # "nous n'aller plus à l'eau, Si tu n'avance tôt ; Ce Marsouin trop presser Va tout nous écraser. Colimaçon danser, Entre dans le danser ; # Sautons, danser, Avant de faire un plongeon." " je ne vouloir pas danser, je me f'rai|rais fracasser." "Oh !" reprendre le Merlan, "C'être pourtant bien plaire." Colimaçon danser, Entre dans le danser ; Sautons, danser, Avant de faire un plongeon. "je ne vouloir pas plonger, je ne savoir pas nager." —"le Homard et l'bateau D'sauv'tag' te tir'ront d'l'eau." Colimaçon danser, Entre dans le danser ; Sautons, danser, Avant de faire un plongeon. # # # # # # # "Merci ; c'être un danser très-intéressant à, voir danser," dire Alice, enchanter que ce être enfin finir ;" et je trouver ce curieux chanson du merlan si agréable !" # "Oh ! quant au merlan," dire le Fausse-Tortue, "il - vous le avoir voir, sans douter ?" # "Oui," dire Alice, "je le avoir souvent voir à dî- " elle s'arrêter tout court. # "je ne savoir pas où être Di," reprendre le Fausse-Tortue ; "mais, puisque vous le avoir voir si souvent, vous devoir savoir l'air qu'il avoir ?" # "je le croire," répliquer Alice, en se recueillir. "Ils avoir le queue dans le boucher - et être tout couvrir de mie de pain." # "Vous vous tromper à l'endroit de le mie de pain," dire le Fausse-Tortue : "le mie être enlever dans le mer, mais il avoir bien le queue dans le bouche, et le raison en être que —" Ici le Fausse-Tortue bâiller et fermer le oeil. "le raison et tout ce qui s'ensuivre," dire-elle au Griffon. # "le raison, c'être que le merlan," dire le Griffon, "vouloir absolument aller à le danser avec le homard. Alors on le jeter à le mer. Alors il avoir à tomber bien loin, bien loin. Alors il s'entrer le queue fortement dans le bouche. Alors il ne pouvoir plus l'en retirer. Voilà tout." # "Merci," dire Alice, "c'être très-intéresser ; je n'en avoir jamais tant apprendre sur le compter du merlan." # # # # # # # # # # # # # # # # "je proposer donc," dire le Griffon, "que vous nous raconter quelque-un de votre aventure." # "je pouvoir vous conter mon aventure à partir de ce matin," dire Alice un peu timidement ; "mais il être inutile de parler de le journée d'hier, car j'être un personne tout à faire différent alors." # "Expliquez-nous cela," dire le Fausse-Tortue. # "Non, non, le aventure d'abord," dire le Griffon d'un ton d'impatience ; "le explication prendre tant de temps." # Alice commencer donc à leur conter son aventure depuis le moment où elle avoir vu le Lapin Blanc pour le premier foi|fois. Elle être d'abord un peu troubler dans le commencement ; le deux créature se tenir si près d'elle, un de chaque côté, et ouvrer|ouvrir de si grand oeil et un si grand boucher ! Mais elle reprendre courage à mesurer qu'elle parler. le auditeur rester fort tranquille jusqu'à ce qu'elle arriver au moment de son histoire où elle avoir avoir à répéter à le chenille : "Vous être vieux, Père Guillaume," et où le mot lui être venir tout de travers, et alors le Fausse-Tortue pousser un long soupir et dire : "C'être bien singulier." # "Tout celer être on ne pouvoir plus singulier," dire le Griffon. # "Tout de travers," répéter le Fausse-Tortue d'un air rêveur. "je vouloir bien l'entendre réciter quelque chose à présent. Dites-lui de s'y mettre." Elle regarder le Griffon comme si elle lui croire de l'autorité sur Alice. # "Debout, et réciter: 'C'être le voix du canon,'" dire le Griffon. # "Comme ce être|êtres-là vous commander et vous faire répéter du leçon!" penser Alice ; " autant valoir être à l'école." Cependant elle se lever elle avoir le tête si plein du Quadrille de Homards, qu'elle savoir à peiner ce qu'elle dire, et que le mot lui venir tout drôlement : — # "C'être le voix du homard gronder comme le foudre: 'On m'avoir trop faire bouillir, il falloir que je me poudrer !' Puis, le pied en dehors, prendre le brosser en main, se faire bien beau vite il se mettre en train." # # # # "C'être tout différent de ce que je réciter quand j'être petit, moi," dire le Griffon. # "je ne l'avoir pas encore entendre réciter," dire le Fausse-Tortue ; "mais celer me faire l'effet d'un fameux galimatias." # Alice ne dire rien ; elle s'être rasseoir, le figurer dans son main, se demander avec étonnement si jamais le chose reprendre leur cour|cours naturel. # "je vouloir bien qu'on m'expliquer cela," dire le Fausse-Tortue. # "Elle ne pouvoir pas l'expliquer," dire le Griffon vivement. "Continuez, réciter le vers suivant." # "Mais, le pied en dehors," continuer opiniâtrement le Fausse-Tortue. "Pourquoi dire qu'il avoir le pied en dehors ?" # "C'être le premier position lorsqu'on apprendre à danser," dire Alice ; tout celer l'embarrasser fort, et il lui tarder de changer le conversation. # "Récitez le vers suivant," répéter le Griffon avec impatience ; "cela commencer : Passant près de chez lui - '" # Alice n'oser pas désobéir, bien qu'elle être sûr que le mot aller lui venir tout de travers. Elle continuer donc d'un voix tremblant : # "Passant près de chez lui, j'avoir voir, ne vous déplaire, Une huître et un hibou qui dîner fort à l'aise." # # # # # "à quoi bon répéter tout ce galimatias," interrompre le Fausse-Tortue, "si vous ne l'expliquer pas à mesurer que vous le dire ? C'être, de beaucoup, ce que j'avoir entendre de plus embrouiller." # "Oui, je croire que vous faire bien d'en rester là," dire le Griffon ; et Alice ne demander pas mieux. # "Essaierons-nous un autre figurer du Quadrille de Homards ?" continuer le Griffon. "Ou bien, préférer-vous que le Fausse-Tortue vous chanter quelque chose ?" # "Oh ! un chanson, je vous prier ; si le Fausse-Tortue vouloir bien avoir ce obligeance," répondre Alice, avec tant d'empressement que le Griffon dire d'un air un peu offenser : "Hum ! Chacun son goût. Chantez-lui 'le Soupe à le Tortue,' hé ! camarader ! " # le Fausse-Tortue pousser un profond soupir et commencer, d'un voix de temps en temps étouffé|étouffée par le sanglot # "O doux potage, O mettre délicieux! Ah! pour partager, Quoi de plus précieux? # Plonger dans mon soupier Cette vaste cuillère Est un bonheur Qui me réjouir le coeur. # "Gibier, volaille, Lièvres, dinde, perdreau, Rien qui te valoir,— Pas même le pruneau! # Plonger dans mon soupier Cette vaste cuillère Est un bonheur Qui me réjouir le coeur." # # # "Bis au refrain !" crier le Griffon ; et le Fausse-Tortue venir de le reprendre, quand un cri, "le procès aller commencer !" se faire entendre au loin. # "Venez donc !" crier le Griffon ; et, prendre Alice par le main, il se mettre à courir sans attendre le fin de le chanson. # "Qu'être-ce que c'être que ce procès ?" demander Alice hors d'haleine ; mais le Griffon se contenter de répondre : "Venez donc !" en courant de plus beau, tandis que leur parvenir, de plus en plus faible, apporter par le briser qui le poursuivre, ce parole plein de mélancolie : # "Plonger dans mon soupier Cette vaste cuillère Est un bonheur Qui me réjouir le coeur." # CHAPITRE XI. QUI à VOLÉ LES TARTES ? # le Roi et le Reine de Coeur être asseoir sur leur trôner, entourer d'un nombreux assemblée : tout sorte de petit oiseau et d'autre bête, ainsi que le paquet de carte tout entier. le Valet, charger de chaîne, garder de chaque côté par un soldat, se tenir debout devant le trôner, et près du roi se trouver le Lapin Blanc, tenant d'un main un trompeter et de l'autre un rouleau de parchemin. Au beau milieu de le salle être un tabler sur lequel on voir un grand plat de tarte ; ce tarte sembler si bon que celer donner faim à Alice, rien que de le regarder. "je vouloir bien qu'on se dépêcher de finir le procès," penser-t-elle, "et qu'on faire passer le rafraîchissement," mais celer ne paraître guère probable, aussi se mettre-elle à regarder tout autour d'elle pour passer le temps. # C'être le premier foi|fois qu'Alice se trouver dans un cour de justice, mais elle en avoir lire du description dans le livre, et elle être tout contenter de voir qu'elle savoir le nom de presque tout ce qu'il y avoir là. "Ça, c'être le juger," se dire-elle ; "je le reconnaître à son grand perruquer." # le juger, dire-le en passer, être le Roi, et, comme il porter son couronner par-dessus son perruquer (regarder le frontispice, si vous vouloir savoir comment il s'être arranger) il n'avoir pas du tout l'air d'être à son aise, et celer ne lui aller pas bien du tout. # "Et cela, c'être le banc du jury," penser Alice ; "et ce douze créature" (elle être forcer de dire 'créature,' vous comprendre, car quelque-un être du bête et quelque autre du oiseau), "je supposer que ce être le juré ;" elle se répéter ce dernier mot deux ou trois foi|fois, car elle en être assez fier : penser avec raison que bien peu de petit fille de son âge savoir ce que celer vouloir dire. # le douze jurer être tout très-occuppés à écrire sur du ardoise. "Qu'être-ce qu'il faire là ?" dire Alice à l'oreille du Griffon. "Ils ne pouvoir rien avoir à écrire avant que le procès soit commencer." # "Ils inscrire leur nom," répondre de même le Griffon, "de peur de l'oublier avant le fin du procès." # "le niais !" s'écrier Alice d'un ton indigné, mais elle se retenir bien vite, car le Lapin Blanc crier : "Silence dans l'auditoire !" Et le Roi, mettre son lunette|lunettes, regarder vivement autour de lui pour voir qui parler. # Alice pouvoir voir, aussi clairement que si elle avoir regarder par-dessus leur épaule, que tout le juré être en train d'écrire "le niais" sur leur ardoise, et elle pouvoir même distinguer que l'un d'eux ne savoir pas écrire "niais" et qu'il être obligé de le demander à son voisin. "Leurs ardoise être dans un beau état avant le fin du procès !" penser Alice. # Un du juré avoir un crayon qui grincer ; Alice, vous le penser bien, ne pouvoir pas souffrir celer ; elle faire le tour de le salle, arriver derrière lui, et trouver bientôt l'occasion d'enlever le crayon. Ce être si tôt faire que le pauvre petit jurer (c'être Jacques, le lézard) ne pouvoir pas s'imaginer ce qu'il être devenir. Après avoir chercher partout, il être obligé d'écrire avec un doigt tout le rester du jour, et cela être fort inutile, puisque son doigt ne laisser aucun marquer sur l'ardoise. # "Héraut, lire|liser l'acte d'accusation !" dire le Roi. # Sur ce, le Lapin Blanc sonner trois foi|fois de le trompeter, et puis, dérouler le parchemin, lire ainsi qu'il suivre : # "le Reine de Coeur faire du tarte, Un beau jour de printemps; le Valet de Coeur prendre le tarte, Et s'en être tout content ! " # "Délibérez," dire le Roi au juré. # "Pas encore, pas encore," interrompre vivement le Lapin ; "il y avoir bien du chose à faire auparavant !" # "Appelez le témoin," dire le Roi ; et le Lapin Blanc sonner trois foi|fois de le trompeter, et crier "le premier témoin !" # le premier témoin être le Chapelier. Il entrer, tenant d'un main un tasser de thé et de l'autre un tartiner de beurre. "Pardon, Votre Majesté," dire il, "si j'apporter celer ici ; je n'avoir pas tout à faire finir de prendre mon thé lorsqu'on être venir me chercher." # "Vous avoir devoir avoir finir," dire le Roi ; "quand avoir-vous commencer ?" # le Chapelier regarder le Lièvre qui l'avoir suivre dans le salle, bras dessus bras dessous avec le Loir. "le Quatorze Mars, je croire bien," dire-il. # "le Quinze !" dire le Lièvre. # "le Seize !" ajouter le Loir. # "Notez cela," dire le Roi au juré. Et le juré s'empresser d'écrire le trois date sur leur ardoise ; puis en faire l'addition, dont il chercher à réduire le total en franc et centime. # "ôter votre chapeau," dire le Roi au Chapelier. # "Il n'être pas à moi," dire le Chapelier. # "Volé !" s'écrier le Roi en se tourner du côté du juré, qui s'empresser de prendre noter du fait. # "je le tenir en vente," ajouter le Chapelier, comme explication. "je n'en avoir pas à moi ; je suivre|être chapelier." # Ici le Reine mettre son lunette|lunettes, et se prendre à regarder fixement le Chapelier, qui devenir pâle et trembler. # "Faites votre déposition," dire le Roi ; "et ne être pas agiter ; sans celer je vous faire exécuter sur-le-champ." # Cela ne paraître pas du tout encourager le témoin ; il ne cesser de passer d'un pied sur l'autre en regarder le Reine d'un air inquiet, et, dans son trouble, il mordre dans le tasser et en enlever un grand morceau, au lieu de mordre dans le tartiner de beurre. # Juste à ce moment-là, Alice éprouver un étrange sensation qui l'embarrasser beaucoup, jusqu'à ce qu'elle se être rendre compter de ce que c'être. Elle recommencer à grandir, et elle penser d'abord à se lever et à quitter le cour ; mais, tout réflexion faire, elle se décider à rester où elle être, tant qu'il y avoir de le placer pour elle. # "Ne pousser donc pas comme cela," dire le Loir ; "je puis à peiner respirer." # "Ce n'être pas de mon faute," dire Alice doucement ; "je grandir." # "Vous n'avoir pas le droit de grandir ici," dire le Loir. # "Ne dire pas de sottise," répliquer Alice plus hardiment ; " vous savoir bien que vous aussi vous grandir." # "Oui, mais je grandir, raisonnablement, moi," dire le Loir ; "et non de ce façon ridicule." Il se lever en faire le miner, et passer de l'autre côté de le salle. # Pendant tout ce temps-là, le Reine n'avoir pas cesser de fixer le oeil sur le Chapelier, et, comme le Loir traverser le, salle, elle dire à un du officier du tribunal : "Apportez-moi le lister du chanteur du dernier concert." Sur quoi, le malheureux Chapelier se mettre à trembler si fortement qu'il en perdre son deux soulier. # "Faites votre déposition," répéter le Roi en colérer ; "ou bien je vous faire exécuter, que vous être troubler ou non !" # "je suivre|être un pauvre homme, Votre Majesté," faire le Chapelier d'un voix tremblant ;" et il n'y avoir guère qu'un semaine ou deux que j'avoir commencer à prendre mon thé, et avec cela le tartine devenir si mince et le dragée du thé -" # "le dragée de quoi ?" dire le Roi. # "Ça avoir commencer par le thé," répondre le Chapelier. # "je vous dire que dragée commencer par un d !" crier le Roi vivement. "Me prendre-vous pour un âne ? Continuez !" # "je suivre|être un pauvre homme," continuer le Chapelier; "et le dragée et le autre chose me faire perdre le tête. Mais le Lièvre dire - # "C'être faux !" s'écrier le Lièvre se dépêcher de l'interrompre. # "C'être vrai" crier le Chapelier. # "je le nier !" crier le Lièvre, # "Il le nier !" dire le Roi. "Passez là-dessus." # "Eh bien ! dans tout le cas, le Loir dire —" continuer le Chapelier, regarder autour de lui pour voir s'il nier aussi ; mais le Loir ne nier rien, car il dormir profondément. # "Après cela," continuer le Chapelier, "je me couper d'autre tartine de beurre." # "Mais, que dire le Loir ?" demander un du juré. # "C'être ce que je ne pouvoir pas me rappeler," dire le Chapelier. # "Il falloir absolument que vous vous le rappeler," faire observer le Roi ; "ou bien je vous faire exécuter." # le malheureux Chapelier laisser tomber son tasser et son tartiner de beurre, et mettre un genou en terre. "je suivre|être un pauvre homme, Votre Majesté !" commencer-t-il. # "Vous être un très-pauvre orateur," dire le Roi. # Ici un du cochon d'Inde applaudir, et être immédiatement réprimer par un du huissier. (Comme ce mot être assez difficile, je aller vous expliquer comment celer se faire. Ils avoir un grand sac de toiler qui se fermer à l'aide de deux ficelle attacher à l'ouverture ; dans ce sac il faire glisser le cochon d'Inde le tête le premier, puis il s'asseoir dessus.) # "je suivre|être contenter d'avoir vu cela," penser Alice. "J'avoir souvent lire dans le journal|journau, à le fin du procès : 'Il se faire quelque tentative d'applaudissement qui être bientôt réprimer par le huissier,' et je n'avoir jamais comprendre jusqu'à présent ce que cela vouloir dire." # " Si c'être là tout ce que vous savoir de l'affaire, vous pouvoir vous prosterner," continuer le Roi. # "je ne puis pas me prosterner plus bas que cela," dire le Chapelier ; "je suivre|être déjà par terre." # "Alors asseoir-vous," répondre le Roi. # Ici l'autre cochon d'Inde applaudir et être réprimer. # "Bon, celer mettre fin au cochon d'Inde !" penser Alice. "Maintenant cela aller mieux aller." # "J'aimer bien aller finir de prendre mon thé," dire le Chapelier, en lancer un regard inquiet sur le Reine, qui lire|liser le lister du chanteur. # "Vous pouvoir vous retirer," dire le Roi ; et le Chapelier se hâter de quitter le cour, sans même prendre le temps de mettre son soulier. # "Et couper-lui le tête dehors," ajouter le Reine, s'adresser à un du huissier ; mais le Chapelier être déjà bien loin avant que l'huissier arriver à le porte. # "Appelez un autre témoin," dire le Roi. # L'autre témoin, c'être le cuisinier|cuisinière de le Duchesse ; elle tenir le poivrière à le main, et Alice deviner qui c'être, même avant qu'elle entrer dans le salle, en voir éternuer, tout à coup et tout à le foi|fois, le gens qui se trouver près de le porte. # "Faites votre déposition," dire le Roi. # "Non !" dire le cuisinier|cuisinière. # le Roi regarder d'un air inquiet le Lapin Blanc, qui lui dire à voix bas : "Il falloir que Votre Majesté interroger ce témoin-là contradictoirement," # "Puisqu'il le falloir, il le falloir," dire le Roi, d'un air triste ; et, après avoir croiser le bras et froncer le sourcil en regarder le cuisinier|cuisinière, au point que le oeil lui être presque complétement rentrer dans le tête, il dire d'un voix creuser : "De quoi le tarte être-elle faire ?" # "De poivrer principalement !" dire le cuisinier|cuisinière. # "De mélasse," dire un voix endormir derrière elle. # "Saisissez ce Loir au collet !" crier le Reine. "Coupez le tête à ce Loir ! Mettez ce Loir à le porter ! Réprimez-le, pincer-le, arracher-lui son moustache !" # Pendant quelque instant, tout le cour être sen|sens dessus dessous pour mettre le Loir à le porter ; et, quand le calme être rétablir, le cuisinier|cuisinière avoir disparaître. # "Cela ne faire rien," dire le Roi, comme soulager d'un grand poids. " Appelez le troisième témoin ;" et il ajouter à voix bas en s'adresser à le Reine : "Vraiment, mon ami, il falloir que vous interroger ce autre témoin ; celer me faire trop mal au front !" # Alice regarder le Lapin Blanc tandis qu'il tourner le lister dans son doigt, curieux de savoir quel être l'autre témoin. "Car le déposition ne prouver pas grand'chose jusqu'à présent," se dire-elle. Imaginez son surprendre quand le Lapin Blanc crier, du plus fort de son petit voix criard : "Alice !" # CHAPITRE XII. DÉPOSITION D'Alice. # " Voilà " crier Alice, oublier tout à, faire dans le trouble du moment combien elle avoir grandir depuis quelque instant, et elle se lever si brusquement qu'elle accrocher le banc du juré avec le bord de son robe, et le renverser, avec tout son occupant, sur le tête de le fouler qui se trouver au-dessous, et on le vivre se débattre de tout côté, comme le poisson rouge du vase qu'elle se rappeler avoir renverser par accident le semaine précédent. # " Oh ! je vous demander bien pardon !" s'écrier-t-elle tout confus, et elle se mettre à le ramasser bien vite, car l'accident arriver au poisson rouge lui trotter dans le tête, et elle avoir un idée vaguer qu'il falloir le ramasser tout de suite et le remettre sur le banc, sans quoi il mourir. # "le procès ne pouvoir continuer," dire le Roi d'un voix grave, "avant que le juré être tout à leur place ; tout !" répéter-t-il avec emphase en regarder fixement Alice. # Alice regarder le banc du juré, et voir que dans son empressement elle y avoir placer le Lézard le tête en bas, et le pauvre petit être remuer le queue d'un triste façon, dans l'impossibilité de se redresser ; elle l'avoir bientôt retourner et replacer convenablement. "Non que celer soit bien importer," se dire-elle, "car je penser qu'il être tout aussi utile au procès le tête en bas qu'autrement." # Sitôt que le juré se être un peu remettre de le secousse, qu'on avoir retrouver et qu'on leur avoir rendre leur ardoise et leur crayon, il se mettre fort diligemment à écrire l'histoire de l'accident, à l'exception du Lézard, qui paraître trop accabler pour faire autre chose que demeurer le boucher ouvert, le oeil fixer sur le plafond de le salle. # "Que savoir-vous de ce affaire-là ? " demander le Roi à Alice. # "Rien," répondre-elle. # "Rien absolument ?" insister le Roi. # "Rien absolument," dire Alice. # "Voilà qui être très-important," dire le Roi, se tourner vers le juré. Ils aller écrire celer sur leur ardoise quand le Lapin Blanc interrompre : "Peu importer, vouloir dire Votre Majesté, sans doute," dire-il d'un ton très-respectueux, mais en froncer le sourcil et en lui faire du grimace. # "Peu importer, bien entendre, c'être ce que je vouloir dire," répliquer le Roi avec empressement. Et il continuer de répéter à demi-voix : " Très-important, peu importer, peu importer, très-important ;" comme pour essayer|essayer lequel du deux être le mieux sonner. # Quelques-un du juré écrire "très-important," d'autre, "peu important." Alice voir tout cela, car elle être assez près d'eux pour regarder sur leur ardoise. "Mais celer ne faire absolument rien," penser-t-elle. # à ce moment-là, le Roi, qui pendant quelque temps avoir être fort occuper à écrire dans son carnet, crier : "Silence !" et lire sur son carnet : "Règle Quarante-deux : Toute personne avoir un tailler de plus d'un mille de haut devoir quitter le cour." # Tout le monde regarder Alice. # "je n'avoir pas un mille de haut," dire-elle. # "Si faire," dire le Roi. # "Près de deux mille," ajouter le Reine. # "Eh bien ! je ne sortir pas quand même ; d'ailleurs ce régler n'être pas d'usage, vous venir de l'inventer." # "C'être le régler le plus ancien qu'il y avoir dans le livre," dire le Roi. # "Alors elle devoir porter le numéro Un." # le Roi devenir pâle et fermer vivement son carnet. "Délibérez," dire-il au juré d'un voix faible et tremblant. # "Il y avoir d'autre déposition à recevoir, s'il plaire à Votre Majesté," dire le Lapin, se lever précipitamment ; "on venir de ramasser ce papier." # "Qu'être-ce qu'il y avoir dedans ?" dire le Reine. # "je ne l'avoir pas encore ouvrir," dire le Lapin Blanc ; "mais on dire que c'être un lettrer écrire par l'accusé à - à quelqu'un." # "Cela devoir être ainsi," dire le Roi, "à moins qu'elle ne soit écrire à personne, ce qui n'être pas ordinaire, vous comprendre." # "à qui être-elle adresser ? " dire un du juré. # "Elle n'être pas adresser du tout," dire le Lapin Blanc ; "au fait, il n'y avoir rien d'écrire à l'extérieur." Il déplier le papier tout en parler et ajouter : "Ce n'être pas un lettre, après tout ; c'être un pièce de vers." # "Est-ce l'écriture de l'accusé ? " demander un autre jurer. # "Non," dire le Lapin Blanc, "et c'être ce qu'il y avoir de plus drôle." (le juré avoir tout l'air fort embarrasser.) # "Il falloir qu'il avoir imiter l'écriture d'un autre," dire le Roi. (le juré reprendre l'air serein.) # "Pardon, Votre Majesté," dire le Valet, "ce n'être pas moi qui avoir écrire ce lettre, et on ne pouvoir pas prouver que ce soit moi ; il n'y avoir pas de signature." # "Si vous n'avoir pas signer," dire le Roi, "cela ne faire qu'empirer le chose ; il falloir absolument que vous avoir avoir de mauvais intention, sans cela vous avoir signer, comme un honnête homme." # Là-dessus tout le monde battre du main ; c'être le premier réflexion vraiment bon que le Roi avoir faire ce jour-là. # "Cela prouver son culpabilité," dire le Reine. # "Cela ne prouver rien,", dire Alice. "Vous ne savoir même pas ce dont il s'agir." # "Lisez ce vers," dire le Roi. # le Lapin Blanc mettre son lunette|lunettes: "Par où commencer-je; s'il plaire à Votre Majesté ?" demander-t-il. # "Commencez par le commencement," dire gravement le Roi, "et continuer jusqu'à ce que vous arriver à le fin ; là, vous vous arrêter." # Voici le vers que lire le Lapin Blanc : # "On m'avoir dire que tu être chez elle Afin de lui pouvoir parler, Et qu'elle assurer, le cruel, Que je ne savoir pas nager! # Bientôt il leur envoyer dire (nous savoir fort bien que c'être vrai!) Qu'il ne falloir pas en médire, Ou gare le coup de balai! # J'en donner trois, elle en prendre un ; Combien donc en recevoir-nous ? (Il y avoir là quelque lacune.) Toutes revenir d'eux à vous. # Si vous ou moi, dans ce affaire, Étions par trop embarrasser, Prions qu'il nous laisser, confrère, Tous deux comme il nous avoir trouver. # Vous le avoir, j'en suivre|être certain, (Avant que de son nerf l'accès Ne bouleverser l'inhumain,) Trompés tout trois avec succès. # Cachez-lui qu'elle le préférer; Car ce devoir être, par mon foi, (Et être toujours, je l'espère) Un secret entre vous et moi." # "Voilà le pièce de conviction le plus important que nous avoir avoir jusqu'à présent," dire le Roi en se frotter le main ; "ainsi, que le jury maintenant -" # "S'il y avoir un seul du juré qui pouvoir l'expliquer," dire Alice (elle être devenir si grand dans ce dernier instant qu'elle n'avoir plus du tout peur de l'interrompre), "je lui donner un pièce de dix sous. je ne croire pas qu'il y avoir un atome de sen|sens commun là-dedans." # Tous le juré écrire sur leur ardoise : "Elle ne croire pas qu'il y avoir un atome de sen|sens commun là-dedans," mais aucun d'eux ne tenter d'expliquer le pièce de vers. # "Si elle ne signifier rien," dire le Roi, "cela nous épargner un monde d'ennui, vous comprendre car il être inutile d'en chercher l'explication ; et cependant je ne savoir pas trop," continuer-t-il en étaler le pièce de vers sur son genou et le regarder d'un oeil ; "il me sembler que j'y voir quelque chose, après tout. 'Que je ne savoir pas nager !' Vous ne savoir pas nager, n'être-ce pas ?" ajouter-t-il en se tourner vers le Valet. # le Valet secouer le tête tristement. "En avoir-je l'air," dire-il. (Non, certainement, il n'en avoir pas l'air, être faire tout entier de carton.) # "Jusqu'ici c'être bien," dire le Roi ; et il continuer de marmotter tout bas, "'nous savoir fort bien, que c'être vrai.' C'être le jury qui dire cela, bien sûr ! 'J'en donner trois, elle en prendre un ;' justement, c'être là ce qu'il faire du tarte, vous comprendre." # "Mais venir ensuite : 'Toutes revenir d'eux à vous,'" dire Alice. # "Tiens, mais le voici !" dire le Roi d'un air de triompher, montrer du doigt le tarte qui être sur le table. "Il n'y avoir rien de plus clair que celer ; encore : 'Avant que de son nerf l'accès.' Vous n'avoir jamais avoir d'attaque de nerf, je croire, mon épouser ?" dire-il à le Reine. # " Jamais !" dire le Reine d'un air furieux en jeter un encrier à le tête du Lézard. (le malheureux Jacques avoir cesser d'écrire sur son ardoiser avec un doigt, car il s'être apercevoir que celer ne faire aucun marquer ; mais il se remettre bien vite à l'ouvrage en se servir de l'encre qui lui découler le long de le figurer, aussi longtemps qu'il y en avoir.) # "Non, mon épouse, vous avoir trop bon air," dire le Roi, promener son regard tout autour de le salle et sourire. Il se faire un silencer de mort. # "C'être un calembour," ajouter le Roi d'un ton de colérer ; et tout le monde se mettre à rire. "Que le jury délibérer," ajouter le Roi, pour à peu près le vingtième foi|fois ce jour-là. # "Non, non," dire le Reine, "l'arrêt d'abord, on délibèrera après." # "Cela n'avoir pas de bon sen|sens !" dire tout haut Alice. "Quelle idée de vouloir prononcer l'arrêt d'abord !" # "Taisez-vous," dire le Reine, devenir pourprer de colère. # "je ne me taire pas," dire Alice. # "Qu'on lui couper le tête!" hurler le Reine de tout son force|forces. Personne ne bouger. # "On se moquer bien de vous," dire Alice (elle avoir alors atteindre tout son grandeur naturel). "Vous n'être qu'un paquet de carte !" # Là-dessus tout le paquet sauter en l'air et retomber en tourbillonner sur elle ; Alice pousser un petit cri, moitié de peur, moitié de colère, et essayer|essayer de le repousser ; elle se trouver étendre sur le gazon, le tête sur le genou de son soeur, qui écarter doucement de son figurer le feuille mourir tomber en voltiger du haut du arbre. # " Réveillez-vous, chérer Alice !" lui dire son soeur. "Quel long sommer vous venir de faire !" # "Oh ! j'avoir faire un si drôle de rêve," dire Alice ; et elle raconter à son soeur, autant qu'elle pouvoir s'en souvenir, tout le étrange aventure que vous venir de lire ; et, quand elle avoir finir son récit, son soeur lui dire en l'embrasser : "Certes, c'être un bien drôle de rêver ; mais maintenant courir à le maison prendre le thé ; il se faire tard." Alice se lever donc et s'éloigner en courir, penser le long du chemin, et avec raison, quel rêver merveilleux elle venir de faire. # Mais son soeur demeurer asseoir tranquillement, tout comme elle l'avoir laisser, le tête appuyer sur le main, contempler le coucher du soleil et penser à le petit Alice et à son merveilleux aventure ; si bien qu'elle aussi se mettre à, rêver, en quelque sorte ; et voici son rêver : — # D'abord elle rêver de le petit Alice personnellement : — le petit main de l'enfant être encore jointer sur son genou, et son oeil vif et brillant plonger leur regard dans le sien. Elle entendre jusqu'au son de son voix ; elle voir ce singulier petit mouvement de tête par lequel elle rejeter en arriérer le cheveu vagabond qui sans cesser lui revenir dans le oeil ; et, comme elle écouter ou paraître écouter, tout s'anima autour d'elle et se peupler du étrange créature du rêve de son jeune soeur. # le longue herbe bruir|bruire|bruisser à son pied sous le pas précipiter du Lapin Blanc ; le Souris effrayer|effrayer faire clapoter l'eau en traverser le mare voisiner ; elle entendre le bruir|bruire du tasse, tandis que le Lièvre et son ami prendre leur repas qui ne finir jamais, et le voix perçant de le Reine envoyer à le mort son malheureux inviter. Une foi|fois encore l'enfant-porc éternuer sur le genou de le Duchesse, tandis que le assiette et le plat se briser autour de lui ; un foi|fois encore le voix criard du Griffon, le grincement du crayon d'ardoise du Lézard, et le cri étouffer du cochon d'Inde mettre dans le sac par ordre de le cour, remplir le air, en se mêler au sanglot que pousser au loin le malheureux Fausse-Tortue. # C'être ainsi qu'elle demeurer asseoir, le oeil fermer, et se croire presque dans le Pays du Merveilles, bien qu'elle savoir qu'elle n'avoir qu'avoir rouvrir le oeil pour que tout être changer en un triste réalité : le herbe ne bruir plus alors que sous le souffler du vent, et l'eau de le mare ne murmurer plus qu'au balancement du roseau ; le bruir|bruire du tasse devenir le tintement du clochette au cou du mouton, et elle reconnaître le cri aigu de le Reine dans le voix perçant du petit berger ; l'éternuement du bébé, le cri du Griffon et tout le autre bruit étrange ne être plus, elle le savoir bien, que le clameur confus d'un cour de ferme, tandis que le beuglement du bestial dans le lointain remplacer le lourd sanglot de le Fausse-Tortue. # Enfin elle se représenter ce même petit soeur, dans l'avenir, devenir elle aussi un grand personne ; elle se le représenter conserver, jusque dans l'âge mûr, le coeur simple et aimer de son enfance, et réunir autour d'elle d'autre petit enfant dont elle faire briller le oeil vif et curieux au récit de bien du aventure étrange, et pouvoir-être même en leur conter le songer du Pays du Merveilles du temps jadis : elle le voir partager leur petit chagrin et trouver plaisir à, leur innocent joie, se rappeler son propre enfance et le heureux jour d'être. #