Par Jean-Marie Pontaut et , publié le 19/03/1998 provocation. J'avais 20 ans le 6 février 1934: c'est un coup de feu C'était évidemment très difficile. Pour le maintien de l'ordre, il fallait éviter de laisser des unités de police trop isolées sur le d'ouvrir le feu. Nous avons d'ailleurs, à deux reprises, frisé la que le conducteur appelait des secours par radio, un brigadier a été molesté par la foule. Des collègues du poste de police le plus proche se sont alors précipités en voiture avec des armes pour le dégager. l'abri. J'ai arrêté de justesse le véhicule qui se dirigeait sur les le 24 mai, des manifestants ont mis le feu à des voitures de police qui stationnaient devant le commissariat du Panthéon. Les flammes risquaient de gagner l'intérieur. Or le boulevard Saint-Michel et la rue Saint-Jacques étaient bloqués par la foule. J'ai vu le moment où C'est le commissaire Petit qui nous a tirés d'affaire: arrivé de la travers les petites rues derrière le Panthéon et à dégager au pas de charge le commissariat. - Mai 68, tout le monde s'en est félicité, a été une révolte sans morts sur le pavé parisien. Pourtant, les archives font état du décès le silence. S'il avait appartenu à l'autre bord, le retentissement aurait sans doute été très différent. Mais ce sera le seul mort des Je ne l'ai jamais rencontré à l'époque. Mais, en l'observant sur le alors fait un grand discours à sa façon: "Nous avons fait reculer le pouvoir, allons en tirer les conclusions sur le Champ-de-Mars!" J'ai - Quelles étaient vos relations avec le pouvoir politique, qui est Le Koweït a un nouveau Premier ministre Immigration: Claude Guéant le récidiviste Le boulevardier Le boulevardier Bon : le nouveau Kushikatsu parisien François Hollande reste le favori * Le sommaire du N° + François Hollande reste le favori + Faux pervers de Brest: le procureur met en garde contre "les + Qatar: le sport, une affaire de famille * Actualité Belgique avec Le Vif.be